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A l'hôtel K., le plus célèbre de la capitale, on avait, ce soir-là, organisé un grand bal. Vers cinq heures du matin, un peu avant l'aube, même ceux qui avaient dansé toute la nuit étaient déjà partis et, dans l'entrée, les serviteurs commençaient tout juste à somnoler quand une voiture vint s'arrêter devant la porte à tambour.

Mme Midorikawa était de retour.

Elle descendit, enveloppée dans un manteau de fourrure, en compagnie d'un homme. Il avait environ quarante ans, une belle moustache, un bouc épais, de grosses lunettes à monture d'écaille et, avec son épais pardessus à col de fourrure et son pantalon de cérémonie à rayures, il avait tout l'air d'un homme politique important.

"Cette personne est un ami. La chambre voisine de la mienne est toujours libre, n'est-ce pas ? Veuillez la préparer, s'il vous plaît, demanda Mme Midorikawa au gérant de l'hôtel qui était à la réception.

- Oui, elle est libre. Je m'en occupe", répondit-il avec amabilité, avant de donner des ordres.

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Je me fais une joie de devenir l'esclave de ma reine.

Je ferais n importe quoi pour vous. Je peux même embrasser la semelle de vos chaussures.

En contrepartie, n'abandonnez pas votre esclave.

Vous ne m'abandonnerez pas, dites ?

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Sur son bras gauche, un lézard noir ondulait, il semblait ramper tout en donnant l'impression qu'il allait se déplacer de son bras vers l'épaule, puis vers le cou, pour arriver enfin jusqu'aux lèvres humides et rouges, il restait indéfiniment surplace.

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Le lecteur pense peut-être que je me suis trompé. Il va protester et me dire que Mme Midorikawa dort dans le lit voisin de celui de M. Iwase, sous les traits de Sanae, et qu'il est donc impossible de la rencontrer venant du couloir.

Mais je vous assure que l'auteur ne s'est pas trompé. Il n'existe qu'une seule et unique Mme Midorikawa. Vous en saurez plus si vous avez la patience de poursuivre la lecture.

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En même temps, on avait entrepris des recherches dans la maison. Ce fut une mobilisation générale des employés, à commencer par les étudiants et les trois policiers qui avaient été envoyés en mission. On fouilla la propriété de fond en comble : le grand salon, la chambre de Sanae, les étages, les sous-sols, le parc, et jusque sous les vérandas.

Mais Sanae restait introuvable, évaporée comme une goutte de rosée dans le soleil matinal.

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