Le gout des larmes
Auteur
- Clarisse Calliopé (Écrivain)
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Le prologue du livre était très instructif si je puis dire. L'auteure nous communique un peu sa façon de voir les choses, de décrire les larmes. Ce qu'elle pense d'elles, comment elle se sent lorsqu'elles sortent... J'ai bien aimé voir sa façon de voir, j'avoue que moi je n'y aurait jamais pensé. Cela va bien avec le titre et cela introduit bien l'histoire.
Au début du livre, je me suis en quelque sorte identifiée au personnage principale. Je l'ai trouvé vraiment gentille avec une personnalité très appréciable. Vraiment elle était très agréable à suivre. En revanche parfois j'ai trouvé ses idées un peu farfelus !
J'ai bien aimé cette histoire qui était agréable à lire. On entre rapidement dans le récit malgré le fait qu'il n'y ai que très peu de dialogue, surtout au début. Ce qui est d'ailleurs dommage...
L'histoire est bien, mais je trouve quand même dommage qu'elle ne soit pas plus dévelopée, plus longue.
La fin est très belle, mais pareil, cela aurait été mieux d'aller un peu plus loin. D'en apprendre plus sur le Maître par exemple.
L'écriture est simple mais fluide avec de bonnes descriptions.
Pour conclure, ce fut une petite lecture assez courte et tres agréable à lire.
Pour plus de chroniques :
http://mapassionlivresque.blogspot.fr/
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Résumé
Ma vie est banale. J’ai le quotidien rêvé pour une femme de mon âge : des amis en or, une situation parfaite et un travail qui me passionne. Bref, une vie comblée et confortable sur tous les plans, ou presque. Avec un train de vie mouvementé, je noie ma solitude tant sentimentale que sexuelle dans la monotonie. J’ai l’air d’une femme heureuse, à qui tout sourit, une femme sereine et accomplie. En apparence, tout est parfait, je gère ma vie brillamment, sans jamais faire la moindre vague. En vérité j’ai comme tout un chacun ma part d’ombre, et l’envers de mon décor est loin d’être aussi radieux que tout le reste.
Entre les déceptions et les désespoirs, j’ai longtemps considéré mon cas sans l’issue d’un avenir plus épanoui. J’étais prête à oublier mon plaisir sexuel pour une vie plus calme, mais cette option n’était définitivement pas envisageable, je me refusais à mourir à petit feu dans l’ennui et le désespoir, je n’en aurai jamais eu ni le courage ni la force.
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