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Liam sentit alors un rocher sous ses pieds. On était tout près de la côte ! Comment ce géant des mers était-il arrivé là ?

Et d’un coup, tout s’éteignit, provoquant des exclamations effrayées. Puis quelqu’un cria d’enfiler des gilets de sauvetage et de se rapprocher des canots. Sauf que, vu la gîte du navire, Liam se demandait comment on pourrait mettre les embarcations à l’eau. Et il n’y aurait pas de place pour tout le monde : six mille passagers !

Quelques lumières se rallumèrent et un haut-parleur crachota : « Gagnez le pont 6 et les chaloupes de sauvetage. Gagnez le pont 6 et les chaloupes de sauvetage. »

Ça provoqua une belle panique et des hurlements.

Incroyable, ce réflexe de s’égosiller au moment où il aurait fallu, au contraire, garder son calme pour agir utilement !

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Depuis le départ de Venise, Liam ne voyait rien du paysage : il voyageait enfermé dans la double coque du Marco Polo. Il ne pouvait pas se montrer sur un paquebot où il avait déjà été « clandestin » et dont il avait disparu1. Il savait juste, par les visites des copains, qu’on était en train de remonter les côtes d’Italie.

Heureusement, il avait aussi les romans que Christine lui avait recréés. Consciente de la différence de génération, la vieille institutrice n’avait pas reproduit les livres de sa propre enfance. Elle avait consulté la bibliothèque du paquebot et choisi parmi ceux qu’on proposait aujourd’hui aux adolescents. Suspense, mystère, aventure... C’était parfait. Et comme Christophe avait rendu les feuillets fantômes phosphorescents, il pouvait lire même dans le noir.

C’était une belle consolation, car les paysages qui surgissaient des pages, riches et changeants, lui faisaient oublier que ses yeux ne voyaient en réalité que des mots. Des mots noirs qui, à peine frôlés, se transformaient en images colorées.

Chaque fois qu’il relevait la tête, il était surpris de se retrouver dans cette morne prison, alors il replongeait vite dans la lumière.

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À sa grande surprise, le prétorien sortit une paire de ciseaux en criant :

- Insulte à l'empereur !

- Moi...? Je n'ai pas prononcé un mot !

- Je te parle de tes cheveux.

- Mes cheveux ?

Alors ça, c'était aussi clair qu'une puce de chien noir dans un tunnel à minuit.

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En digne pharaon, Césarion écoutait sans un mot, évitant toute réaction de surprise, comme si on lui détaillait les mœurs d'un peuple à l'esprit un peu dérangé. Choisir sa femme ou son mari, ou son chef (qu'on appelait "président"), accueillir à l'école tous les enfants sans distinction, passer un examen pour conduire un véhicule...

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Oui, Octavie était quelqu'un de bien. Elle ne faisait aucun différence entre ses propres enfants ( trois de son premier mari et deux filles qu'elle avait eu de Marc Antoine) et les autres qu'elle élevait : Iullus (le frère d'Antyllus, que Marc Antoine avait eu d'un précèdent mariage) et les jeunes princes d'Égypte.

Dire que le XXI ème siècle se croyant original, avec ses familles recomposées !

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Césarion profitait de ces arrêts pour rendre visite à Hélios, Séléné et Phiphi, qui vivaient chez Octavie, la sœur d'Octave. Les prénoms romains étaient d'une grande originalité.

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- L'âme a besoin de son enveloppe charnelle ! Pourquoi crois-tu que je pratique la cérémonie de réouverture de la bouche et des yeux ? ( Il montra la bâton recourbé qui servait à cet usage.) Pour que le mort puisse profiter des offrandes de nourriture qui le maintiennent en vie entre ce monde et l'autre.

Ah... ben s'il le disait, hein ?

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L'ordre était signé de Ptolémée Néos Dionysos Aulète. Le père de Cléopâtre. Eh eh ! Il s'y connaissait en Ptolémées !

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- Antyllus n'est pas revenu ?

Ce n'était évidemment pas à Liam qu'il s'adressait, mais au pédagogue : les esclaves étaient des meubles auxquels on ne prêtait pas attention. Toutefois le caleçon à rayures bleu-jaune-rouge très XXI ème siècle attira son attention et lui fit remarquer l'étonnant peau claire de son propriétaire.

À son tour, Trois-Poils regarda de son côté. Super ! Il savait maintenant lui aussi ce que "les Turons" portaient en sous vêtements. Heureusement qu'il ne pouvait pas paraître intéressé par un vulgaire esclave qui, de plus, avait été à l'origine d'une humiliation !

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- [...] À cause du clou, le fer fut perdu. À cause du fer, le cheval fut perdu. À cause du cheval, le cavalier fut perdu. À cause du cavalier, le message fut perdu. À cause du message, la bataille fut perdue. À cause de la bataille, la guerre fut perdue. À cause de la guerre, la liberté fut perdue. Tout cela pour un simple clou.

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