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Dès qu'il pénétra dans la roulotte, Jefe se rendit compte que quelque chose de terrible s'était passé. Ce n'était pas le désordre absolu qu'il y régnait qui le lui fit comprendre, ni même les chaises renversées. Non, ce fût plutôt l'air de la Dame Mystique elle-même. Elle était assise à sa table comme à son habitude, mais elle avait beaucoup, beaucoup changé. Principalement parce qu'elle n'avait plus de tête [...]

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Première leçon: à Santa Mondega, quand quelqu’un tient des propos un peu délirant, il y a fort à parier que c’est vrai.

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Sanchez avait horreur que des inconnus entrent dans son bar. En fait, il détestait également les habitués, mais il les accueillait tout simplement parce qu'il avait peur d'eux. Éconduire un habitué, ce serait signer son propre arrêt de mort. Les criminels qui fréquentaient le Tapioca étaient toujours à l'affût de la moindre occasion d'y prouver ce qu'ils valaient, parce que c'était le plus sûr moyen d'acquérir une renommée, jusqu'au sommet de la hiérarchie du monde du crime.

Le Tapioca était un bar qui avait vraiment du caractère. Ses murs étaient jaunes, et pas d'un jaune agréable : plutôt un jaunâtre de fumée de cigarette. Rien d'étonnant à cela : l'une des nombreuses règles tacites du Tapioca était l'obligation, pour l'ensemble de la clientèle, de fumer. Cigares, pipes, cigarettes, joints, narguilés, cigarillos, bangs, tout était autorisé, excepté ne pas fumer. Ne pas fumer était tout à fait inacceptable. Le fait de ne pas boire de l'alcool était aussi considéré comme un péché, mais le plus grand des péchés, c'était d'être un inconnu dans ses lieux. Dans ce bar, personne n'aimait les inconnus. Les inconnus n'apportaient que des problèmes. On ne pouvait pas se fier à eux.

Aussi, lorsqu'un homme, vêtu d'une longue cape, capuche rabattue sur la tête, entra et s'assit sur un tabouret de bois au bar, Sanchez eut la certitude qu'il ne ressortirait pas en un seul morceau.

La vingtaine d'habitués attablés cessèrent leur conversation et toisèrent longuement l'homme encapuchonné assis au bar. Sanchez remarqua qu'ils s'étaient également arrêtés de boire. C'était mauvais signe. S'il y avait eu une musique d'ambiance, elle se serait sûrement interrompue dès l'entrée de l'inconnu. Le seul son audible était à présent le bourdonnement continuel du gros ventilateur fixé au plafond.

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Je n'arrive pas à y croire : un livre sans nom, écrit par un auteur anonyme, emprunté par quelqu'un qui n'a pas d'adresse. Complètement improbable.

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"Comment? Alors tu n'as pas fais semblant?

- Mais non, putain! Est-ce que j'ai eu l'air de faire semblant? Ce mec a failli m'arracher la tête, bordel de merde. Putain." Une idée lui traversa soudain l'esprit. "Est-ce que j'ai perdu des dents?"

Kyle décida de lui pardonner ses écarts de langage, le temps qu'il recouvre tous ses esprits.

"Non, répondit-il. Apparemment, Rex a sciemment bridé la force de son coup de poing pour s'assurer qu'il ne casserait aucune de tes dents. C'est plutôt gentil de sa part, tu ne trouves pas?

-Oh, qu'est-ce que c'est sympa, il a bien mérité qu'on lui offre à boire! Putain de merde, ma tête. Merde."

L'amnistie langagière arrivait à son terme. Kyle avait supporté plus de jurons qu'il était prêt à en souffrir. "Pourrais-tu cesser d'être grossier, s'il te plaît, Peto? Il ne me semble pas nécessaire de parler ainsi.

-Bien sûr. Demande un peu à Rodeo Rex de te mettre un putain de pain dans la gueule. On verra quel effet ce te fait, ducon."

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Le Bourbon Kid était au comptoir. Et on venait de le servir.

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"- Je... je suis désolé, Kyle, mais c'est la première fois que je me sers d'une armes à feu. Je crois que le coup est parti lorsque j'ai pressé sur la détente.

- Les armes à feu ont tendance à réagir comme ça, tu sais"

répondit Kyle, sans méchanceté.

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- Il n’y aura pas de gros retournements de situation dans cette enquête. On ne va pas découvrir que c’est en fait l’ex-femme du Bourbon Kid qui a commis tous ces meurtres pour l’en accuser. Ce ne sera pas non plus le majordome, et Kevin Spacey ne fera pas irruption dans le commissariat, recouvert de sang, en criant : Inspecteur ! ... Inspecteur !, d’une voix suraiguë, et vous ne trouverez certainement pas la tête de votre épouse dans un boite en carton au milieu du désert.

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Les moines étaient sortis sans un mot. "Bon débarras", pensa Sanchez. Nettoyer le plancher du Tapioca recouvert de sang était l'une des tâches qu'il aimait le moins. Et à présent, à cause de ces deux inconnus qu'il aurait dû envoyer paître dès leur arrivée, il allait devoir s'y coller.

Il alla dans la cuisine au fond du bar pour y prendre une serpillière et un seau d'eau et revint juste à temps pour voir un homme entrer au Tapioca. Un autre inconnu. Grand. Bien bâti. Habillé bizarrement, remarqua-t-il. Comme les deux autres clowns. C'était vraiment une journée de merde que s'annonçait. Sanchez en avait déjà assez, et on n'en était qu'au début de l'après-midi. Il avait un type raide mort par terre, la cervelle éparpillée aux quatre coins de la salle, et un autre mec avec une balle dans la jambe. Il faudrait appeler la police, mais peut-être pas tout de suite.

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"AOUH!... PUTAIN!... Mais merde!... Espèce de putain d'abruti! Putain de merde, vous m'avez planté! BORDEL DE MERDE! Espèce de... espèce de vieil enculé!

- Ça fait mal? demanda Kacy, et ce ne fut franchement pas l'une de ses plus brillantes remarques.

- BIEN SÛR QUE CA FAIT MAL, PUTAIN! JE VIENS DE ME FAIRE POIGNARDER, BORDEL!"

Dante agrippait son bras, tentant désespérément de juguler l'hémorragie, dont le débit était fort impressionnant. Cromwell avait tiré de sa poche un mouchoir en papier avec lequel il essuyait la lame de son couteau.

"Sentez-vous la blessure guérir d'elle-même, Dante? demanda-t-il posément.

- Vous vous foutez de ma gueule? Vous avez failli me couper le bras en deux. Bien sûr que c'est pas en train de guérir tout seul. Ça va prendre des putains de semaines à guérir. Il va sûrement falloir me faire des points de suture. Putain, Cromwell, mais qu'est-ce qui vous est passé par la tête? Je pensais que vous alliez juste me faire une petite entaille, pas me découper le bras, bordel de merde!

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