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Il s'agit d'un garçon de seulement cinq ans qui selon l'auteur était plutôt pitoyable. Dolfi, comme il est appelé, va comme tous les garçons de son âge, au jardin public.
Malheureusement et peut-être car il était laid, les autres enfants blonds et beaux, ne voulaient pas jouer avec Dolfi, et le bambin restait toujours seul dans son coin.
Pourtant, un jour tout a changé et les copains de Dolfi lui ont demandé s'il voulait jouer avec eux car il avait un nouveau jouet. Dolfi accepte la proposition mais les autres enfants le maltraitent et se moquent de lui.
Ce n'est qu'à la fin qu'on apprend la véritable identité de ce personnage qui a vraiment existé.
C’était une merveilleuse matinée ensoleillée, c’était un crépuscule orageux, c’était une tiède nuit éclairée par la lune, c’était un glacial après-midi de tempête, c’était une aube de cristal très pure, c’était seulement l’heure rare et merveilleuse de la victoire que peu d’hommes connaissent.
Un livre splendide, reprenant les thèmes chers à Dino Buzzati, à savoir l'angoisse de la mort, la déchéance et le sens de la vie, avec beaucoup d'humour. Un chef d'oeuvre.
Les thèmes chers à Buzzati sont tous présents : l'attente, l'inutilité des choses, le temps qui passe, les rendez-vous manqués, l'absurdité de l'existence,...
On ne peut reprocher qu'une chose à Buzzati : il est lisible facilement, par tous, du coup il n'est pas considéré comme un grand écrivain, comme il le mériterait.
Le K, de Dino Buzzati, est une pure merveille. Le titre ne fait référence qu'à la première histoire, celle qui ouvre le recueil, et le reste des textes est sans rapport avec ce titre. La plupart vous marqueront longtemps. Ce sont des merveilles de concision et de densité, vous faisant passer par une gamme incroyablement variée d'émotion : de l'humour, de la gravité, du cynisme, de la romance, du lyrisme, du désespoir. Rarement recueil aura renfermé une telle diversité et pourtant la patte de l'auteur est là, présente, qui unifie le tout dans une cohérence incroyable.
Le K, fut une lecture à deux vitesses. Le format du conte est génial parce qu’en quelques pages, l’on peut sauter d’une histoire à l’autre et d’une morale à l’autre.
L’auteur connu notamment pour le désert des Tartares, nous propose ici sa vision de thème bien spécifique au travers de contes, avec tout ce que le conte renferme, du burlesque, de l’absurde, une touche de fantastique et de la cruauté, celle des hommes.
En fonction des contes, mon intérêt variait, certains sont excellents et m’ont parlés, j’ai reçu le message avec aisance, certains m’ont parus plus abscons, sans doute dû à l’éloignement dans le temps entre la période à laquelle cela a été écrit et celui ou je l’ai reçu, notamment avec les codes sociétaux de l’époque, différents des notre actuels.
Mais ça reste une lecture plaisante, la dernière partie nous emmenant dans un enfer imaginé par l’auteur avec une morale évidente et implacable du point de vue exposé. Une mention toute particulière au premier conte “Le K”, je pense que celui-ci représente tous les codes du contes, génial !
Le K, de l'auteur italien Dino Buzzati, est une pure merveille. Le titre ne fait référence qu'à la première histoire, celle qui ouvre le recueil, et le reste des textes est sans rapport avec ce titre. La plupart vous marqueront longtemps. Ce sont des merveilles de concision et de densité, vous faisant passer par une gamme incroyablement variée d'émotion : de l'humour, de la gravité, du cynisme, de la romance, du lyrisme, du désespoir. Rarement recueil aura renfermé une telle diversité et pourtant la patte de l'auteur est là, présente, qui unifie le tout dans une cohérence incroyable.
Le K, de l'auteur italien Dino Buzzati, est une pure merveille. Le titre ne fait référence qu'à la première histoire, celle qui ouvre le recueil, et le reste des textes est sans rapport avec ce titre. La plupart vous marqueront longtemps. Ce sont des merveilles de concision et de densité, vous faisant passer par une gamme incroyablement variée d'émotion : de l'humour, de la gravité, du cynisme, de la romance, du lyrisme, du désespoir. Rarement recueil aura renfermé une telle diversité et pourtant la patte de l'auteur est là, présente, qui unifie le tout dans une cohérence incroyable.
Une véritable légèreté présente tout au long du recueil de nouvelles, légèreté n'empêchant pas d'aborder des thèmes originaux, graves ou plus classiques, le tout avec un regard d'une certaine profondeur qui invite -mais sans l'obliger- le lecteur à l'accompagner comme dans une balade champêtre avec un ami philosophe qui vous parlerait de la nature des hommes et du monde qui nous entoure, comme ça, juste pour le plaisir.
Oui, c'est bien d'une telle liberté tranquille qu'on parle, et ça fait vraiment du bienCes nouvelles peuvent s'apparenter souvent à des contes ou à des fables avec parfois des fins surprenantes.
Buzzati nous fait des clins d'œil, des sourires en coin, son « K » est un rappel de celui de Kafka, de son absurdité pourtant bien organisée, son côté fantastique, le genre, pas le superlatif. Découvrez le « K, » un monstre des mers qui suivit un capitaine toute sa vie pour lui remettre un cadeau précieux. Ou encore l'histoire de Dolfi, ce petit garçon dont les autres se moquaient mais qui plus tard se vengea contre toute l'humanité. Mais encore : le « cas » de cet homme qui écrivait si bien qu'il eut peur de faire trop de jaloux, et donc modéra l'expression de son talent.... Cinquante petits textes pleins d'humour, qui éclairent brièvement mais remarquablement la faiblesse, la naïveté humaines, son entêtement, son tragique, son comique.
Lu en 4eme je crois j'en avais gardé un bon souvenir, aujourd'hui plus de 30 ans après j'avoue que à part quelques nouvelles comme le K, pauvre petit garçon, chasseurs de vieux, le veston ensorcelé le reste est plutôt "chiant"
J'ai tenu à le terminé mais c’était plus proche de la corvée que du plaisir
Si j'ai beaucoup aimé la première nouvelle - qui donne son nom au recueil - ainsi que quatre ou cinq autres, je n'ai pas été conquise par l'ensemble de l'œuvre, et j'ai déploré une certaine redondance dans les thèmes et situations abordés.
Résumé
Il s'agit d'un garçon de seulement cinq ans qui selon l'auteur était plutôt pitoyable. Dolfi, comme il est appelé, va comme tous les garçons de son âge, au jardin public.
Malheureusement et peut-être car il était laid, les autres enfants blonds et beaux, ne voulaient pas jouer avec Dolfi, et le bambin restait toujours seul dans son coin.
Pourtant, un jour tout a changé et les copains de Dolfi lui ont demandé s'il voulait jouer avec eux car il avait un nouveau jouet. Dolfi accepte la proposition mais les autres enfants le maltraitent et se moquent de lui.
Ce n'est qu'à la fin qu'on apprend la véritable identité de ce personnage qui a vraiment existé.
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