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Le Mariage de Figaro connut en 1784 un triomphe sans précédent. Figaro, valet frondeur qui entend se marier avec Suzanne, y défie son maître Almaviva, qui essaie de son côté par tous les moyens d'obtenir les faveurs de la fiancée. Cette comédie allègre souleva l'indignation mais aussi l'enthousiasme. Car jamais auparavant on n'avait traité si hardiment des grands, de leurs moeurs et de leurs privilèges ; mais jamais non plus on n'avait si subtilement dépeint la course au bonheur et le désir amoureux.
Je n'aime pas vraiment le théatre mais j'ai pourtant appréciée cette piéce, j'ai moi aussi du le lire pour les cours, mais je l'ai trouvé intéréssant sur bien des points de vue !
Livre étudié en cours qui ne m'a pas déplu. Moi qui n'aime pas spécialement le théâtre, voire pas du tout, du moins en tant que lecture, j'ai bien aimé cette pièce pleine de rebondissements et d'humour.
Dans celle-ci, Beaumarchais, dénonce les privilèges de la noblesse sur le petit peuple. Comme le droit de cuissage ou le fait d'autoriser ou pas les mariages de leurs serviteurs.
Je recommande cette pièce qui peut faire sourire dans certains passages.
Cette pièce est une très bonne lecture pour moi ! J'aurais aimé lire le premier tome de la trilogie avant celui-ci mais je n'ai pas eu le temps puisque c'était une lecture dans le cadre de mes études.
Beaumarchais retourne le cerveau de chaque personnage et de chaque lecteur. Entre les changements de décors, de personnages, les mouvements, les manigances et les manipulations, le lecteur est plongé dans un véritable cercle où il ne sait plus où donner de la tête. C'est une pièce très intéressante, avec de nombreux points de vue et de nombreux personnages. Ils ont tous une particularité et permettent ensemble de critiquer la noblesse et le privilège de la naissance.
Aussi connu sous 《La Folle journée》, cette pièce est une véritable bataille entre le pouvoir et la vérité. Finalement, il n'est pas question du mariage entre Figaro et Suzanne mais plutôt des abus de confiance et des manipulations entre maître/maîtresse et valet/servante. Des duos innatendus se forment, des révélations changent les stratégies mais surtout, les femmes, avec leur prétendu rôle secondaire, manient la danse et l'intrigue.
C'est une pièce qui recèle de nombreux secrets et de nombreuses morales. Sa longueur et sa modernité en font une pièce très impressionnante. Je vous la conseille totalement !
Très agréable comédie, enjouée de par son tempo et par la myriade de personnages qui sont présents et qui se succèdent.
La complexité du scénario est finement exécutée autant sur le plan du fond que la forme, ce qui fait un très beau rendu final, qui fonctionne avec l'efficacité d'une horloge.
La suite du Barbier de Séville. On passe un grand moment avec Figaro et sa bande. La plume de Beaumarchais est encore plus vive que dans le Barbier, on rit, et on imagine l'embarras de Louis XVI et de certains membres de la Cour lors de la première du mariage de Figaro.
Tout d'abord, j'ai dû lire cette pièce de théâtre pour les cours, et honnêtement, j'en ai été agréablement surprise. Des fous rires incontrôlés à la lecture de quiproquos complètement loufoques à une réflexion intime sur les mœurs de l'époque, cette pièce comique légère se lit facilement en un après midi. Elle nous amène à nous interroger sur la manière dont le mariage était considéré à l'époque, la place de la fidélité au sein du couple, ou encore les droits que les seigneurs s'octroyaient sur leurs serviteurs. Notamment, l'auteur n'hésite pas à dénoncer les privilèges des nobles et leurs abus de pouvoir. Et c'est à travers les histoires de cœur des différents personnages qu'on cerne peu à peu les mentalités et points de vue que l'auteur tente de dénoncer. Ce récit mouvementé d'une journée auprès de Figaro et de son mariage ne nous laisse pas de répit. Chaque scène nous dévoile une nouvelle intrigue, des personnages toujours plus intéressants les uns que les autres, mais surtout nous empêche de poser le livre avant d'en avoir découvert le dénouement final. Cette pièce, par son poétisme, sa philosophie et sa satire, reste intemporelle et très audacieuse pour l'époque.
Je ne suis malheureusement pas du tout entrée dans l'histoire. J'ai même eu beaucoup de mal à m'y mettre et à comprendre le scénario car je n'ai pas lu le Barbier de Séville, mais en faisant des recherches d'explications de l'œuvre j'ai ensuite mieux compris les relations entre les personnages.
Pour être tout à fait honnête je n'ai même pas terminé ce livre. De base je ne suis pas du tout roman classique, ils m'ennuient et je n'arrive pas à rentrer dans l'histoire. C'est ce qu'il s'est passé pour celui ci aussi.
Étant quand même plus grande, je lis avec un autre regard, peut-être un peu plus critique, néanmoins il ne m'a pas plus.
L'histoire ne m'a pas du tout intéressée, je n'aime pas l'écriture théâtrale, je ne rentrer pas dans le livre, et l'intrigue ne me parait pas crédible. Encore moins quand on sait que le tout est censé se passer en une journée.
Enfin bref, je n'ai pas aimé et les personnages non plus, ce n'est pas encore ce classique qui me fera changer d'avis.
Une comédie très sympathique, dont j'ai eu l'occasion de jouer la première scène lors de mes cours de théâtre. C'est un moment léger et drôle, malgré certains passages un peu plus sérieux.
Résumé
Le Mariage de Figaro connut en 1784 un triomphe sans précédent. Figaro, valet frondeur qui entend se marier avec Suzanne, y défie son maître Almaviva, qui essaie de son côté par tous les moyens d'obtenir les faveurs de la fiancée. Cette comédie allègre souleva l'indignation mais aussi l'enthousiasme. Car jamais auparavant on n'avait traité si hardiment des grands, de leurs moeurs et de leurs privilèges ; mais jamais non plus on n'avait si subtilement dépeint la course au bonheur et le désir amoureux.
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