Commentaires

J'ai lu ce livre car un jour je l'avais découvert par hasard dans ma bibliothèque et je n'est pas du tout été déçu.

J'ai beaucoup aimé l'écriture, l'ambiance et de savoir que cela avait été écrit par un survivant de la guerre.

Une lecture obligatoire qui m'avait laissé un goût amer à l'époque, je pense le relire un jour mais pour l'instant, malgré la plume de l'auteur vraiment belle je n'apprécie pas ce roman. Dommage, peut-être une seconde chance un jour ou l'autre.

Roman plutôt agréable à l'instar du film

Livre lu pour les cours, inappréciable pour moi. Je lui donnerais peut-être une seconde chance plus tard, quand ma PAL sera écoulée, que je vivrais seule avec 24 chats...

J'ai adoré ce roman. La passion entre Augustin et Yvonne est juste formidablement tragique.... Un très beau livre que je conseille vivment.

Très bon livre, lu avec des difficultés car je n'était qu'au collège quand je l'ai lu. Mais de très bon souvenir !

Ce roman continue de m’émouvoir, j’y retrouve certains détails de la vie quotidienne : les soirées en famille, l’attente des jours de fête, une ancienne atmosphère d’école, la douceur poétique des promenades à la campagne, une nature complice. Ensuite, une aventure initiatique, un passage essentiel : celui de l’enfance heureuse à l’adolescence où tous les rêves sont possibles, mais aussi tous les déchirements, les angoisses, l’amitié sincère et surtout l’amour fou. Mais aussi, les premières désillusions d’adulte s’installent.

Roman d’aventure, poétique, symbolique, récit initiatique, raconte une vraie quête d’un absolu toujours insaisissable !

J’aime le romantisme des personnages : leur nostalgie (le narrateur François), leur mélancolie, leurs passions (Frantz et Augustin), leur goût pour la solitude. Yvonne, personnage féminin incarne la candeur, la fraicheur la beauté, stéréotype même de la charmante princesse des contes de fées, une présence mystérieuse et fugitive, qui bouleverse Meaulnes et pourtant qui se révèle raisonnable, patiente et compréhensive.

Même la nature possède des échos romantiques, les souvenirs personnels de l’auteur mystifient et embellissent les paysages de Sologne et du Berry. Une seule envie partir dans cette région et prendre ces sentiers, se perdre dans ces sous-bois et découvrir au détour d’un chemin de terre, une demeure vieillissante, figée dans le temps, cachée par du lierre envahissant et des rosiers sauvages. Et certainement pénétrer, ouvrir des portes, marcher sur la pointe des pieds et chercher les empreintes du passé et peut-être les vestiges d’une dernière fête !

Je possède toujours mon premier exemplaire, maintenant jauni, à la couverture légèrement cornée ; certains passages du livre sont soulignés ou cochés, juste pour me rappeler le charme de ses phrases, la force évocatrice de ses mots. Un roman que je relis assez régulièrement avec le même plaisir, une nécessité pour mon bien-être imaginatif et assoiffé de nostalgie ; jamais lassée par cette fiction aux allures de conte mystérieux, féerique et idéaliste.

Le grand Meaulnes un classique. Unique livre d’Alain Fournier, qu’on a tous plus ou moins eu à étudier au collège ou au lycée. Je me suis replongée dedans avec plaisir, c’est un livre au charme désuet, d’antan avec des descriptions douces qui nous mettent dans l’ambiance. L’auteur traite son livre en trois partis la première est fondé sur l’adolescence, l’amitié, l’école, la rencontre entre le narrateur François Seurel et Augustin Meaulnes et la naissance de leur amitié, cette première partie peut paraître longue mais elle sert le récit. La deuxième partie traite de l’entrée dans l’âge adulte avec ces émois, ses projets, ses déceptions et la troisième partie l’âge adulte remplis de peine, de regret et de mort.

Pour moi le grand Meaulnes c’est une belle histoire d’amitié entre deux garçons François et Augustin qui se prolongent durant leur vie, une histoire d’amour malencontreusement inachevé entre Augustin et Yvonne. On entrevoit la peur du bonheur et une fuite orchestrée par une promesse qui aura fait plus de mal que de Bien surtout à Yvonne. Un sacrifice qui nous conduit malheureusement à la tristesse de tous les protagonistes. François aura été le point d’encrage du récit, il aura traversé stoïquement les bouleversements de la vie d’Augustin.

C'est un mélange entre le rêve et la réalité, ou plutôt la recherche d'un rêve qui a été effleuré. Toutes les imprécisions du récit laissent penser que la frontière entre ces deux mondes est perméable, et donc franchissable pour celui qui cherche à retrouver le monde du rêve. Mais une fois acquis, peut-on le supporter?

J'ai lu ce roman quand j'avais quinze ans, et je m'y suis replongée il y a peu pour retrouver des passages de cette narration que j'avais beaucoup aimée. C'est un très bon roman, particulièrement pour les adolescents.

Le grand Meaulnes et la petite Fadette auraient pu se rencontrer, c’est le même type d’histoire qui mettent à l’honneur la campagne et partent sur un personnage un peu atypique pour amener le lecteur vers une histoire idyllique. C’est le type de roman d’amour que j’arrive à lire jusqu’au bout, tout ne tourne pas autour de cette histoire mais des personnages avant tout, que la relation se concrétise ou non, le personnage continue d’évoluer sans marquer la fin du roman.