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Un chef-d'œuvre : Le livre de ma mère. Un livre unique qui durera. La plus belle histoire d'amour.
Marcel Pagnol, de l'Académie française, Combat.
Je ne crois pas que l'on ait jamais écrit sur la mère, sur ce qu'elle peut inspirer de tendresse, de vénération, de regrets, de remords même, des pages plus belles, plus profondément et sobrement émouvantes.
Roger Giron, La voix du Nord.
J'ai lu deux fois Le livre de ma mère. Ce livre déchirant colle à vous. Il m'a fallu lui revenir et le reprendre.
Émile Henriot, de l'Académie française, Le Monde.
Il faut lire ce témoignage extraordinaire d'un fils. Aucun écrivain n'avait, avant Albert Cohen, parler de sa mère sur le ton où il parle de la sienne.
André Billy, de l'Académie Goncourt, Le Figaro.
Le livre de ma mère est un des plus beaux romans d'amour qui aient jamais été écrits.
Fils des mères encore vivantes, n'oubliez plus que vos mères sont mortelles. Je n'aurai pas écrit en vain, si l'un de vous, après avoir lu mon chant de mort, est plus doux avec sa mère. Aimez-la mieux que je n'ai su aimer ma mère. Que chaque jour vous lui apportiez une joie, c'est ce que je vous dis du droit de mon regret, gravement du haut de mon deuil.
Je viens de reposer le livre d'Albert Cohen "Le livre de ma mère". Impressions partagées. Ce n'est pas le chef d'oeuvre auquel je m'attendais, au portrait indéniable d'une mère inoubliable.
Albert Cohen vient d'enterrer sa mère et seul devant la vie il se sent des remords, celui surtout de ne pas avoir été présent à son dernier souffle. Alors commence une longue litanie de plaintes et de regrets.
Assis devant la page blanche, il écrit consciencieusement tous les souvenirs qu'il garde de sa mère, celle qu'il a aimé plus que tout. Or c'est justement parce qu'il a perdu cet être si cher, qu'il se rend compte à quel point elle tenait une place primordiale dans sa vie.
Elle n'a d'importance que pour lui, car pour nous, lecteurs, elle ne nous apporte rien. Surtout dans la manière qu'il a de la décrire, comme si elle lui appartenait, à lui, pas à nous.
Et pour cela il nous la livre toute habillée de pauvreté, de ridicule, de simplicité, de timidité. Elle a été jeune et belle, riante, aimant les bords de mer. Mais cela passe si vite et Albert Cohen s'attarde sur ses coquetteries de vieille femme empâtée qui veut se faire belle pour son fils adoré. Oui, il est le fils unique, le seul pour qui tout son amour se destine. Elle est sienne et pourtant elle n'est plus. Il s'en veut de vivre, de vouloir vivre encore, d'aimer la vie...
Et voilà que je pense au père. Absent. Ou bien moins aimé. Et j'ai de la peine pour lui, lui qui n'a pas su s'ériger en figure de proue dans la vie de son fils. A peine une ou deux allusions. Et pourtant sa mère n'était pas qu'une mère. Elle était épouse, elle était grand-mère. Mais Albert Cohen, en bon fils égoïste, ne nous livre pas ces aspects de la vie de sa mère. Elle était à lui et restera à jamais "sa" mère. Et rien d'autre.
C'est un livre intéressant, beau et bien écrit, mais ce n'est pas le meilleur de l'auteur de "Solal"... Livre plus intimiste, ce qui le rend touchant, Albert Cohen se livre ici en toute transparence, tout en faisant rejaillir cet amour et cet humanisme qui le caractérisent particulièrement.
Je viens de finir le livre. Je n’apprécie pas particulièrement le style de l’auteur mais soit. Je n’ai pas réussi à trouver le livre émouvant. La première partie du livre est odieuse. Ce livre se veut en hommage à sa mère mais quel hommage ! Il ne reconnaît que sa mère après l’avoir perdu. Avant cela elle est docile, sotte, grosse, presque soumise à son fils, bavarde et naïve. Certes, par moment il met en lumière sa mère mais wow c’est violent je ne comprends pas tous les avis si positifs. Plusieurs fois il la compare à un animal, à une « pauvre chérie » c’est infantilisant au possible ! Dans certains passages elle est presque ridiculisée (cf : le moment où il lui offre un classeur pour ranger ses documents et où elle est incapable de ranger correctement ses factures) c’est donc ça la vision si affective qu’il a de sa mère ? Le fils est au centre de tout. C’est son unique monde (avec son mari) elle ne se réalise qu’à travers eux. Elle ne vit que pour eux. De plus, son fils la mise de côté de tout au long de sa vie. Au final on ne connait rien de sa mère, qu’aimait-elle vraiment ? Les tâches ménagères ? La cuisine ? Son fils ? Abjecte.
Lors de ses entretiens avec des journalistes et des critiques littéraires, Albert Cohen a régulièrement affirmé le caractère autobiographique de son récit qui constitue un « hommage » à sa mère décédée, un témoignage sur la « majesté de l'amour » maternel.
Albert Cohen a effectué un travail d'idéalisation visant à construire l'image d'une mère parfaite qui n'a vécu que pour et par son fils. Il exprime son désarroi et sa tristesse face à la mort de sa mère, aimante et attentionnée, et revient avec tendresse, et un sentiment de culpabilité, sur les moments passés avec elle, regrettant de ne pas lui avoir assez témoigné son amour et montré combien elle fut importante. Avec poésie et humanisme il décrit ainsi diverses scènes et ne cesse d'affirmer combien il aimerait qu'elle soit encore présente.
La première partie du livre est rythmée par une sorte de litanie lyrique exprimée par l'anaphore « jamais plus », tandis que la seconde partie est structurée avec l'anaphore « je la revois » ou « je revois ». Le regret, toujours présent, et la fascination du souvenir guident l'écriture d'Albert Cohen qui se livre à la difficile narration du souvenir heureux.
Ce livre ne peut pas laisser indifférent, il est fait d'émotions et de sentiments forts, et le décalage entre l'éducation et les valeurs transmises par la mère et la vie moderne donne souvent lieu à des situations touchantes.
La mort de sa mère a été insupportable pour Albert Cohen, en fait la mort de toutes les mères est insupportable pour tous les fils. La vie est peu de choses, il faut profiter de ses proches quand il est encore temps. A lire.
Ce livre était simple et rapide à lire mais pour moi peu attractif. On comprend tout l'amour que l'auteur portait à sa mère, mais on voit aussi une forte dépendance dans cette affection, exemple à la page 130, du XVIII, "[...] machinalement presser le globe de mon œil. Ca fait une illusion d'optique et je vois dans la glace deux orphelins. Et avec moi, ça fait trois et ça tient compagnie."
Mon avis est plutôt partagé . J'ai trouvé que ce livre était parfois pesant . Et j'avais beaucoup de mal à entrer en empathie avec l'auteur, que j'ai trouvé parfois puéril et naïf. D'une certaine manière je l'ai trouvé assez malhonnête dans ce processus de deuil.
Résumé
Le livre de ma mère
Un chef-d'œuvre : Le livre de ma mère. Un livre unique qui durera. La plus belle histoire d'amour.
Marcel Pagnol, de l'Académie française, Combat.
Je ne crois pas que l'on ait jamais écrit sur la mère, sur ce qu'elle peut inspirer de tendresse, de vénération, de regrets, de remords même, des pages plus belles, plus profondément et sobrement émouvantes.
Roger Giron, La voix du Nord.
J'ai lu deux fois Le livre de ma mère. Ce livre déchirant colle à vous. Il m'a fallu lui revenir et le reprendre.
Émile Henriot, de l'Académie française, Le Monde.
Il faut lire ce témoignage extraordinaire d'un fils. Aucun écrivain n'avait, avant Albert Cohen, parler de sa mère sur le ton où il parle de la sienne.
André Billy, de l'Académie Goncourt, Le Figaro.
Le livre de ma mère est un des plus beaux romans d'amour qui aient jamais été écrits.
Paris-Match.
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