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Je ne sais pas ce que tu as vécu, Lou, mais tu es bien amère pour une jeune fille de ton âge. La vie est plus complexe que tu ne crois, et pour le découvrir, tu as toute la .... mort devant toi !

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– Tu sais à quoi on reconnaît un vrai gentleman écossais ?... C’est quelqu’un qui sait jouer de la cornemuse, mais qui n’en joue pas.

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Liam répondit :

- Je suis étranger. Je recherche un fabricant de corde d'aloès.

Vu leur tête, il n'y en avait pas dans le coin.

Une femme poussa une autre du coude, l'air terrifié, et tous fixèrent ses pieds. Ses tennis étaient transpercés de bas en haut par des pointes de bois durcies au feu, des pièges qu'il n'avait évidemment pas sentis ! Il était déjà trop tard pour faire comme s'il avait mal. Toute la troupe se volatilisa en hurlant. Liam en fut à la fois soulagé et désolé. Ces gens avaient déjà une vie bien assez difficile.

Il repartit en évitant les troncs pour le cas où on le suivrait des yeux. Pas facile, parce que la végétation était si épaisse qu'il aurait fallu une hache pour s'y frayer un chemin. Il finit par circuler au-dessus du sol, de branche en branche. Aucune comparaison pourtant avec Tarzan ; on se demandait comment il faisait, celui-là, pour toujours trouver la bonne liane au bon endroit.

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Liam interrogea avec anxiété :

- N'y aurait-il pas ici une ville nommée... Pompéi ?

- Si, là-bas, répondit l'homme en désignant la direction... de la colonne de cendres !

79 ! L'année où le Vésuve avait englouti Pompéi !

Le comble fut que Niger murmura :

- Pompéi, ma femme et mon fils s'y trouvent !

Marco était... à Pompéi !

Liam fixait la colonne, dont la tête s'étalait peu à peu, en tentant de reprendre son calme. Que Marco soit mort ici ou là, qu'est ce que ça changeait ?

Au contraire : qu'il ait fini sa vie avec des milliers d'autres personnes était plutôt consolant.

Alors pourquoi avait-il refusé de partir pour l'au-delà ?

Hélas, pour le savoir, Liam devrait aller à Pompéi. Or, les catastrophes, ce n'était pas son truc.

Il eut un vague sourire. Lui qui se plaignait de ne pas avoir assez étudié l'Empire romain ! Eh bien voilà, l'histoire grand format ! "Ici Liam, qui vous parle en direct des côtes de la Campanie en l'an 79 de notre ère !"

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Redoutant un nouveau coup de fouet qui pourrait cette fois ne pas passer inaperçu, Liam ouvrit la porte qu'on lui désignait dans le flanc de la plate-forme.

Elle donnait sur un escalier maçonné qui descendait le long du mur, dans un immense réservoir ressemblant à une cathédrale. Sauf que les pilliers de pierre soutenant les arches avaient le pied dans l'eau. D'autres colonnes (de lumière, celles-là) se coulaient par les ouvertures du plafond. On entendait des ruissellements et une sorte de souffle des profondeurs impressionnant.

La patiente n'étant pas le fort de l'armée romaine, le décurion poussa Liam dans le dos :

- Tu te dépêches, oui !

Ça, il n'aurait pas dû le faire... car sa main traversa sa victime ! Liam se laissa vite tomber, mais trop tard.

Le décurion s'enfuit en hurlant.

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Marco dormant à poing fermés, j'en profitai pour descendre au petit déj'. Je remarquai tout de suite que Nathan n'y était pas. J'appris qu'il vivait dans le parc avec Alisande, et qu'ils restaient tous deux déjeuner là-bas de pain et du miel de leurs ruches. Nunuche et compagnie. Non je n'aurais jamais d'amoureux, c'était trop gogoze.

Edouard fit comme si j'étais transparente. Du coup, je pris le ton très gai de la fille absolument pas en tort, pleine de bonne volonté, et je racontai ce que Marco m'avait dit pendant la nuit. Textuellement :

"C'est un lotion à base de safran, de vinaigre et de crotte de rat contre la chute des cheveux."

On ne savait pas si il fallait en rire ou en pleurer. Rhumatismes, douleurs articulaires, chute de cheveux... super conversation pour un bébé !

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Christine entra. À croire que le calme agitait tout le monde.

- Ça va mieux..., constata-t-elle. Tu sais comment prendre ce petit.

Christine était une vielle dame très gentille, mais je n'avais pas besoin qu'on enfonce le clou.

Je protestai :

- Je ne le connaissais pas avant d'arriver ici, je vous jure !

- Cela n'empêche pas que vous êtes venus ensemble de la mer, et que tu peux le tenir dans tes bras.

Hoël s'en mêla :

- Et que vous êtes tous les deux très bronzés.

Christine nuança :

- Pas de la même façon. Marco a juste le teint mat, tandis que Lou est métissée. Inde et Madagascar, peut être.

Sur la défensive, j'admis :

- Ma mère est malbar. Mon père, jamais vu.

- "Malbar" est une déformation de "Malabar" commenta Christine. Du nom d'une côte de l'Inde, d'où venait sans doute tes ancêtres.

Ça me pourrit un peu plus le moral qu'elle sache sur moi des choses que j'ignorais. Hoël commenta :

- Les malabars, c'est des gros chewing-gum.

Ça nous fit rire, et je me moquai :

- Le chewing-gum-, c'est toi. Tu es collant, avec tes questions.

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- Derrière cette porte, il y a ce qu'on appelle "l'enfer", qui occupe toutes les caves. C'est là qu'on case les fantômes pas très sympas, si tu vois ce que je veux dire...

Oté ! J'étais poursuivie par la poisse ! Je faussais compagnie à ce danger public de Phoque pour tomber sur peut être pire !

Liam insista :

- Je suppose que tu comprends : il ne faut ouvrir cette porte sous aucun prétexte.

- Alors là, tu peux compter sur moi. Merci bien, je sors d'en prendre. (Je fus soudain intriguée.) Ton rêve... tu crois qu'il voudrait dire que le vampire prépare quelque chose ? C'est pour ça que tu es venu vérifier ?

Pour toute réponse, il hocha vaguement la tête.

Puis il ajouta :

- Et si tu aperçois un gris, quel qu'il soit, tu préviens Léonidas. La plupart en veulent à notre âme, mais le vampire recherche notre sang (il eut une grimace ironique), ce qui risque juste... de nous transformer nous aussi en vampires.

De mieux en mieux ! Je commentai dans un souffle :

- Super... Se nourrir du sang des autres, j'en rêvais ! Ça résout direct les problèmes de famine.

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- Là où est le danger, là est ce qui sauve. Friedrich Hölderlin.

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L’amour ne doit pas empêcher d’assumer ses responsabilités.

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