Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
Theodore Sturgeon — de son vrai nom Edward Waldo — est l'un des « Grands de l'Age d'Or », avec Van Vogt, Asimov, Heinlein. Il est né en 1918 aux U.S.A. Sa première nouvelle est publiée en 1939 dans la revue Astounding Science Fiction. Sa production littéraire abondante est rythmée par les aléas de sa vie sentimentale (il s'est marié cinq fois !). Il a publié de très nombreuses nouvelles et des romans, dont deux chefs-d'oeuvre : Cristal qui songe (1950) et Les Plus qu'humains (1953), pour lequel il a obtenu l'International Fantasy Award. En dépit de ses tendances dépressives, Sturgeon exprime dans ses oeuvres une conception générale optimiste des rapports humains, en un style parfois moralisant mais dont Gérard Klein a pu dire qu'il était « une sorte de lave de mots... s'accordant aux pulsations mêmes de son coeur ».
Afficher en entier