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Le libre arbitre de l'agriculteur dans tout cela ? Il n'existe plus. Le paysan n'est plus qu'un technicien, lourdement endetté, à la solde des industriels, avec lesquels il se doit d'être lié puisque ces derniers s'engagent à lui acheter une partie importante de sa récolte chaque année.

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La dernière phrase

Il y a de quoi faire, de quoi réformer, pour mieux vivre et faire vivre. N'est-ce pas un beau projet ? Une belle ambition pour vous, pour nous ? Madame, monsieur, cher futur président, si seulement vous osiez...

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Pourtant il y a d'autres solutions. Comme celle préconisée depuis trois ans maintenant par l'entreprise Valma. Roger Balleix et son associé Frédéric Pétillot, ingénieur agronome, ont calculé pour le compte de l'Ademe qu'il y avait en France, chaque année, environ 420 000 tonnes de produits emballés non conformes pouvant parfaitement être recyclés en alimentation animale. Autant de produits que l'on préfère pour le moment jeter...

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Car, vous l'aurez compris, les donneurs d'ordres des agriculteurs, les façonniers de la terre, ce sont désormais les industriels. Ils vont jusqu'à imposer les variétés qui leur conviennent.

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Pour l'industrie des pesticides, la réponse est donc claire. Leurs produits ne sont pas des poisons, ce sont les agriculteurs qui sont des abrutis, incapables de lire une étiquette correctement. et qu'importe si ce sont eux les première victimes des ces cochonneries qui les intoxiquent au quotidien. Ils n'avaient qu'à lire les étiquettes.

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Pour fabriquer un porc, il faut 11 mois, la coopérative le garde 4 jours, la grande distribution le vend dans la journée, et ce sont pourtant ces deux maillons-là qui captent l'intégrité de la marge.

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Bien entendu, qui dit modernisme dit gigantisme. La taille moyenne des exploitations à été multipliée par 70 en quarante ans. Dans les fermes d'antan, on se félicitait de compter 12 ou 13 porcs. Aujourd'hui à moins de 900 cochons, c'est une exploitation miniature. Trois mille élevages concentrent plus de la moitié du cheptel de France. En haut du podium, la Bretagne, qui détient le sinistre record d'élever plus de la moitié des porcs de l'Hexagone. En Armorique, il y a trois fois plus de porcs que de Bretons.

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Et plus l'élevage est vieux, plus il est gourmand en énergie. Or la majorité des élevage porcins bretons ont dans les dix-huit ans bien tassés. Ils consomment environ 1 171 kilowatts-heure par truie et par an. Soit quasiment le double de la consommation électrique moyenne d'un albanais ou d'un indien, six fois et demie celle d'un ivoirien et l'équivalent de celle d'un cubain...

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Dans son édition de 1952, le Larousse agricole élevait pourtant au rang de première condition à la réussite de l'élevage le fait que "les animaux vivent le plus possible à la lumière dans des enclos bien ensoleillés"...

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Comment on assassine nos paysans, notre santé et environnement

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