Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 505
Membres
1 006 767

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

[…] je voulais tout lui avouer, lui hurler qu’il était ma vie, mon soleil, mon avenir, mon passé, mon présent, mon instant, mon rêve, mon tout, mon amour. Je voulais qu’il reste près de moi, qu’il me raconte son enfance, ses souvenirs, ses peurs de petit garçon, je voulais connaître chacun de ses rêves, même le plus fou, chacun de ses cauchemars, même le plus sordide, je voulais connaitre les bêtises qu’il avait faites, les espoirs qu’il avait perdus, les surprises qui l’avaient bouleversé, je voulais enfouir mon nez contre lui, passer ma main dans sa touffe de cheveux ébène et hirsute, écouter sa voix, le son de sa voix, juste le son, grave et doux, et son souffle lent et régulier, son rire silencieux, je voulais qu’il m’emmène dans les endroits qu’il avait aimés, je voulais rire avec lui, dormir avec lui, penser avec lui, voler avec lui et me laisser glisser dans le ciel, l’air caressant nos plumes, je voulais lui faire découvrir mes rêves, lui dire mes peurs et mes cauchemars, je voulais le voir vieillir à mes côtés, je voulais me perdre dans ses bras, oui je voulais oublier le monde, la folie du monde dans ses étreintes et n’être plus qu’un grand tout, unique, uni, pour toujours, avec lui.

Afficher en entier

- Non, je n'ai jamais éprouvé le besoin d'initier quelqu'un. Sinon vas-y, pose-moi ta question carrément, arrete de tourner autour du pot, ajouta-t-il en entortillant une de mes mèches autour de sa main droite.

- Eh ben alors, dis-moi combien de... de... de demoiselles faucheuses tu as eu dans... euh, ton lit.Voilà! bramai-je.

- Oh, tu sais, entre nous, on préfère faire ça dans les arbres... Les humaines ne t'intéressent pas? lacha-t-il sur un ton badin.

- Les... les humaines? m'etranglai-je. Si pendant qu'on y est, ne fais pas d'impasse, hein!!

Afficher en entier

« Voilà qui était rassurant, non, vraiment... Être vengée quand on est mort. Super, ça me faisait une belle jambe ! »

Afficher en entier

-Je vous presente ma fille ! Annonca Niels sans prendre de pincettes.

Je pense que j'aurais prefere une entre en matiere plus delicate. La rumeur s'eleva.

-Ta fille ? Qui est sa mere ? D'ou sort-elle ?

Mes joues virerent au cramoisi.

-Et, ma compagne, ajouta Tod.

Non, pire que cramoisi.

Afficher en entier

-Hein? Tu veux que je prennes son arush?

Tod fit oui de la tête

-Mais je croyait que si deux Faucheurs se retrouvaient devant un mort, le plus agé était prioritaire?

-Je te le cède! répondit Tod, aussi ravi que s'il m'offrait un bouquet de fleurs.

Afficher en entier

Je n'avais pas de tronçonneuse pour disparaître. Alors pour toute réponse, je me jetai sur sa bouche. Tod répondit aussitôt à mon étreinte. Il décrocha ma ceinture de sécurité avec un "clic" sec, ses bras m'enlacèrent et me soulevèrent hors de mon siège pour m' asseoir sur lui. Je ne décollai pas de son visage et mon pouls atteignit la vitesse de la lumière, emporté par le plaisir suave d'être tout contre lui. D'un geste adroit, il fit glisser son kartan dans mon dos pour que je ne le touche pas, je descendis le long de son cou, goûtant sa peau salée, j'embrassai goulûment ses épaules, je fouillai son torse, son dos, je me pressai contre lui, saoule de son odeur exquise. Je le dévorai et me laissai manger en retour, ses mains me faisant frissonner de volupté.

Afficher en entier

Page 399

- SASKIA !

C'était Jenna .

Je bondis au fond de la grotte, le coeur battant.

- Il est réveillé...

Elle inspira un grand coup avant de poursuivre.

- Il est vivant, Saskia. Le seul problème, et je ne te cache pas qu'il est de taille, c'est que l'une de ses ailes est arraché, émietté à plusieurs endroits. Je... je vais faire de mon mieux mais... Je ne sais pas s'il pourra revoler un jour, souffla t'elle.

Je m'approchais pas feutrés. Tod était allongé sur le côté, ses ailes recroquevillées derrière lui, et ma poitrine se serra en les découvrant si cabossées, difformes. Le processus de guérison s'annonçait mal...

Afficher en entier

« Tout s'éclaira, mon existence entière prit un sens, s'habilla d'une logique implacable, et un sanglot me secoua, m'empêchant de reprendre ma respiration. La vie tenait à un fil si ténu ! Un chemin se présente à nous, on le prend sur une impulsion curieuse, parfois sans nous en rendre compte, et sans lui, nous pouvons tout rater ! La robe rouge ou la grise, sortir ce soir ou aller au cinéma, tourner dans la première rue plutôt que dans la deuxième, et notre vie bascule. Pourtant, à l'instant précis du choix, nous n'avons aucune connaissance, aucune conscience de ce qui nous attend, nous avançons en aveugle, à tâtons, espérant ne pas nous tromper. C'est ce que me disait mon père : la bouleversante magie du monde, du hasard, des rencontres, des décisions en apparence infimes qui nous mènent sur une voie qui devient la nôtre et s'avère atroce ou magnifique. »

Afficher en entier

Je ne sais pas où je suis. Je ne vois rien, je n'entends rien,je ne sens rien. Autour de moi les ténèbres. J'écarquille les yeux pour apecevoir une lumière mais la nuit est absolu. Je baigne dans un noir opaque. Cette épaisse obscurité me recouvre entièrement, m'enveloppe, m'opresse. Elle est presque palpable, se glisse sur mes vêtements,se faufile entre mes doigts.

Comme une aveugle je tends les bras,j'avance. Je remarque avec effroie qu'aucun de mes pas ne résonnent. Ni crâquement, ni frôlement. L'atmosphère cotonneuse étoufe les bruits, tue juqu'à l'air que j'exhale : ma respiration n'émet aucun son. Le silence est total, parfait. Je frissonne et poursuis. Chaque seconde je m'attends à rencontrer un obstacle, me cogner contre un arbre [...] Soudains au travers de mes pupilles dilatées, j'aperçois un point incandescendant [...] J'approche encore. Ce point a l'air réel. Je force l'allure de peur qu'il ne disparaisse.C'est une porte large où jaillit une lumière blanche, lumière qui pénètrent à peine l'obscurité trop dense. j'approche encore. Désormais je distingue une masse informe sur le sol juste dans l'encadrement de la porte. je crois d'abord que c'est un tas de chiffons. Alors que je suis à une dizaine de mètre de cet amas, pourtant mon coeur vient tambouriner contre ma poitrine comme s'il voulait en sortir. Mes mains se couvrent de transpiration je retiens mon souffle. Quelque pas et j'en suis certaine. La masse informe est une sihlouette d'homme, une silouhette familière,une silouhette adorée, chérie, couchée sur le dos, dans une position incongrue. Deux ailes repliés cambrent son corps. Et part terre un liquide noir glisse avec lenteur, irisés des réflets de la lumière toute proche. Je hurle :

"-TOOOOOOOOOOOD!!"

Afficher en entier

La porte d'entrée claqua. Un baiser sur ma joie. Qu'est-ce qui venait de se passer ? Sur la joue. Comme une copine. Tod s'éloignait, insaisissable, tranchant comme une faux, dur, si dur… Pouvait-il seulement m'aimer encore, en se comportant ainsi ? Je n'avais plus le courage de penser. Ma tête était vide, broyée par la souffrance.

~page 331~

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode