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Résumé
Cette nouvelle fait partie des premières œuvres en prose - après le roman inachevé consacré à son aïeul Le nègre de Pierre le Grand – de Pouchkine – en même temps que des premières nouvelles écrites en russe, en dehors de celles de Karamzine, davantage connu pour son Histoire de l’Empire de Russie : il s’agit du cycle des « Nouvelles de Bielkine » , écrivain inventé par Pouchkine, celui-ci rédigeant très sérieusement une « note de l’éditeur » , signée des initiales A.P. Dans cette sorte d’introduction à la petite série de récits de “de feu Ivan Piétrovitch Bielkine”, Pouchkine fait naître son écrivain en 1798 (lui-même est né l’année suivante) et le fait périr suite à un refroidissement en 1828, dans sa trentième année : comme on sait, l’auteur mourra en 1837, à trente-sept ans, non pas d’un mauvais rhume, mais d’un mauvais duel…
On retrouve dans ce bref récit l’atmosphère des contes d’Hoffmann, celle du romantisme fantastique allemand – le malheureux héros de La Dame de pique (conte postérieur de trois ans à ces premiers récits en prose) ne s’appelle-t-il pas Hermann
Mediapart
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