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Dans un monde dominé par le conflit entre l'ordre et le Chaos, se dessine une histoire d'amour impossible sur fond de magie blanche et noire.
La sombre forteresse du Nord abrite le Cercle des magiciens depuis une éternité. Parmi eux, Tarod, le plus énigmatique des jeunes adeptes, ressent une attirance mystérieuses pour les forces obscures. Il est aussi le seul à percevoir la menace d'un adversaire caché dans les abîmes du Temps. Une menace très séduisante, qui fait vaciller ses convictions ... Mais pas autant que la belle Cyllan, une jeune roturière rencontrée par hasard, qui fait basculer son destin. A moins que tout cela ait été prémédité ?
Dans cet entrelacs d'intrigues et de heurts se joue la survie du monde face aux anciens dieux, et pour Tarod, ce sera bientôt l'heure du choix.
Il [Tarod] devait avoir perdu la raison ; Il le savait. Mais la chance était à tenter, c'était la seule qu'il aurait avant que la sentence soit appliquée et qu'il subisse la mort atroce promise. Plutôt le vortex.. En faisant jouer ses mains derrière son dos, il arriverait sans doute à les libérer : celui qui lui avait lié les bras n'avait pas fait le nœud correctement et celui-ci se desserrait.
Les derniers retardataires entraient dans la Maison de Justice. Dans le chaos personne ne lui prêtait attention. Un nouvel effort... et sa main gauche fut libre. Les portes se fermaient, il ne lui restait que quelques instants...
Avec une rapidité et une agilité qui prirent ses geôliers par surprise, le garçon bondit vers les portes. Il entendit quelqu'un crier après lui, une main s'abattit pour l'arrêter mais l'enfant esquiva et descendit les marches, trébuchant, tombant. Son élan l'emporta jusqu'en bas... et quand il se releva, le vortex était sur lui.
Les silhouettes des maisons, des bateaux, de la jetée se tordirent en un impossible chaos de couleurs et de hurlements. Le sol se désintégrait sous ses pas, les cieux s'écroulèrent pour l’accueillir en crachant des langues d'obscurité étincelantes. Puis, avec un craquement assourdissant, le monde explosa en l'image d'une étoile à sept branches qui brûla son esprit, avant que ...
Ce livre remet le concepte du bien et du mal, et de notre jugement.
Qui nous dit que ce que nous croyons être pour le " bien " et bien ? et inversement ??
Voilà une vision que j'ai apprise, le jugement n'est fait que de la vision de l'auteur de ce jugement, donc si je décide de dire que ce livre est bon, c'et mon jugement et il apparatient à vous d'adopter mon concepte sur ce que j'estime être bon ....
Le livre est malheureusement long à se mettre en place, mais il permet de remettre ses jugements en questions, voilà pourquoi les personnes ouvertes à cette vision DOIVENT le lire !!
Un livre... déroutant, dans le bon sens. Si le premier tome de la trilogie m'a laissé quelque peu perplexe, le reste de cette oeuvre est juste d'une pure beauté.
Ce livre remet en question les notions de "Bien" et de "Mal", si importantes dans le domaine de la fantasy.
La fin est plus que surprenante, mais très appréciable, tant on s'éloigne des habitudes du genre!
Je suis tombé sur ce livre, par hasard lors d'une brocante. Je ne m'attendais alors à pas grand chose. Et, j'ai été tellement surprise et captivé par cette œuvre.
Les personnages sont tous travaillés, et présentent des personnalités et manière de penser bien propres à eux-mêmes et différentes.
L'écriture était facile à comprendre, sans être "trop simple" pour autant (ça ne faisait pas roman pour enfant).
L'univers créé par Louise Cooper est si incroyable !! D'habitude, les romans de ce genre sont soit si compliqués (avec des cartes qui vont dans tous les sens) soit trop léger. Ici, c'était parfait ! Au fur et à mesure, tu t'appropries les lieux, et tu les connais comme s'ils existaient réellement.
En plus, l'histoire expose de nombreuses réflexions sur certaines notions, dont surtout sur ce qu'on appelle "le bien" et "le mal" (Spoiler(cliquez pour révéler)et de l'équilibre des deux, l'un ne peut exister sans l'autre). On se rend compte, qu'au final, c'est vraiment qu'une question de point de vue : tout le monde pense bien faire de son côté.
Bref, j'adore cette œuvre, et je pense qu'elle mérite d'être davantage reconnue et lue !!!!
Spoiler(cliquez pour révéler)Et j'ai toujours détesté Sashka, dès sa première apparition et surtout après qu'elle ait trahit Tarod et se soit tournée vers Keridil. Mais bon, il faut bien tout type de personnes pour composer le monde, comme me l'a appris cette œuvre. Donc, je vais essayer de tolérer les personnes du même genre (j'ai bien dit essayer).
Après avoir accidentellement commis un meurtre, Tarod fuit dans un vortex en pensant y trouver la mort, mais celui-ci le mène sur la route des Initiés, dont il rejoint les rangs. Il découvre alors que leurs pouvoirs ne sont pas à la hauteur de leur réputation, contrairement aux siens qui, malgré son jeune âge, les surpassent déjà.
Une intrigue somme toute classique, qui ne révolutionnera pas le genre de la fantasy. Dans cet univers, deux forces s’opposaient, le Chaos et l’Ordre, jusqu’à l’écrasante victoire de ce dernier. N’ayant désormais plus de combats à mener, ses adeptes ont fini par s’enliser et perdre de leur superbe.
C’est sans suspense que l’on suit le parcours de Tarod jusqu’à ce qu’il découvre qu’il appartient aux puissances vaincues du Chaos, et… Pfiou. C’était long. Long, et vide en même temps. On n’apprend pas grand-chose sur les Initiés et leurs facultés (si ce n’est à quel point elles sont limitées), ni sur leur monde en général.
Les personnages sont, à l’instar de l’intrigue, passablement creux. Tarod est un peu plus travaillé que les autres (encore heureux) et a un rôle intéressant, puisqu’il se positionne, au regard de son univers, du côté du mal, tout en conservant une part d’ambiguïté, mais il n’est pas non plus particulièrement marquant, et encore moins attachant.
La faute à la romance stupide dans laquelle ils s’enfoncent, le scénario et lui. Quelques lignes suffisent à l’amener à se pâmer devant les beaux yeux de Sashka, une sal… Novice qu’il rencontre lors d’un grand évènement. Cyllan lui est de loin préférable, mais elle n’apparaît que trop peu et ne sert strictement à rien. Je me doute qu’elle aura de l’importance par la suite, néanmoins je me demande s’il était réellement pertinent de l’introduire si tôt pour ne rien en faire.
Et bien sûr, il y a Keridil, l’ami que tout le monde rêverait d’avoir ! Enfin, si vous sentez un petit picotement entre les omoplates, ce n’est rien, juste l’un des couteaux qu’il vous aura planté dans le dos. Ses motivations auraient pu être profondes et le déchirer, mais non, elles sont aussi superficielles que Sashka et le font passer d’insipide à totalement antipathique.
Quant à Yandros… Difficile de se prononcer à son égard pour le moment. Il fait surtout office d’élément déclencheur, et il n’y a guère plus à dire sur lui. Il faudra lire le deuxième tome pour découvrir où les rebondissements qui se sont succédés dans les derniers chapitres (autant dire les seuls) vont mener.
Avec un peu de chance, la suite sera plus palpitante que cette interminable introduction…
Tome 2
J’aurais mieux fait de me casser un ongle au lieu d’écrire les mots ci-dessus, parce que c’est encore pire. Déjà qu’il ne se passait pas grand-chose dans le premier tome, cette fois les deux tiers du récit se déroulent à huis-clos, après une entrée en matière qui n’a pas DU TOUT un air de déjà-vu.
En effet, Cyllan, croyant avoir aperçu une silhouette, se retrouve entraînée par un vortex en compagnie de Drachea, le fils héritier du Margrave local. Et, évidemment, la tempête les conduit droit à la Péninsule de l’Étoile, dans le château du Cercle coupé du monde depuis que Tarod y a arrêté le Temps.
La suite de l’intrigue est aussi attendue qu’assommante. On se doute bien que Drachea, en bon petit con imbu de lui-même qu’il est, va fiche la pagaille, que Cyllan va s’allier à Tarod, et que, grâce à son aide, celui-ci va résoudre ses problèmes et récupérer sa pierre.
Dix chapitres pour en arriver là, ce n’est pas long, non. C’est interminable. Si encore l’auteur s’était servie de toutes ces pages pour approfondir la personnalité de ses protagonistes, mais il ne faut pas rêver ! Leurs motivations relèvent essentiellement de la coucherie (oui, Cyllan, tu te poses là sur l’échelle de Keridil, même si tu as choisi la voie inverse), et quoique le récit donne l’impression de vouloir bousculer le concept manichéen du bien et du mal, il s’enlise en réalité dedans.
Autant j’ai apprécié le fait que Cyllan soit présentée comme plus dangereuse, plus impitoyable et plus prête à tout que Tarod, autant il y a beaucoup trop de passages où ce dernier se laisse aller à la cruauté de manière contradictoire avec son tempérament (et les discours de sœur Erminet), comme pour nous rappeler « Eh, quand même, le Chaos, c’pas des enfants de chœur ».
Sauf que c’est un échec. Plus que jamais, Tarod n’est du « mauvais côté » que parce qu’on l’a étiqueté ainsi, et condamné pour une chose qu’il n’a pas choisie, qu’il n’a fait que découvrir conjointement avec autrui. Il est la victime indocile de ceux qui se présentent comme les gentils, mais qui sont en vérité très très vils et méchants et égoïstes et ambitieux. Oui, ça va chercher loin…
J’aurais aimé pouvoir noter qu’il s’agit là d’un tome de transition, mais comme je sais qu’après Le Maître du Temps vient La Porte du Chaos, on est plus proche de la trilogie d’introduction. Une lourde et fastidieuse introduction. M’enfin, pourquoi écrire en cent cinquante pages ce que l’on possède l’incroyable faculté d’étirer sur plus de six cents ?
Tome 3
J’ai moins détesté ce tome que les deux autres, probablement parce qu’il est plus court, un peu plus riche en action, et surtout parce que je savais que, une fois parvenue au bout, j’en aurai enfin terminé avec cette trilogie. (Oui, j’ai la suite dans ma PAL, mais elle attendra. Longtemps.)
Six cents pages pour en arriver à la conclusion ô combien originale et transcendante que « Le bien et le mal forment un équilibre. Les deux sont nécessaires pour que le monde tourne correctement. » Waouh ! Une telle profondeur m’a laissé scotchée à mon fauteuil. Enfin, elle l’aurait fait si j’en avais un.
Je pourrais dire que l’affrontement a été épique (sauf que nan, ce n’était rien qu’un ramassis de descriptions grandiloquentes), que les personnages valaient le détour (sauf que nan, je me suis plus attachée à la petite araignée que j’ai un jour trouvée dans ma salle de bain), et que la morale s’étend au-delà de son concept manichéen…
Sauf que nan. On a bien Keridil qui a tiré assez de coups pour réussir à recommencer à penser avec autre chose que son entrejambe, mais pas au point de réaliser que le véritable Chaos, dans l’histoire, c’était Sashka, et qu’on aurait gagné trois bonnes centaines de pages en la défenestrant dès le tome 1.
Et toute cette mièvrerie dégoulinante ! Oh bon sang, j’ai cru que j’allais devoir manger du sel à la petite cuillère (non pas que ça m’aurait dérangée…) pour m’ôter cet écœurant goût sucré qui suintait des dialogues des protagonistes. Le premier qui prononce / écrit encore les mots « mon amour », je lui fais avaler un bocal de paprika !
Ah oui, et accessoirement, pourquoi Tarod est humain ? Comment il s’est retrouvé sur Terre ? Par quel micmac ? Parce que sans ça, il n’y aurait pas eu d’intrigue ? C’est vrai que ça aurait été teeellement regrettable !
Vous l’aurez compris, je n’ai pas du tout aimé cette histoire, et je ne la recommande pas. Le scénario, archi-classique, est traité de la manière la plus pauvre qui soit, et porté par des protagonistes qui ont pour seul charisme celui de tourterelles déplumées juste bonnes à roucouler. Passez votre chemin, vous ne manquerez rien.
Une très bonne saga, je m'attendais à une succession d'aventures au final ce sont plutôt les intrigues entre les personnages qui dominent. Manipulation, jalousie, vengeance, changement d'allégeance, tout y est pour nous questionner sur la création des jugements, des valeurs et de la conception de la justice et c'est le point fort de ce livre. Après, c'est une succession de péripéties plutôt tragiques et j'étais de ce fait, contente de terminer l'ouvrage. L'espoir et la sérénité de même que la légèreté n'ont que peu de place et à la longue ça m'a manqué. Mais une très bonne série avec des personnages et un univers bien précis, je recommande.
Fin de trilogie des plus épique et addictive. Ce fut un réel plaisir de suivre ce récit, car pour une fois, nous avions ici le point de vue des méchants, (même si ça dépend d’où on se place et que Tarod a été difficile à mettre dans une « case » bien spécifique...)
Tout était présent dans ces trois tomes ; amour, trahisons, complots, amitié, misère, opulence, politique, religion, batailles, Bien, Mal, justice, injustice… bref, le cocktail est savamment dosé et les réflexions s’enchaînent au fil de la lecture, pour nous retourner le cerveau et nous faire cogiter sur nos propres façons d’interpréter ce qui s’offre à notre regard. Le message est donc très clair. De quel côté serions-nous ?
La fin est absolument imprévisible et très intéressante, je n’en dirais pas plus à ce sujet, si ce n’est que ma réflexion a atteint son apogée et que j’y pense encore…
Un mot également pour le travail d’écriture et d’imagination, car la lecture est fluide et le style de l’auteure est incontestablement accrocheur et addictif, sans jamais basculer dans l’incompréhensible, ou se perdre dans des pages et des pages de grand n’importe quoi, nous prouvant qu’aller au plus simple est souvent la meilleure façon de mettre dans le mille. C’est donc un récit qui tient en haleine, qui tient ses promesses, et que je recommande volontiers !
Un tome 2 à la hauteur du premier, où tout s’enchaîne sans temps mort, sans bla bla inutiles, avec un récit des plus addictif, compréhensif et nullement tiré par les cheveux. Les personnages ont de la profondeur, notre petite histoire d’amour ne bascule pas dans le mélodrame et le tout s’équilibre à la perfection, entre les batailles, les descriptions, les diverses explications, les nouvelles rencontres, les moments d’accalmie et j’en passe…
Encore une fois, ce scénario était crédible, même si le début du tome était un peu long. On ne s’ennuie pas durant la lecture, les révélations sont distillées au compte-goutte, juste comme il faut et il est aisé de s’imaginer le tout, pour suivre l’aventure aux côtés des personnages. Tarod est particulièrement bien travaillé, à tel point qu’on ne sait pas si on doit l’apprécier ou le haïr. Quant à Cyllan, elle est mystérieuse à souhait et l'envie de lire encore et encore m'a presque empêcher de revenir à ma petite vie à moi...
Quel suspens de fou ! Et quel premier tome prometteur et accrocheur !
J’ai mis du temps à rentrer dedans, mais une fois que j’avais enregistré qui était qui et qui servait à quoi, il m’a été difficile de lâcher des yeux cette écriture des plus addictive. Le potentiel imagination est très bon, tout l’univers est riche et très bien détaillé, les personnages bien construit et l’ambiance des plus mystérieuse. Bref, ce récit a réussi à me tenir en haleine et a éveillé ma curiosité bien plus que je ne l’imaginais.
Notre anti-héros est crédible, le scénario sort de l’ordinaire et il y a de la nouveauté, ce qui est un plus non négligeable. Aussi, entre complot, trahison, amitié, magie et rebondissements en chaîne, vous en aurez pour votre argent et cette histoire de pure Fantasy saura vous emporter très loin durant quelques heures, pour peu que vous fassiez marcher votre propre imagination.
Nous avons toujours la lutte du Bien (Ordre) contre le Mal (Chaos). Ici, tout n'est ni blanc, ni noir. Le Bien n'est pas forcément toujours le gagnant.
J'ai beaucoup aimé l'énigmatique Tarod, mais, aussi, Thémila, une Soeur d’Aeoris qui a pris Tarod sous son aile dès son arrivée au château et Cyllan, une voyante.
Pour moi, les méchants ne sont pas toujours ceux que l'on croit comme son ami Keridil le Haut Initié qui le menace de mort et par Sashka, une jeune fille qu’il devait épouser et qui l'a trahi.
J'ai lu ce livre il y a presque 10 ans maintenant... Pourtant je n'en n'ai que 20!
Aujourd'hui encore je m'en souviens avec une forte impression. Ce roman est complet, complexe, suave, sensuel, dur et fort. Il y a des temps pour l'amour, pour la tragédie, le divin et la misère. Pour la politique, le complot, les trahisons et le péché. J'ai lu tout cela en étant jeune et, c'est un sentiment étrange mais maintenant que j'y repense, lorsque je lisais, je je me sentais pas du tout dépassée par une telle lecture. L'écriture et la lecture forge l'esprit, l'esprit s'adapte et Louise Cooper sait amener son lecteur et le plonger dans un long récit superbement ficelé.
On se prend très vite d'une étrange familiarité pour Tarod dont la vie n'a jamais été simple et qui, meme en trouvant une nouvelle famille, se doit d'affronter encore des épreuves immenses qui le transforme et font de lui un paria, puis un divin. On se lie d'affection presque aussitôt pour Cyan, cette paysanne farouche et indomptable. Les personnages sont bien pensés et retranscrit ce qui ne fait que des points forts à ce roman bien épais!
Résumé
Dans un monde dominé par le conflit entre l'ordre et le Chaos, se dessine une histoire d'amour impossible sur fond de magie blanche et noire.
La sombre forteresse du Nord abrite le Cercle des magiciens depuis une éternité. Parmi eux, Tarod, le plus énigmatique des jeunes adeptes, ressent une attirance mystérieuses pour les forces obscures. Il est aussi le seul à percevoir la menace d'un adversaire caché dans les abîmes du Temps. Une menace très séduisante, qui fait vaciller ses convictions ... Mais pas autant que la belle Cyllan, une jeune roturière rencontrée par hasard, qui fait basculer son destin. A moins que tout cela ait été prémédité ?
Dans cet entrelacs d'intrigues et de heurts se joue la survie du monde face aux anciens dieux, et pour Tarod, ce sera bientôt l'heure du choix.
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