Le Jeu du maître, Tome 2 : La Révolution

Un peu long, mais il y a pas mal de suspense, je passe au tome 3 pour avoir le fin mot de l'histoire.

Beaucoup de rebondissements dans ce deuxième tome et l'épilogue donne vraiment envie de lire la suite avecSpoiler(cliquez pour révéler)apparemmentle retour de Helgadans la dernière phrase.

on entre dans du sérieux et les enjeux se posent, on accroche au récit

J'ai trouver ce tome 2 en dessous du premier. Je l'ai trouvé assez lent. L'épilogue remonte le niveau et donne envie de connaître la suite.

J'adore cette série ! Autant à la hauteur que Le Labyrinthe, bravo James Dashner !

J'étais assez mitigée au milieu du livre mais la fin a tout changé ! La surprise de la chute est aussi choquante et déroutante que dans le premier tome. Je me suis fait avoir les deux fois, même si dans ce tome, j'ai eu des doutes sur certains personnages. Encore un très bon livre !

J'ai beaucoup aimé le premier tome, mais j'ai eu plus de mal avec celui là, le rythme de l'action était plus lent, et il ne s'y passe pas tant de choses qui font vraiment avancer l'histoire.

Mais pourtant la fin se termine sur un épilogue qui donne envie de ce jeter sur le troisième tome pour savoir la suite et fin de cette histoire.

Au début, ce deuxième tome du Jeu du maître partait du bon pied. Je me disais qu’après tout, il ne pouvait que légèrement rattraper le tome 1, d’ailleurs quelques indicateurs annonçaient du positif : les réflexions de Michael sur sa situation, permettant de donner de la consistance au personnage. Les descriptions pour représenter le codage, rendant le concept plus concret et immersif. Une action légèrement mieux dosée avec plus de temps d’exposition.

Puis des questions ont commencé à poper dans ma tête. Des questions que les personnages se posaient, et d’autres qui n’étaient même pas évoquées alors que leur étrangeté était pourtant flagrante. Je me disais que ce n’était pas grave, les réponses arriveraient peut-être plus tard. À près tout, je n’étais toujours pas à la moitié du roman. Mais au fil des pages, elles ont commencé à s’accumuler, à devenir de plus en plus envahissante, créant petit à petit leurs incohérences. Si certaines n’auraient eu aucune chance de se justifier par la suite, j’avais toujours espoir que quelques-unes seraient débunker à la fin. Cependant, le mal étant déjà fait, la blasitude m’avait rattrapé.

Un autre facteur engendra cet état d’esprit. Les héros, décrits comme intelligent, mais qui ne font preuve d’aucune finesse. Ils possèdent des indices qui leur tombent sous le nez, qu’ils remarquent, et pourtant ils continuent à foncer droit dans la gueule du loup. Il peut être compréhensible que dans l’action, ils ne puissent prendre le temps de réfléchir, or ils ont déjà été manipuler dans le tome 1. La logique voudrait qu’ils deviennent méfiants. (Notons aussi leur morale parfois douteuse. Spoiler(cliquez pour révéler) Oui, pour moi, quand tu es responsable de la mort de trois policiers, qui n’ont aucune connaissance des tenants et des aboutissants de l’histoire, et que tu n’éprouves que peu de remords et de dégout, c’est que vraiment tu n’es pas net. Ce n’est pas parce que tu es le héros que tu peux te permettre de faire ce qui te chante, au-delà de toute éthique.

Ces gros défauts auraient pu me faire stopper net, mais ma curiosité (et la lecture très facile du roman), m’ont permis d’arriver jusqu’au bout ! Pour finalement tomber sur une fin prévisible et décevante, qui a rajouté une nouvelle couche sur ma blasitude déjà bien épaisse.

L’auteur a essayé de donner un sens profond à son histoire, et cela aurait pu être une bonne chose, mais il s’avère que ces pistes de réflexions (ou idées) sont empruntées grossièrement à d’autre œuvres. Comment ne pas penser à Inception (surtout quand on parle de rêve dans un rêve), de Matrix, ou encore de Player One (sortit deux ans avant le tome 1 de cette série.) Je ne sais même pas si on peut parler de références. J’ai eu la sensation que l’auteur avait juste pris des idées pour faire sa propre histoire. Résultat, le récit n’a aucune véritable identité propre. Il n’essaye ni d’apporter de nouvelle piste de réflexion, ni d’approfondir le sujet, et ni de créer quelque chose de nouveau avec de l’ancien.

Si dans l’ensemble, ce tome 2 aurait pu rattraper le tome 1, ses défauts sont tellement grossiers qu’ils ont réussi à m’exaspérer.

C’est une réelle déception que j’ai eue, mais cela ne m’empêchera pas de finir ce que j’ai commencé. (Et peut-être que certaines questions auront des réponses. Ou alors, le troisième tome en créera encore plus.)

une très belle continuation :p

Une belle suite, avec des réponses et de nouvelles interrogations.

Hâte de connaître la fin de cette trilogie qui m'a vraiment plu, jusqu'à présent en tout cas ^^