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«Voilà, on voulait vous dire, on aime bien ce que vous faites. Ça nous fait drôlement du bien.
Ça va bientôt faire un an que Josette et moi, on vient vous écouter tous les lundis et jeudis matin.»
Sur le chemin du travail, Guylain lit aux passagers du RER de 6 h 27 quelques pages rescapées de livres voués à la destruction. Ce curieux passe-temps va l’amener à faire la connaissance de personnages hauts en couleur qui cherchent, eux aussi, à réinventer leur vie.
Un concentré de bonne humeur, plein de tendresse et d’humanité.
Lorsqu’il ne parlait pas en alexandrins, le gardien faisait des phrases courtes, non pas qu’il fût avare de mots mais il préférait réserver sa voix à la seule chose qui en valut vraiment la peine à ses yeux : le douze pieds.
Guylain Vignolles, 36 ans, prend tous les jours le RER qui le conduit à l'usine où il travaille, celui de 6h27. Chaque jour, c'est le même rituel, Guylain ne peut s'empêcher de sortir ses feuillets et les lire à haute voix, devant tous les passagers attentifs. Peu importe le sujet pourvu que cette lecture le tienne momentanément occupé, éloigné de cette "Chose" née pour "broyer, aplatir, piler, écrabouiller, déchirer, hacher, lacérer, déchiqueter, malaxer, pétrir, ébouillanter"... : la Zestor 500, une gloutonne, un bulldozer jamais rassasié...
C'est un premier roman fort sympathique, imaginé et narré avec beaucoup de fraîcheur, d'humour, d'originalité et de tendresse.
Il démarre fort, très fort avec la description, sur une quarantaine de pages, de cette "chose", sans jamais la nommer mais en la personnifiant au possible : jolie performance, joli style aussi.
L'histoire pourrait sembler tout à fait banale, mais elle met en scène des personnages auxquels on s'attache, jusqu'au poisson au prénom célèbre. Elle est surtout un bel hommage au livre et à la lecture, un hommage à la poésie, au théâtre, aux alexandrins, rimes, hémistiches, syllabes et quatrains, où la personnification est reine, presque une allégorie. C'est ce qui dans ce livre a le plus retenu mon attention.
C'est également une histoire d'amitié, de solidarité, entre Guylain et Giuseppe, un partage pour l'amour de la lecture avec tout un groupe de personnes âgées que Guylain retrouve les samedis matin. C'est également la "rencontre", à travers une clé USB trouvée dans un wagon du RER, avec Julie, dame-pipi dont le lecteur tout autant que le protagoniste, apprendront à connaître (j'ai trouvé néanmoins tout ce passage sur Julie et ses écrits, un peu long et moins réussi que tout le reste du roman).
Mais la fin est jolie et reste ouverte, signe peut-être d'un second tome en préparation... c'est en tout cas une lecture que je recommande, un auteur qui gagne à être connu et qui a un réel potentiel pour l'écriture.
Un roman sympathique, très agréable si l'on veut passer un bon moment de lecture! La dernière partie du roman, consacré au personnage de Julie est très drôle (je riais toute seule dans le bus, ce qui faisait un peu flipper la dame à côté de moi...).
Un roman assez court avec une histoire sympathique . On se demande quand même où on va avec cette intrigue. Pas bien sure au départ que la finalité tiendrait la route.
Je ai pas été happée par l’histoire, ni tenue en haleine de fou mais les chapitres sont courts donc ça se lit vite et la quête du personnage intéressante quand même.
J’ai eu du mal d’ailleurs à cerner le protagoniste principal, aussi bien dans son âge que dans son métier. Il apparaît plutôt comme transparent.Pas d’accroche de manière générale même avec les autres.
Mais la plume de l’auteur apporte une petite touche qui facilite la poursuite de la lecture.
Jusqu'à la moitié du livre, je me suis dit que l'auteur nous racontait une drôle d'histoire un peu sombre. Puis ça décolle et là, c plein d humour ; une belle histoire.
Un peu moins de 200 pages pour passer un moment agréable dans les transports (les nôtres et ceux du livre). L’histoire est gentillette et ça passe bien.
Une plutôt bonne découverte, sans être transcendante. C'est mignon, peut-être un peu naïf sur les bords, mais on se laisse prendre au jeu des différentes sous-intrigues, et en particulier celle de la fameuse clé USB et de ses bouts d'histoire qui m'ont parfois fait sourire.
Ce roman est un bonbon de douceur. Notre héros fait un travail qu'il déteste et vit dans un petit studio mais ça ne l'empêche pas d'avoir le cœur sur la main. Toujours serviable, toujours prêt à aider. Dans ce roman la lecture rassemble les gens et je trouve que c'est une très belle idée.
Un homme improbable, une machine qui l'est tout autant et tout ça pour donner à des voyageurs, pas tous endormis, lecture de pages épargnées par hasard. Dit comme cela, il n'y a pas de quoi être attiré, et pourtant impossible de s'arrêter une fois commencé. Chaque page est une véritable petite nouvelle, avec un style, un sens différent qui vont de l'humour à l'émotion. Chaque chapitre se termine sans que l'on voie comment cela peut continuer. Et ça continue, toujours plus surprenant au point que l'histoire que l'on jugeait loufoque et limitée apparaît possible, plausible, réaliste, réelle. Le banal se transforme en bonheur. Le style, les expressions y sont sans doute pour beaucoup. Franchement un excellent moment.
Résumé
«Voilà, on voulait vous dire, on aime bien ce que vous faites. Ça nous fait drôlement du bien.
Ça va bientôt faire un an que Josette et moi, on vient vous écouter tous les lundis et jeudis matin.»
Sur le chemin du travail, Guylain lit aux passagers du RER de 6 h 27 quelques pages rescapées de livres voués à la destruction. Ce curieux passe-temps va l’amener à faire la connaissance de personnages hauts en couleur qui cherchent, eux aussi, à réinventer leur vie.
Un concentré de bonne humeur, plein de tendresse et d’humanité.
Aux Éditions Folio
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