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Qui est cet inconnu capable d'en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu'antipathique ? Peut-on croire, comme il l'affirme, qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans ? Voilà un mystère que les passagers oisifs de ce paquebot de luxe aimeraient bien percer.
Le narrateur y parviendra. Les circonstances dans lesquelles l'inconnu a acquis cette science sont terribles. Elles nous reportent aux expérimentations nazies sur les effets de l'isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges.
Une fable inquiétante, fantastique, qui, comme le dit le personnage avec une ironie douloureuse, " pourrait servir d'illustration à la charmante époque où nous vivons ".
Étant donné que je suis en train d'étudier la Seconde Guerre mondiale et la torture qui y était faite. Je me suis dit que ça pouvait être pas mal de lire ce livre.
Je pensais que le livre allait parler de torture physique dans les camps et au final pas du tout, il traite vraiment de la torture psychologique et de la démence qu'éprouve le personnage dans cette chambre d'hôtel.
J'ai beaucoup aimé lire ce livre et découvrir tout le côté psychologique qu'il a subi, mais aussi comment il a réussi à s'en sortir grâce aux échecs.
Si vous voulez lire un bon livre sur la torture psychologique, je vous conseille de le lire.
C'est le premier roman de Zweig que je lis, et son écriture (ou la traduction ?) est très fluide, facile à comprendre. Adepte des romans de pure fiction, c'était une de mes craintes principales, ne pas comprendre un roman dit classique (après au moins dix ans sans en lire depuis le lycée, je suis un peu rouillée).
Cependant, si la lecture était facile et rapide, je ne pense pas avoir saisi tous les enjeux de ce roman. Si la psychologie autour du personnage de Monsieur B. est très complexe et saisissante, je ne comprends pas l'intérêt du personnage de Czentovic et des informations qu'on nous donne sur lui.
Un livre très court mais très intéressant et intense. Les échecs passent en second plan lorsque M. B. raconte son enfermement par les nazis et sa façon de s'évader grâce à un livre sur les échecs. Angoissant et oppressant !
Dans un paquebot de luxe, les passagers sont intrigués par un inconnu qui défie Czentovic, le champion mondial des échecs. Ce dernier, à l'allure fruste et antipathique, prétend ne pas avoir joué depuis plus de vingt ans, soulevant de nombreux mystères. Le narrateur découvre que les compétences de l'inconnu sont le résultat d'expériences traumatisantes vécues durant l'isolement, en lien avec les atrocités nazies. Cette fable inquiétante évoque les effets du désespoir et de la souffrance sur l'esprit humain.✨
Un des rares bons livres qu'on vous fait acheter au collège.
On ressent une certaine tension psychologique.
J'ai vraiment beaucoup aimé, surtout le passage cloîtré entre quatre murs.✨
Un livre qui commençait plutot bien mais qui a finalement dévié de sa route pour donner une oeuvre que je qualifie moi de médiocre, je n'ai pas du tout aimé les personnages
Une nouvelle bien écrite, intéressante par son contexte historique. Le récit paraît étrange, avec cet homme inconnu qui raconte son histoire, mais c'est ce qui fait son charme.
Mon premier roman de Stefan Zweig, que j’ai lu d’une traite tant il était passionnant. Je me suis retrouvée pendue aux mots d’un personnage énigmatique et tourmenté par les horreurs vécues sous le nazisme, qui, se pensant guéri de son traumatisme, manque malgré lui de sombrer de nouveau face aux appels de ses vieux démons.
C’est un récit psychologique fascinant qui nous fait découvrir les mystères du cerveau, capable de développer une compétence jusqu’à la connaissance extrême de celle-ci lorsque l’esprit humain est privé de toute activité et stimulation intellectuelle.
La nouvelle est encore plus touchante quand on sait que c'est le dernier écrit de l'auteur : il s'est ôté la vie en 1942 par désespoir face aux horreurs du génocide juif en cours.
Il s'agit donc un classique que je conseille à tous !
Le Joueur d'échecs est une nouvelle magistrale de Stefan Zweig qui explore la psychologie humaine à travers un jeu d'échecs entre un champion du monde et un mystérieux amateur.
Points forts :
- La tension psychologique : Zweig excelle à créer une atmosphère de tension, où chaque mouvement du jeu est accompagné d'une montée de suspense. Le parallèle entre l'intensité du jeu d’échecs et la lutte mentale des personnages est remarquablement bien écrit.
- La profondeur des personnages : Le capitaine Czentovic et le Dr B., l’amateur, sont deux opposés fascinants. Zweig utilise ces personnages pour explorer des thèmes complexes comme l'isolement, la folie et la résilience mentale.
- L’écriture : Le style de Zweig est d'une précision et d'une clarté remarquables, chaque mot ayant un impact. Il parvient à capturer toute la complexité psychologique dans une forme concise.
Points faibles :
- Peu de faiblesses : Le seul reproche que l’on pourrait faire à cette nouvelle est sa brièveté. Certains lecteurs pourraient souhaiter en savoir plus sur les personnages ou les événements qui les ont façonnés.
Avec une note de 17/20, Le Joueur d'échecs est une œuvre marquante qui parvient à plonger le lecteur dans une profonde réflexion sur la condition humaine, tout en maintenant une tension narrative captivante.
Résumé
Qui est cet inconnu capable d'en remontrer au grand Czentovic, le champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu'antipathique ? Peut-on croire, comme il l'affirme, qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans ? Voilà un mystère que les passagers oisifs de ce paquebot de luxe aimeraient bien percer.
Le narrateur y parviendra. Les circonstances dans lesquelles l'inconnu a acquis cette science sont terribles. Elles nous reportent aux expérimentations nazies sur les effets de l'isolement absolu, lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires, le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges.
Une fable inquiétante, fantastique, qui, comme le dit le personnage avec une ironie douloureuse, " pourrait servir d'illustration à la charmante époque où nous vivons ".
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