Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 821
Membres
1 008 402

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Le Mal des ardents



Description ajoutée par PoppyZ 2017-11-30T07:28:47+01:00

Résumé

Entretenir le feu sacré sous peine d'être enterré vivant.

On ne rencontre pas l'art personnifié tous les jours.

Elle est violoncelliste, elle dessine, elle peint, fait de la photo. Elle s'appelle Lou. Lorsqu'il tombe sur elle, par hasard, à Paris, c'est sa vie entière de prof de lettres désenchanté qui bascule et, subjugué par ses errances, ses fulgurances, il se lance à la poursuite de ce qu'elle incarne, comme une incandescence portée à ses limites.

Mais le merveilleux devient étrange, et l'étrange inquiétant : Lou ne dort plus, se gratte beaucoup, semble en proie à de brusques accès de folie. Un soir, prise de convulsions terribles, elle est conduite à l'hôpital où elle plonge dans un incompréhensible coma. Le diagnostic, sidérant, mène à la boulangerie où elle achète son pain.

Quel est donc ce mystérieux « mal des ardents » qu'on croyait disparu ? Quel est ce « feu sacré » qui consume l'être dans une urgence absolue ?

Il va l'apprendre par contagion. Apprendre enfin, grâce à Lou, ce qu'est cette fièvre qui ne cesse de brûler, et qui s'appelle l'art.

Site Belfond Editions

Afficher en entier

Classement en biblio - 6 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par PoppyZ 2017-11-30T07:31:46+01:00

Adagio – Allegro non troppo

Allegro con grazia

Allegro molto vivace

Adagio lamentoso

J’ai respiré un grand bol d’air et un tourbillon s’est élevé dans la salle, une sorte de danse bancale, de valse cassée. Je me suis demandé si j’étais le seul à avoir remarqué cette horlogerie détraquée, j’ai regardé Lou, inquiet, mais elle fixait le chef et dansait en boitant avec les autres alors il m’a fallu prendre le rythme aussi, en accepter la brisure d’estropié. Fais-moi danser Lou, même à cloche-pied, même avec la béquille triste où nos jours s’appuient.

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Commentaire ajouté par Con-fused 2018-04-07T18:33:15+02:00
Diamant

Le mal des ardents fait partie de ces livres que vous voyez en librairie, et vous êtes sur que vous allez adorer. Et ça a été le cas. Qu'est ce que j'ai aimé la plume de Frédéric Aribit... C'est beau, c'est poétique, c'est intéressant... On s'attache aux différents personnages et on en apprend plus sur la musique, la littérature, et bien entendu, sur le mal des ardents qui nous fait réfléchir sur la vie, et au fait qu'une seule petite chose peut tout faire basculer. Un vrai coup de coeur pour ce roman !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Joyeux-Drille 2017-10-14T23:58:39+02:00
Lu aussi

Un roman construit comme une symphonie, et pas n'importe laquelle. Il début comme un ouragan, derrière de Lou, femme exubérante, extravagante, ou simplement libre. Le narrateur, si terne, est envoûté jusqu'à ce que le drame s'invite. Derrière ce "mal des ardents", une maladie dévastatrice qui a jalonné l'histoire. Le roman d'un amour improbable, très bien construit et documenté, riche en symboles.

http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2017/10/tout-feu-tout-flamme.html

Afficher en entier
Diamant

L'avis d'Esméralda :

Je ne pensais pas que cette lecture m’aurait chamboulée à ce point ! Elle m’a prise aux tripes et ne m’a plus lâchée. C’est une histoire bouleversante qui chavire les lecteurs sur son passage.

Lui est prof de lettres désabusé face à incongruité de son travail, de sa passion. Les mots plus personnes ne les écoutent et encore moins les jeunes, adeptes des acronymes qui ne signifient plus rien. Perdu dans ses mots, il ne survit que dans cette bulle utopique enchantée par la présence merveilleuse de sa fille. Lui, un peu fou, de mettre inlassablement une étiquette « tu fais parti des…% de… », ce mal le rongeant et le consolant dans cet univers aussi insipide.

Elle, Lou, femme libre, femme rêveuse, femme extraordinaire qui par un jour de désinvolture vient l’embrasser dans cette rame de métro pourri. Elle est le feu qui libère , qui fait fantasmer et qui émerveille. Une aura transcendante sur laquelle ses yeux ne peuvent plus s’en détacher. Elle va lui apprendre l’amour, celui où les frontières n’existent plus. Celui qui rend plus grand. Celui qui marque au fer rouge pour l’éternité. Elle incarne le jour et la nuit où les possibilités sont nombreuses et inépuisables. Dans cette folie lui, oublie l’image qu’il s’est forgée. Anéantie, son véritable, lui, éblouit. Un homme qui devient homme devant sa beauté.

Leur rencontre est explosive ! Inédite ! Envoutante ! Une union démesurée ! Ce roman porte l’amour au dessus de tout. Le soleil, les nuages, le vent, les couleurs, le gout, le toucher, l’odorat, les sons…tous sont magnifiés. Le chef d’œuvre de la vie ! Mais le mal n’est jamais bien loin. Silencieux, il ronge peu à peu la chair humaine, la quintessence de la vie.

Subjuguée par la thématique du livre, elle m’a permise d’apprendre un pan de l’histoire humaine : celui ou mysticité et religion se mêlent.

J’écris cet article en écoutant « La pathétique de Tchaikovky » (qui bien évidemment je ne connaissais pas). Cette symphonie est maintes fois citée dans ce roman et je comprend pourquoi. L’histoire, les héros et l’ensemble vivent en parfaite harmonie avec cette symphonie. Comme s’ils se mouvaient au grès des violons, violoncelles et autres instruments nobles. Tout en écoutant, je retrouve toutes les émotions qu’à voulu transcrire Frédéric Aribit : la volupté, l’amour, l’espoir, la joie, la passion, les doutes, les pleurs, la tristesse, l’euphorie, la volonté, la déchirure…

La plume de Frédéric Aribit est juste sensationnelle et magnifique. On y ressent tout l’amour pour la langue française. Des phrases immensément longues donnant un rythme particulier à la lecture. Il est vrai que je ne suis pas du tout habituée à ce genre de syntaxe. Mais c’est tellement plus wouahhh. J’en perds mes mots !

« Le mal des ardents » est amoureusement, musicalement, passionnément et irrévocablement un livre à découvrir !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Liliaza 2017-06-23T16:09:08+02:00
Or

Tout d'abord je remercie les éditions Belfond pour m'avoir fait découvrir ce livre.

Ce qui m’a d’abord attiré vers ce livre c’est sa couverture. Je la trouve juste superbe. Ensuite je me suis intéressé au résumé et j’ai été très intrigué. Au début, sans m’être ennuyé, je n’étais pas vraiment dans l’histoire. Il m’a fallu environ 40 pages pour vivre avec les personnages et après je ne les ai pas lâché. Le personnage de Lou est pour le moins bizarre. On ne cesse de se demander : mais jusqu’où va-t-elle aller ? Et puis on comprend. On comprend le mal des ardents. C’est une tragédie qui se dessine devant nos yeux. Une question est aussi : à quel degré Lou était elle folle avant d'être contaminé? Le roman est à la première personne ce qui nous rend l'action et les sentiments plus proche. On ressent l’amour, la joie, la détresse du héros. Le fait que (si je me souviens bien) on ne sache pas son nom nous implique encore plus dans l’histoire. Ce qui est intéressant avec les personnages fous c’est qu’il a toujours une part de vérité dans ce qu’ils disent. J’ai beaucoup aimé la phrase de Lou « Comment en est on arrivé là ? Comment autant de culture et si peu d'art ? Autant de culture et de connerie en même temps? ». Cet aspect artistique est très présent dans le livre avec notamment La pathétique de Tchaïkovski et Les Anthropométries de l’époque bleue de Klein. J’ai appris énormément de choses. J’ai noté des références pour des prochaines lectures. Je n’en attendais pas moins de ce roman. Un dernier mot sur l’écriture de Frederic Aribit qui est juste magnifique. Bref un roman à lire et à relire.

Afficher en entier

Date de sortie

Le Mal des ardents

  • France : 2017-08-17 (Français)

Activité récente

Évaluations

Editeurs

Les chiffres

lecteurs 6
Commentaires 4
extraits 1
Evaluations 5
Note globale 8.4 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode