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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par ThierryBrenner 2023-04-24T11:56:41+02:00
Or

Comment une chanson peut vous plonger au coeur du roman Le Grand Meaulnes...

Etrangement, j'étais passé à côté de de ce grand classique français de la littérature quand j'étais gamin. Certes on en avait lu un extrait en classe, mais peut-être pas le meilleur.

Et puis un jour, alors que je regardais une redif du film "A nous les garçons", réalisé par Michel Lang, l'homme qui avait également mis en image "A Nous les petites Anglaises", je me procure la b.o. du film. A l'écoute de celle-ci, je tombe sur un titre mystérieux, interprété et composé par Claude Barzotti "Où c'était" .

Cette chanson diffère des autres du disque. Elle est empreinte d'une mélancolie au charme suranné. Pour tout vous dire, je sens bien qu'il évoque dans son titre, le souvenir d'une femme, mais impossible de l'identifier. je crois entendre Simone de Galais (non je n'ai pas besoin d'appareil audika dans ma vingtaine 😁) Dans les années 80, pas de google pour me renseigner.

Près de quarante ans plus tard, je ne sais pourquoi, je me mets à activer mon moteur de recherche, car cette chanson hante toujours mon esprit. J'apprends que celle que j'avais appelé par erreur Simone, s'appelle en fait Yvonne de Galais. Le lien est enfin fait avec le chef d'oeuvre d'Alain-Fournier LE GRAND MEAULNES. Je dévore le livre, réécoute la chanson en boucle. le descriptif est d'une rare poésie.

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Commentaire ajouté par laetitia-1605 2023-03-31T17:25:38+02:00
Or

Ce texte... quel bonheur... une plongée dans un rêve

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Commentaire ajouté par aria292 2023-03-23T20:51:57+01:00
Bronze

Il est difficile de "s'attaquer" à un roman de cette envergure.

Considéré comme une oeuvre majeure de la littérature, ce classique nous montre la puissance de l'Amour et de l'Amitié, mais est également symbole du passage de l'adolescence à l'âge adulte.

J'ai beaucoup aimé me plonger dans cette histoire sensible, touchante, dont l'atmosphère douce est parfois quelque peu mélancolique.

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Commentaire ajouté par Josephine86 2023-03-01T21:27:16+01:00
Diamant

Lu au collège. en 3 mots : j'ai adoré. Quelle plume!

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Commentaire ajouté par Amiiii 2023-02-01T21:53:10+01:00
Bronze

« Le Grand Meaulnes » est bien plus qu’une simple aventure d’adolescent. Il est bien plus qu’une quête pour retrouver un lieu, une femme entraperçue qui s’apparente presque au rêve. Ode à l’amitié, à l’amour et à l’aventure, ce roman met pourtant en exergue tout ce que peut avoir d’égoïste ces sentiments. Meaulnes prendra autant qu’il donnera. Les derniers passages du livre permettent de révéler, au dernier instant, toute l’ambivalence des sentiments qui ne cesseront de ponctuer le roman. Si François Seurel est et restera tout au long l’ami fidèle et dévoué, il sera, avec Yvonnes de Galais, celui qui perdra le plus à entretenir cette amitié, cet amour. Meaulnes ne cessera d'être obsédé par ce qu'il pense désirer, ce qu'il pense être la clé de son bonheur : une femme, une promesse. Il ne sera en fait obsédé que par l'aventure, au détriment des personnages gravitant à ses côtés.

Enfin, les derniers instants du livre m’ont paru être une esquisse de la façon dont François aurait pu être heureux Spoiler(cliquez pour révéler): ce n’est pas Meaulnes qui aurait dû épouser et élever l’enfant d’Yvonnes, c’est bien Seurel qui aurait mérité cette place. "La seule joie que m'eût laissée le grand Meaulnes, je sentais bien qu'il était revenu pour me la prendre"

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Commentaire ajouté par Monchaton 2023-01-21T14:52:29+01:00
Bronze

C'est un beau livre mais tellement triste ! La fin m'a faite pleurer, je l'ai lu il y a longtemps alors je ne me souviens pas de tout, il faudrait que je le relise. Mais je recommande ce livre car dans mon souvenirs j'avais malgré la fin vivement apprécié.

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Commentaire ajouté par armel86 2023-01-05T21:57:09+01:00
Bronze

Un classique il paraît même si je n'avais jamais entendu parler de ce livre avant que ma grand-mère me le mette dans les mains en me disant que c'était un de ces livres préférés. Et je peux comprendre pourquoi. Rien que l'écriture est magnifique et l'histoire tellement touchante. L'histoire d'amitié entre ces deux garçons est belle. Mais plus que ça, le déroulé de l'histoire est très intriguant au point que ce livre est un ensemble de multitudes de petites histoires qui s'enchâssent merveilleusement bien les unes aux autres. En revanche, certains retournements de situation m'ont vraiment prise de cours, je ne m'attendais absolument pas à ça, au point que j'ai eu peur de la fin. Mais vraiment, une bonne lecture dans l'ensemble.

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Commentaire ajouté par Goupilit 2022-12-19T23:39:15+01:00
Pas apprécié

Trois étapes de la vie ; deux jeunes amis ; une même histoire...

(Livre écouté en audio)

Notre narrateur, François, est le personnage secondaire de ce roman. Ses parents gèrent l'école du village. Un jour, le charismatique Augustin Meaulnes entre dans sa vie...

Enfance, adolescence, âge adulte : l'histoire d'une vie découpée en trois parties. Entre scènes de la vie de tous les jours et passages plus oniriques, ce classique aurait pu m'enchanter. Son résumé me faisait de l’œil. Et pourtant, je n'ai pas réussi à me laisser emporter.

J'ai trouvé bien trop de longueurs dans cette histoire, de détails impersonnels qui étiraient les anecdotes à l'infini. Les thématiques abordées auraient pu être intéressantes si les personnages avaient été plus attachants. Mais de par la narration, on est plus sur un roman d'ambiance à la campagne au siècle dernier qu'un condensé d'émotions intemporel.

Bref, je suis heureuse d'avoir découvert l'unique roman de cet auteur au destin tragique, mais je n'ai pas aimé ma lecture...

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Commentaire ajouté par Exuline 2022-11-18T11:41:46+01:00
Bronze

https://exulire.blogspot.com/2022/11/le-grand-meaulnes-alain-fournier.html

C'est au croisement de la deuxième rangée et de la troisième étagère de ma boite à livre que j'ai déniché ce tout petit poche, jauni et défraichi par le temps. Et puis là, j'ai eu un déclic, ou devrais-je dire que j'ai entendu cette petite voix qui m'a chuchoté : "Vas-y prend-le !!! Tu ne l'as jamais lu, lance toi !"

Heureusement que j'ai lu ce roman en étant adulte, car s'il m'avait été donné en lecture imposée à l'école, je me serais très certainement beaucoup ennuyée et j'aurais une fois de plus détester le Français et ces auteurs encensés par les paires qui me procuraient à l'époque une violence verbale envers des paragraphes pourtant inoffensifs. Oui désolée, j'ai toujours été plus Mathématiques que Français. Du moins à l'époque...

C'est donc avec un regard plus mature (non je ne suis pas vieille, quoi que...) que j'ai lu ce roman qui, il faut tout de même être honnête est particulièrement démodé.

Sans compter que nous nous trouvons dans la campagne profonde, que les personnes n'ont jamais quitté leur village ou presque, que la seule distraction est, ben en fait rien ou presque...

Revenons à l'époque où la salle de classe commune est chauffée par un minuscule poêle au bois en son centre, les garçons habillés de bermudas et de gilets. Quand je pense que des parents se sont plains car il ne faisait que 11 degrés dans l'école, quelle honte comparée à cette époque !!! Mais j'admets, moi aussi, je trouve que c'est vraiment trop froid pour moi ou mes enfants...

Comme souvent lorsque je rédige ma chronique je m'égare, alors revenons au Grand Meaulnes, ou plus exactement à François, jeune élève, fils d'instituteur à la campagne, qui va rencontrer Augustin Meaulnes, un nouvel élève. Ils vont partager la même classe mais aussi le même foyer, puisque Augustin est mis en pension par sa mère chez les parents de François.

Augustin est âgé de quelques années de plus que François, il sera non pas un modèle pour ce dernier mais plutôt une sorte de fantasme : François vit à travers Augustin ce qu'il ne pourra ou n'osera jamais faire par peur des conventions, des conséquences. François nous raconte donc dans ce roman les "exploits" de son meilleur ami, de son frère d'adolescence avec beaucoup d'admiration sans jamais de jalousie.

J'ai trouvé ce roman très fantasmagorique, à tel point que je me suis parfois demandé ce qui appartenait au réel de ce qui appartenait au songe.

Alain-Fournier nous ballade entre rêve d'enfance et vie d'adulte : ce passage délicat ou il est nécessaire de faire des choix pour commencer sa propre vie.

Entre Augustin qui vit ses rêves et François qui rêve la vie d'Augustin, les deux amis ne font que s'éloigner irrémédiablement tout au long de ce roman. La désillusion de grandir après le ravissement de l'enfance, Alain-Fournier nous propose un moment de désenchantement. Très loin d'avoir été prise par ce roman, je me suis laissée portée par les rêves d'Augustin, par la vie simple de François et en refermant cet ouvrage, je me suis sentie triste des choix faits, des décisions prises et puis je me suis dit pourquoi pas. Augustin a touché du bout du doigt son rêve, mais les rêves sont éphémères et disparaissent aussitôt que les yeux s'ouvrent et fixes d'autres horizons parfois plus prometteurs même s'il ne s'agit que d'un mirage.

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Commentaire ajouté par Exuline 2022-11-18T11:41:23+01:00
Bronze

https://exulire.blogspot.com/2022/11/le-grand-meaulnes-alain-fournier.html

C'est au croisement de la deuxième rangée et de la troisième étagère de ma boite à livre que j'ai déniché ce tout petit poche, jauni et défraichi par le temps. Et puis là, j'ai eu un déclic, ou devrais-je dire que j'ai entendu cette petite voix qui m'a chuchoté : "Vas-y prend-le !!! Tu ne l'as jamais lu, lance toi !"

Heureusement que j'ai lu ce roman en étant adulte, car s'il m'avait été donné en lecture imposée à l'école, je me serais très certainement beaucoup ennuyée et j'aurais une fois de plus détester le Français et ces auteurs encensés par les paires qui me procuraient à l'époque une violence verbale envers des paragraphes pourtant inoffensifs. Oui désolée, j'ai toujours été plus Mathématiques que Français. Du moins à l'époque...

C'est donc avec un regard plus mature (non je ne suis pas vieille, quoi que...) que j'ai lu ce roman qui, il faut tout de même être honnête est particulièrement démodé.

Sans compter que nous nous trouvons dans la campagne profonde, que les personnes n'ont jamais quitté leur village ou presque, que la seule distraction est, ben en fait rien ou presque...

Revenons à l'époque où la salle de classe commune est chauffée par un minuscule poêle au bois en son centre, les garçons habillés de bermudas et de gilets. Quand je pense que des parents se sont plains car il ne faisait que 11 degrés dans l'école, quelle honte comparée à cette époque !!! Mais j'admets, moi aussi, je trouve que c'est vraiment trop froid pour moi ou mes enfants...

Comme souvent lorsque je rédige ma chronique je m'égare, alors revenons au Grand Meaulnes, ou plus exactement à François, jeune élève, fils d'instituteur à la campagne, qui va rencontrer Augustin Meaulnes, un nouvel élève. Ils vont partager la même classe mais aussi le même foyer, puisque Augustin est mis en pension par sa mère chez les parents de François.

Augustin est âgé de quelques années de plus que François, il sera non pas un modèle pour ce dernier mais plutôt une sorte de fantasme : François vit à travers Augustin ce qu'il ne pourra ou n'osera jamais faire par peur des conventions, des conséquences. François nous raconte donc dans ce roman les "exploits" de son meilleur ami, de son frère d'adolescence avec beaucoup d'admiration sans jamais de jalousie.

J'ai trouvé ce roman très fantasmagorique, à tel point que je me suis parfois demandé ce qui appartenait au réel de ce qui appartenait au songe.

Alain-Fournier nous ballade entre rêve d'enfance et vie d'adulte : ce passage délicat ou il est nécessaire de faire des choix pour commencer sa propre vie.

Entre Augustin qui vit ses rêves et François qui rêve la vie d'Augustin, les deux amis ne font que s'éloigner irrémédiablement tout au long de ce roman. La désillusion de grandir après le ravissement de l'enfance, Alain-Fournier nous propose un moment de désenchantement. Très loin d'avoir été prise par ce roman, je me suis laissée portée par les rêves d'Augustin, par la vie simple de François et en refermant cet ouvrage, je me suis sentie triste des choix faits, des décisions prises et puis je me suis dit pourquoi pas. Augustin a touché du bout du doigt son rêve, mais les rêves sont éphémères et disparaissent aussitôt que les yeux s'ouvrent et fixes d'autres horizons parfois plus prometteurs même s'il ne s'agit que d'un mirage.

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