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Le Highlander, Tome 2 : Conquise par le Highlander



Description ajoutée par eydura 2012-10-13T04:59:20+02:00

Résumé

NUIT DE CONQUÊTE

Avec sa crinière fauve, des muscles taillés pour la bataille, et son rugissement féroce, Angus "Le Lion" MacDonald est le plus redoutable guerrier que Lady Gwendolen ait jamais vu et elle est sa conquête la plus glorieuse. Capturée lors d'une attaque surprise sur le château de son père, Gwendolen est désormais contrainte de partager son lit avec l'homme qui a vaincu son clan. Mais, en dépit des charmes irrésistibles d'Angus, elle refuse de livrer son innocence sans combattre ...

PRISONNIER DE LA PASSION

Avec sa beauté renversante, le défi audacieux qu'elle représente, et son sourire effronté, Gwendolen est la femme la plus exaspérante qu'Angus ait jamais connu et la plus enivrante. La forcer à devenir son épouse unira leurs deux clans en un seul. Mais conquérir le cœur de Gwendolen demandera toutes ses compétences comme amant. Nuit après nuit, son toucher l'embrase. Baiser après baiser, sa faim alimente sa passion. Mais, alors que le corps de Gwendolen trahit son amour grandissant pour Angus, un ennemi secret complote pour les trahir tous les deux ...

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Classement en biblio - 379 lecteurs

extrait

Chapitre premier

Kinloch Castle

Highlands, juillet 1718.

Le cauchemar la réveilla en sursaut quelques minutes à peine avant le début du siège.

Le souffle court, Gwendolen MacEwen se redressa dans son lit et tourna le regard vers la fenêtre à meneaux. Ce n’était qu’un rêve, se dit-elle en s’efforçant de calmer sa respiration. Plus tard, elle appellerait ça une prémonition, mais, pour l’instant, elle était certaine que la terreur qui lui avait empli le cœur n’était qu’un artifice du sommeil.

Renonçant complètement à dormir, elle rejeta les couvertures, s’assit sur le bord du lit et tendit la main vers sa robe de chambre. Elle se leva et l’enfila pour se protéger de la fraîcheur de l’aube, avant de se glisser jusqu’à la fenêtre, attirée par une vague lueur à l’horizon.

Une nouvelle journée commençait. Enfin. Fermant les yeux, Gwendolen pria pour que ce soit celle du retour de son frère Murdoch, depuis longtemps en voyage. Les MacEwen avaient besoin de leur chef, et elle craignait que, s’il ne rentrait pas bientôt pour réclamer la place qui lui revenait de droit, quelqu’un d’autre ne tente de s’en emparer – car certains villageois semblaient mécontents. C’était ce que lui avait raconté sa femme de chambre, dont la sœur était mariée à l’aubergiste. Et après le rêve qu’elle venait de faire…

Soudain, le cor sonna du côté de la cour intérieure.

Peu habituée à entendre une telle clameur alors que le château dormait encore, Gwendolen se détourna de la fenêtre. Bon Dieu, qu’est-ce que… ?

Le cor sonna une deuxième fois. Puis une troisième.

Son sang ne fit qu’un tour, car elle connaissait la signification de ce signal. Il venait du toit et annonçait un danger.

Gwendolen se précipita à la porte, l’ouvrit à la volée et monta l’escalier de la tour quatre à quatre.

— Qu’est-ce qui se passe ? demanda-t-elle au garde qui marchait de long en large. La fraîcheur matinale transformait son souffle haletant en vapeur.

Il pointa l’horizon du doigt.

— Regardez par là, Miss MacEwen !

Elle se hissa sur la pointe des pieds pour se pencher par-dessus un créneau, plissant les yeux afin de distinguer les ombres qui se déplaçaient dans le champ à la faible lumière de l’aube. C’était une armée en marche, qui s’approchait rapidement depuis l’orée de la forêt. Certains de ses membres étaient à pied, d’autres à cheval.

— Combien d’hommes ? interrogea-t-elle.

— Au moins deux cents, répondit le garde. Peut-être plus.

Elle s’écarta du rempart et le regarda d’un air calme.

— Combien de temps avons-nous ?

— Tout au plus cinq minutes.

Elle se retourna et se trouva nez à nez avec un autre des hommes du clan, qui surgissait de l’escalier de la tour, un mousquet à la main. En la voyant, il s’arrêta net, pris de panique.

— Ils sont apparus comme par enchantement, expliqua-t-il. Nous sommes faits, sans l’ombre d’un doute. Vous devriez fuir avant qu’il soit trop tard, Miss MacEwen.

Révoltée, Gwendolen fit un pas en avant, attrapa l’homme par sa chemise et le secoua sans ménagement.

— Ne vous avisez pas de répéter ces mots, monsieur, ou votre tête en répondra ! (Elle se retourna pour faire face au garde.) Va prévenir l’intendant.

— Mais…

— Fais ce que je te dis !

Ils n’avaient pas de chef. Son père était mort, et le chef de guerre actuel était un ivrogne qui passait ses nuits au village depuis cette disparition et ne se trouvait donc pas dans l’enceinte du château. Quant à son frère, il n’était pas encore revenu du continent. Il ne restait plus que l’intendant, Gordon MacEwen, qui était certes un excellent comptable, mais pas un guerrier.

— Est-ce que ton arme est chargée ? demanda-t-elle à l’homme au mousquet. As-tu assez de poudre ?

— Oui.

— Alors vise l’ennemi et défends les portes.

Il fila se mettre en position, tandis que Gwendolen regardait dans la cour, où les hommes du clan se rassemblaient, répondant enfin à l’appel du cor. On avait allumé des torches, mais la confusion régnait : tout le monde criait et les questions inutiles fusaient.

— Hé, les MacEwen ! Écoutez-moi, maintenant ! lança-t-elle. Une armée approche par l’est ! Nous allons être attaqués dans très peu de temps ! Prenez vos armes et rejoignez vos postes aux créneaux.

Ce n’est que lorsque le brouhaha se calma, tous les regards tournés vers elle, qu’elle se rendit compte qu’elle portait toujours sa robe de chambre.

— Toi, là ! appela-t-elle en désignant un adolescent. Prends une épée, puis rassemble toutes les femmes et tous les enfants, emmène-les à la chapelle, verrouille les portes de l’intérieur et reste avec eux jusqu’à la fin des combats.

Le garçon hocha bravement la tête et fonça vers l’armurerie.

— Ce sont des MacDonald ! cria un garde depuis la tour d’angle opposée.

C’était Douglas MacEwen, un de ses amis fidèles, habile à l’épée.

Relevant les plis de son vêtement, Gwendolen courut à sa rencontre.

— Tu en es sûr ?

— Oui, regarde. (Il pointa du doigt le champ où brillaient à présent la brume et la rosée.) Ils portent la bannière d’Angus le Lion.

Gwendolen avait beaucoup entendu parler d’Angus MacDonald, banni par son père, le chef du clan MacDonald et l’ancien seigneur de Kinloch. Ce dernier était mort lors de la prise du château par les MacEwen. C’était un traître jacobite, raison pour laquelle le roi avait accordé au père de Gwendolen le droit de prendre Kinloch au nom de la Couronne.

Certaines rumeurs disaient qu’Angus était le Boucher des Highlands, un renégat jacobite de sinistre réputation, qui aurait taillé en pièces des armées anglaises entières avec sa hache légendaire.

Selon d’autres sources, ce n’était qu’un traître exilé dans le Nord par son propre père du fait d’un crime inavouable.

Quoi qu’il en fût, tout le monde s’accordait à dire qu’il s’agissait d’un guerrier féroce et sans pitié, plus rapide et plus sanguinaire qu’une créature légendaire sur le champ de bataille. Certains prétendaient même qu’il était invincible.

Une chose au moins ne faisait aucun doute : c’était un expert à l’épée et il n’avait aucune pitié, ni pour les guerriers, ni pour les femmes.

— Bon Dieu, qu’est-ce que c’est que ça ?

Elle se pencha en avant et plissa les yeux. Un pressentiment terrible la parcourut.

Douglas s’efforça lui aussi d’y voir clair à travers la brume, et pâlit d’un seul coup.

— Une catapulte. Et leurs chevaux tirent un bélier.

Elle entendait le bruit sourd mais puissant de leur approche, et eut soudain l’impression que son cœur était pris dans un étau.

— Prends le commandement jusqu’à ce que je revienne, déclara-t-elle. Il faut défendre les portes à tout prix, Douglas.

Il acquiesça en silence. Elle lui tapota le bras en signe d’encouragement, puis se hâta vers l’escalier de la tour. Quelques secondes plus tard, elle poussait la porte de sa chambre. Sa servante attendait près du lit. L’inquiétude se lisait sur son visage.

Gwendolen parla sans se démonter :

— On nous attaque, dit-elle. Nous avons peu de temps. Aide à rassembler les femmes et les enfants, rejoins directement la chapelle, et reste là-bas jusqu’à ce que tout soit terminé.

— Bien, Miss MacEwen !

La femme de chambre sortit de la pièce sans traîner.

Après avoir fermé la porte derrière elle, Gwendolen enleva rapidement sa robe de chambre, qu’elle laissa tomber sur le tapis tressé. Puis elle alla à son armoire pour y prendre des vêtements.

C’est alors qu’elle entendit tambouriner vivement à sa porte, comme si un animal ruait contre elle.

— Gwendolen ! Gwendolen ! Tu es réveillée ?

La jeune femme s’arrêta net. Ah ! Si seulement elle avait été encore endormie ! Si seulement tout ça n’avait été qu’un rêve ! L’inquiétude qu’elle percevait dans la voix de sa mère lui prouvait bien cependant qu’il n’en était rien. Elle se dépêcha d’aller ouvrir.

— Entrez, mère. Nous sommes attaqués.

— Tu es sûre ?

Onora semblait avoir déjà pris le temps de s’habiller pour l’événement. Ses longs cheveux bouclés étaient rassemblés en une tresse qui, bien que réalisée à la hâte, n’en était pas moins élégante, et elle portait une nouvelle robe de soie bleue et blanche impeccable.

— J’ai entendu le cor, mais je me suis dit que ça ne pouvait être qu’une fausse alerte.

— Eh bien non ! (Gwendolen retourna à l’armoire et enfila une jupe par-dessus sa chemise.) Les MacDonald s’attaquent aux portes en ce moment même. Le temps nous est compté. Ils ont apporté une catapulte et un bélier avec eux.

Onora entra et ferma la porte derrière elle.

— Mon Dieu, comme c’est moyenâgeux !

— C’est le mot ! Angus le Lion est à leur tête.

Gwendolen jeta un bref coup d’œil inquiet à sa mère, puis se mit à chercher ses chaussures.

— Angus le Lion ? Le fils banni du chef du clan MacDonald ? Que Dieu nous vienne en aide ! S’il triomphe, ce sera notre fin à toutes les deux.

— Ne parlez pas comme ça en ma présence, mère, la tança Gwendolen. Ils ne sont pas encore dans les murs. Nous sommes capables de les tenir à distance.

Après tout, il s’agissait du puissant Kinloch Castle. Ses remparts étaient épais de deux mètres et hauts de vingt. Seuls les oiseaux pouvaient atteindre les tours et les créneaux. Les murs étaient de plus entourés d’eau, protégés par un pont-levis et une herse de fer. Comment les MacDonald pourraient-ils s’emparer d’une telle place forte ?

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Commentaires récents

Or

Très bonne lecture, très bonne suite. Je trouve que l’écriture dans le choix des mots est un peu trop moderne.

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Bronze

Un second tome qui suit la même trame que le 1er

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Bronze

J'ai préféré ce tome au premier. Le personnage de Gwendolen est plaisant, elle est forte, a son caractère et ne se laisse pas marcher sur les pieds, sans être agaçante (en même temps, face à Angus, il vaut mieux ^^)

J'ai aimé leur jeu de chat et de souris, ainsi que le courage dont Gwendolen fait preuve. Et le héros, Angus, malgré sa froideur et son indélicatesse, suscite l'empathie !

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Argent

Personnage que l’on apprecie peu dans le 1er tome mais que j’ai finalement apprecie découvrir tout au long de ce roman.

Un peu de suspens . J’ai beaucoup aimé le personnage de Gwendolen. Elle a obtenu ce qu’elle voulait

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Lu aussi

J'ai énormément apprécié de découvrir le personnage d'Angus qui m'avait déçu dans le premier volet. J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire ainsi que les personnages. J'ai eu du mal à le lâcher pour ne pas tout lire d'un coup.

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Argent

Lecture fluide. Romance légère. J'ai apprécié ma lecture même si j'avais l'impression qu'il manquait quelque chose, j'aurais aimé voir plus de développement dans leur relation. Ça reste cependant une bonne lecture.

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Petite histoire agréable à lire, elle n'est pas transcendante mais nous séduit en raison de l'attachement des personnages et de leurs interactions

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Lu aussi

Une romance des highlands sympathique bien que manquant d'un petit quelque chose pour vraiment l'apprécier.

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Bronze

En soit une histoire meilleure que le premier tome. Il y a beaucoup d’interactions entre les personnages et c’est intéressant.

Après ce n’est pas la romance highlander du siècle, elle sera vite lu et vite oubliée.

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Lu aussi

On retrouve Angus deux ans après les évènement du Tome 1.

L'histoire entre rapidement dans l'action avec la conquête du château du père d'Angus où vit actuellement Gwendolen et son clan.

Angus, qui ne veux que la paix, propose un marché où Gwendolen devra devenir sa femme. Sauf que la jeune femme aux cheveux noirs et aux yeux bruns ne compte pas céder si facilement à son ennemi.

Excusez-moi l'expression, mais une fois marié, ils b**** très facilement. Ils passent leur temps à ça, pire que des lapins... Les sentiments viennent par la suite...

La sorcière Raonaid tient aussi une place important lorsque qu'elle apparait...

Petit bémol, on a l'impression qu'il n'y a pas de fil conducteur. On suit les péripéties de deux jeunes gens, mais il n'y a pas d'action. Le rythme est lent sans avoir de longueurs. Ils se cherchent comme le chat et la souris.

La fin est par contre un peu plus travaillée que le Tome 1. Et on a hâte de lire le tome 3 !

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Date de sortie

Le Highlander, Tome 2 : Conquise par le Highlander

  • France : 2012-11-23 - Poche (Français)

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Titres alternatifs

  • Highlanders book 2 Claimed by the Highlander - Anglais

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Les chiffres

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Commentaires 39
extraits 9
Evaluations 94
Note globale 7.41 / 10

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