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Extrait ajouté par mielou35 2018-04-21T18:02:35+02:00

« Tu n'as pas changé ton message d'accueil. C'est toujours la voix de l'opérateur qui m'informe que mon correspondant n'est pas disponible. Je voudrais entendre ta voix, même si c'est sur un foutu message d'accueil, même si c'est tout ce que j'ai. Ta voix me manque. Tu me manques bébé. S'il te plaît, ne m'efface pas de ta vie. Si c'est lui que tu aimes, si c'est lui que tu choisis, alors je prendrais ce que tu me donnes. Je veux juste... ne me raye pas de ta vie. »

Je contemplai l'appareil à travers le voile des larmes que je n'avais pas pu retenir. Le dernier message avait été laissé il y avait cinq jours et depuis plus rien, pas même un appel manqué. Est-ce qu'il pensait réellement que je l'avais effacé de ma vie? J'étais en colère, je l'admets, et c'était la seule raison pour laquelle j'ignorais ses appels. C'est parce que justement je ne voulais pas le perdre que j'attendais que ma colère retombe avant de l'affronter. Je ne voulais pas dire des choses que je pourrais regretter. Comment pouvait-il croire que j'allais le rayer de ma vie aussi facilement?

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Extrait ajouté par AnteikuUta 2020-03-02T12:26:20+01:00

« Masha se contenta d’un bref hochement de tête avant de se diriger vers moi.

— Nous ferions mieux d’échanger nos numéros de téléphone.

J’acquiesçai et nous prîmes chacun le téléphone de l’autre pour y entrer nos coordonnées. Lorsque je récupérai le mien, je vis qu’il s’était identifié comme Monsieur Beau-brun Ténébreux. Il me fit un clin d’œil joueur dès que je levai les yeux sur lui.

— Appelle-moi si tu as le moindre problème, d’accord ?

— Tu sais, j’ai déjà deux gardes du corps, m’amusai-je.

— Eh bien maintenant, tu en as trois. Appelle-moi, insista-t-il avec sérieux.

Je hochai la tête.

— Sois prudent, le prévins-je.

— La prudence est ennuyeuse, me répondit-il avec un sourire canaille avant de disparaître de ma vue.

Ce type était complètement fêlé, je commençais vraiment à beaucoup l’apprécier.

— Quel merdeux !

Ce qui, de toute évidence, n’était pas le cas de tout le monde dans cette pièce. »

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2020-12-29T17:08:33+01:00

— Pourquoi l’Arcos qui est dans ma cave porte-t-il ton odeur ? me demanda-t-il sans prendre la peine de me saluer.

— Laisse-moi deviner, soupirai-je, il y a une cage dans ta cave ?

— Évidemment. Évidemment. Pour ce que j’en savais, il y avait probablement une agence immobilière dans cette ville spécialisée dans les non-humains avec un tarif spécial pour les logements permettant d’y intégrer une cellule.

— Andy a raison, soufflai-je. J’ai vraiment de très mauvaises fréquentations.

— Quoi ?

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2020-12-29T03:20:51+01:00

— Comment puis-je l’aider ? soufflai-je plus pour moi que pour elle.

— C’est toi, le spécialiste des enfants. Voilà qui ne m’avançait pas beaucoup. Attendez une minute ! Elle avait raison, c’était moi le thérapeute. Kae était peut-être un démon, mais il était avant tout un enfant, un enfant qui souffrait et se réfugiait derrière la colère pour se protéger.

— Une thérapie de groupe ! m’exclamai-je en me levant et en commençant à faire les cent pas dans son salon. C’est parfait ! Pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt ?

— Es-tu en train de me parler ? demanda-t-elle d’une voix incertaine. Mais je ne l’écoutais pas vraiment, j’étais toujours plongé dans mes réflexions.

— Ethan s’isole de plus en plus. Son père m’a dit qu’il ne jouait plus avec ses amis.

— Parce que tu sais, ce n’est pas très clair. Tu parles, il n’y a que moi dans cette pièce, mais je ne comprends rien à ce que tu dis…

— Il ne fait aucun progrès et il y a cette nouvelle peur, ce spectre qui apparaît dans ses dessins.

— Pourtant, je suis quelqu’un d’intelligent. Mon professeur d’histoire à la fac disait même que j’étais brillante…

Je me tournai et la trouvai debout juste devant moi, ses yeux noisette exprimant toute sa confusion. Je posai mes mains sur ses épaules et plongeai mon regard dans le sien.

— Ma chérie, tu es plus que brillante, tu es fantastique.

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Extrait ajouté par taibhs_ghost 2020-12-29T01:03:32+01:00

— Adrian ? s’étonna-t-elle, lorsqu’elle décrocha après cinq ou six sonneries. J’allais la saluer quand un grand fracas se fit entendre suivi du cri de mon amie. Un bruit désagréable m’apprit que le téléphone avait également fini au sol.

— Professeur Handmann ? s’alerta une voix masculine. Vous allez bien ? Non, laissez, je vais ramasser.

— Oh, merci, Mario. Oui, tout va bien. Je ne devrais pas essayer de répondre au téléphone quand je porte une pile de livres.

— C’est Marius, Madame.

— Ah bon ? Vous en êtes sûr ? J’étouffai mon rire pour qu’il ne s’entende pas à l’autre bout du fil,

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Extrait ajouté par MaevaCerise 2020-03-21T18:34:56+01:00

— Il y a des baguettes dans le sac.

— Et qu’est-ce que tu veux que j’en fasse ? me demanda-t-elle le plus sérieusement du monde. Je suis née et j’ai toujours vécu en Australie. Mes parents m’ont appris à manger avec une fourchette. Ça m’a pris du temps pour y arriver correctement. Pourquoi diable faudrait-il maintenant que j’apprenne à manger avec autre chose ?

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Extrait ajouté par AnteikuUta 2018-05-25T21:47:23+02:00

« — Tout ça, c’est ma faute, se lamenta-t-elle. À force de fréquenter des non-humains, je trouve les hommes fades.

— Comment ça ?

— Tu savais que les vampires échangeaient leur sang avec leur partenaire ? Ça leur permet de ressentir leurs émotions et, une fois qu’ils sont ainsi liés, c’est comme si leurs âmes étaient connectées. Les djinns peuvent percevoir leur compagne dans le ventre de leur mère et veillent sur elle pendant toute son enfance, patientant le temps qu’il faut pour la revendiquer et s’unir à elle pour l’éternité. Les loups protègent férocement leur femelle, ils sont possessifs et passionnés. La vie ordinaire sera toujours terne quand tu connais tout cela.

Elle me regarda, ses yeux brillants me suppliant de la comprendre. Je glissai ma main sur sa joue, caressant sa tempe du bout des doigts. La vie ordinaire n’était pas faite pour cette femme extraordinaire, elle méritait infiniment plus.

— Tu ne veux pas du professeur ennuyeux, lui affirmai-je.

— Non, me répondit-elle dans un murmure.

— Qu’est-ce que tu souhaites, dans ce cas ?

Je tenais absolument à le lui faire verbaliser.

— Je veux être unique, souffla-t-elle, ses yeux plongés dans les miens. Je veux être son plus beau trésor, je veux aimer à la folie et qu’il me voie, qu’il me voie vraiment. »

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« — Où sont les étoiles, Silas ?

Il se retourna, l’incompréhension clairement visible sur son visage. Je rougis.

— Avant… tu avais comme des étoiles dans les yeux, lui expliquai-je en me sentant idiot de m’être exprimé à haute voix, elles sont parties.

Il m’adressa un sourire triste.

— En ce moment, elles n’ont plus vraiment de raisons de briller, mais j’espère que ça va bientôt changer. »

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Extrait ajouté par AnteikuUta 2018-05-25T21:47:17+02:00

« — Je voudrais prendre rendez-vous. Je lâchai une petite exclamation moqueuse.

— Eh bien, admettre qu’on a un problème est le premier pas vers la guérison, mais je te rappelle que je ne travaille qu’avec des enfants. Si tu veux, je peux te conseiller plusieurs de mes confrères qui sont spécialisés dans la gestion des comportements agressifs chez l’adulte.

— Je ne suis pas agressif, Adrian.

Je levai un sourcil moqueur dans sa direction. La dernière fois que je l’avais vu, il menaçait mon ami loup, la pointe de son épée posée sur sa jugulaire. Il dut percevoir mon scepticisme, car il soupira.

— Ce n’est pas pour moi, c’est pour Kae.

Kae. Lorsque Silas était réapparu dans ma vie après trois mois de silence, j’avais découvert qu’il avait un fils âgé de neuf ou dix ans. Celui-ci semblait être cent pour cent démon, mais je doutais qu’il ait pu pousser autant en à peine trois mois. Le constat avait été douloureux, comme tout ce qui concernait son père.

— Kae m’a l’air d’un enfant très bien dans sa peau. La seule fois où je l’ai vu, il m’a aimablement proposé de tuer l’un de mes meilleurs amis.

— C’est bien ça, le problème, souffla-t-il en passant une main dans ses cheveux. »

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Extrait ajouté par Lykoos 2018-03-01T15:18:26+01:00

" — Je travaille Silas, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué.

— Je sais, répondit-il d'une voix posée.

Une voix posée ? J'étais tout juste capable de lui parler sans trémolo dans la voix, mais lui, rien ne semblait pouvoir l'atteindre. Après tout, c'était lui qui était parti. À quoi d'autre pouvais-je m'attendre ?

— Je voudrais prendre rendez-vous.

Je lâchai une petite exclamation moqueuse.

— Et bien, admettre qu'on a un problème est le premier pas vers la guérison, mais je te rappelle que je ne travaille qu'avec des enfants. Si tu veux, je peux te conseiller plusieurs de mes collègues qui sont spécialisés dans la gestion des comportements agressifs chez l'adulte.

— Je ne suis pas agressif Adrian.

Je levai un sourcil moqueur dans sa direction. La dernière fois que je l'avais vu, il menaçait mon ami loup de la pointe de son épée sur son cou. Il dut comprendre mon scepticisme, car il soupira.

— Ce n'est pas pour moi, c'est pour Kae.

...

— Kae m'a l'air d'un enfant très bien dans sa peau, la seule fois où je l'ai vu, il m'a aimablement proposé de tuer l'un de mes meilleurs amis.

— C'est bien ça le problème, souffla-t-il en passant une main dans ses cheveux. Je n'arrive pas à lui faire comprendre qu'il ne peut pas tuer le chien du voisin parce qu'il fait pipi sur notre grille ou qu'il ne peut pas séquestrer un camarade de classe juste parce qu'il s'est moqué de la couleur de ses chaussures.

— Tel père tel fils.

— Je ne suis pas agressif Adrian, s'emporta-t-il, il te tenait de force d'accord ? Je suis arrivé et ce clébard était en train de te forcer. Les choses ne sont jamais simples lorsqu'elles te concernent. Je ne suis pas agressif, je suis possessif.

...

— Je ne suis pas spécialisé dans les enfants démons.

— S'il te plaît Adrian, je n'ai que toi.

— D'accord, soupirai-je, demain matin à dix heures.

....

Il hocha la tête pour me remercier et se dirigea vers la porte. Malgré moi, je l'interpelai avant qu'il ne sorte.

— Où sont les étoiles Silas ?

Il se retourna, l'incompréhension clairement visible sur son visage. Je rougis.

— Avant... tu avais comme des étoiles dans les yeux, lui expliquai-je en me sentant idiot de m'être exprimé à haute voix, elles sont parties.

Il m'adressa un sourire triste.

— En ce moment, elles n'ont plus vraiment de raisons de briller, mais j'espère que ça va bientôt changer."

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