Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
692 703
Membres
905 838

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Le Meilleur des mondes



Description ajoutée par Fleurdencre 2013-11-05T16:15:19+01:00

Résumé

An 2500. Technologie et science remplacent la liberté. Les êtres naissent in vitro, les émotions et les sentiments sont remplacés par des sensations programmées. La société est organisée, hiérarchisée et uniformisée, chaque être, rangé par catégorie, a sa vocation, ses capacités et ses envies, maîtrisées, disciplinées, accomplies. Mais un homme, pourtant est né dans cette société, avec, chose affreuse, un père et une mère et, pire encore, des sentiments et des rêves. Ce "sauvage" peut-il être un danger pour le "monde civilisé" ?

Afficher en entier

Classement en biblio - 5 460 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par camillel54 2010-08-14T20:43:54+02:00

«Si l’on est différent, il est fatal qu’on soit seul.»

Afficher en entier

Commentaires les plus appréciés

Diamant

un livre troublant, à la fois futuriste, mais ô combien réaliste. J'ai adoré le livre, et l'avertissement que l'auteur nous lance, un peu à la Big Brother. L'auteur dépeint un monde vide d'émotion réelle, un peu automatique, un endroit ou le malheur n'existe pas... ni même le bonheur, au fond. Le roman peut semblait très futuristes et fort extrémistes aux yeux de plusieurs, mais au fond... qui sais si ce n'est pas tranquillement le chemin que la société est déjà en train d'emprunter, malgré tout.

Afficher en entier
Or

Comment rendre tout le monde heureux ? Réponse : en supprimant tous les problèmes qui font souffrir les gens, ainsi que les responsabilités qui l'obligent à faire des concessions. Mais un homme qui ne souffre plus, qui ne s'assume plus... est-ce vraiment un homme ? Ou une enveloppe vide, qui éprouve certes des émotions mais fonctionne à la façon d'une machine ?

En lisant ce livre, j'ai repensé à une phrase de Paul-Emile Victor :

"Initiative, responsabilité, décision sont les trois qualités nécessaires pour accéder à la dignité d'homme."

C'est justement de ces qualités que les hommes de ce monde parfait ont été amputés.

*****

Ahem pour ne pas virer dans la dissertation de philo...

En fait, après avoir lu "1984", j'ai paradoxalement trouvé que ce monde n'était pas si horrible que ça ! au moins ici, il s'agit d'une utopie, où l'objectif est le bonheur des gens.

Qui attire finalement notre attention sur la vanité de vouloir échapper à nos responsabilités.

J'ai adoré ce livre, comme Hrader j'ai trouvé le début très intéressant, en plus il nous permet de suivre le parcours des petits humains jusqu'à ce qu'ils soient formatés comme si on grandissait dans cette société.

Les préfaces sont peut-être un peu arides, mais elles placent le livre dans son contexte. J'ai été étonnée de voir que ce livre était si ancien, Huxley était un visionnaire ! Et surtout, il est intéressant de voir que son avis sur son livre a évolué avec le temps.

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Commentaire ajouté par Gaspinou 2023-11-26T14:10:57+01:00
Bronze

Une très belle écriture. Malheureusement, je n'ai pas énormément apprécier ce livre. Une référence dans le domaine de la science fiction, mais que j'ai trouver lent, une intrigue, qui début qu'à la page 215 sur 300... j'avoue que il faut s'accrocher pour le lire. Certains passages sont très compliqués à comprendre, plusieurs personnages parlent en même temps ce qui rends le tout très difficile parfois. Mais la lecture est rester assez agréable

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Morlivet 2023-11-24T19:18:00+01:00
Argent

Un livre que j'avais d'abord étudié brièvement en cours d'anglais en terminale, et que j'avais tenté de lire une première fois, sans succès. Cette fois-ci, je suis allé au bout, peut-être en raison d'une meilleure compréhension de certains passages. Toujours est-il que l'histoire a certains défauts, le plus grand d'entre eux étant sûrement le choix laissé au Sauvage, choix sur lequel Huxley lui-même est revenu dans sa préface de 1946 : les deux possibilités sont toutes les deux extrêmes, et il n'y a pas d'entre deux "souhaitable". Margaret Atwood écrira plus tard que c'est là l'intérêt du livre selon elle : les deux choix révèlent deux facettes de l'humanité qui existent en chacun de nous, inconciliables, et qui nous sont pourtant chères.

L'écriture est aussi agréable, notamment les innombrables sauts d'un personnage à l'autre dans le chapitre 3. En bref, une lecture essentielle, mais qui n'est pas non plus la "révolution" que l'on nous vend parfois.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par hannah-1879 2023-11-19T18:37:52+01:00
Diamant

Le pire des mondes vers lequel nous marchons inexorablement.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Hanayu 2023-11-18T22:20:42+01:00
Pas apprécié

Oulala...la science-fiction pur-jus d'antan c'est "quitte ou double" pour moi. Et là d'entrée...c'était carrément "quitte" ! XD

Premiers chapitres ? En PLS !

De la science inventée gargarisante et flippante en veux-tu en voilà !

Des circonvolutions sur :

- la volonté forcée d'avoir une activité sexuelle fréquente dès le plus jeune âge

- de la monogamie vue comme une déviance

- du consentement dont on se fiche

- du côté "poupée gonflable", rôle acté de toutes les femmes du récit

- de l'unicité malvenu d'un individu

Oo

Chapitre 3 ? La perdition totale ! Une cacophonie de scènes simultanées qui se superposent à l'écrit à nous en donner mal au crâne.

Pourquoi ? Parce que j'aurais aimé "quitter" (ouiiii encore) certains protagonistes tout court et ne pas continuer à suivre leurs déblatérations malaisantes !

Le conditionnement extrême est partout. Parole d'évangile adaptée à chaque groupe créé. Maintenir la populace dans sa bêtise crasse pour mieux la garder sous son joug. On se retrouve à lire des délires typiques d'une secte ayant réussi à formater tous ses membres. Et sans cesse tout est rapporté à "La bête à deux dos" hyperactive. Volonté de choquer ? Sans doute. La redondance du propos "bonobo" est pénible en tout cas.

Bernard à peine nous est-il sympathique qu'il devient détestable à outrance. Lenina est cruche, comme elle l'a été conçue. Linda de même, alors que son personnage avait un potentiel réel bien plus conséquent que : juste servir à "perdre" le Directeur. John n'attire pas plus notre empathie que les autres tellement il vrille méchamment. La mesquinerie est partout en plus de la gaudriole.

S'il y a de vraies réflexions sur l'embrigadement, le libre arbitre, et la pensée personnelle... la narration, elle, m'a débecté. Le discours de l'Administrateur est glacant et déplaisant de réalisme mêlé d'accent de racisme. Celui du Sauvage mixe allégrement utopisme naïf et bondieuserie extrémiste. Le tout se concluant sur de la folie furieuse hallucinante...une sorte de bad-trip surboosté par des produits nocifs.

Donc pas de relecture au programme !

Une certitude je ne suis pas "pneumatique" (ce qui me réjouit) et ingérer du "soma" c'est No Way !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par horselove 2023-11-13T20:06:55+01:00
Lu aussi

Description d'un monde sans libre pensée avec un avenir tracé dès la naissance et où les moindres faits et gestes déviants de ce qu'on nous a assigné à la naissance engendre des sanctions.

C'est terrifiant et finalement pas si loin de nous...

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Tsuky17 2023-11-08T23:59:27+01:00
Argent

j'ai relu ce livre que j'avais présenté au bac de français avec le même plaisir

Aldoux Huxley était un formidable visionnaire quand il a écrit car plus que j'aime notre société par certains côté y tend de plus en plus et certains concepts restent encore d'actualité (la vieillesse)

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Chess_01 2023-10-04T18:07:56+02:00
Pas apprécié

J'ai été très décu.e par ce roman, que l'on m'avait conseillé comme l'un des trois piliers de la SF dystopique (avec 1984 et Farenheit 451). J'ai beaucoup aimé la première partie, expliquant le fonctionnement de cette société de contrôle dès la naissance où la mise au monde se fait en usine, et chaque être humain est catégorisé et doit rester dans sa caste de départ. Mais dès que le roman a quitté cet espace de mise en scène pour rejoindre la réserve et les personnages que l'on y a découvert, j'ai surtout eu l'impression de lire une réécriture du premier mythe de Tarzan... Grosse déception donc, je n'ai même pas fini le roman - je me suis arrêté.e à peu près à 10 pages de la fin, en me disant que de toute manière le livre n'allait pas réussir à me faire changer d'avis en aussi peu de temps

Afficher en entier
Commentaire ajouté par BooksFan-ny 2023-09-29T21:37:40+02:00
Bronze

Bienvenue dans le meilleur des mondes ! Celui du bonheur universel où tout un chacun a été conditionné avant même qu'il ne naisse afin d'apprécier à sa juste valeur le monde civilisé qui l'accueille et le métier pour lequel il est prédestiné avant même de voir le jour. Pas de parents puisque tout le monde est fabriqué au Centre d'Incubation et de Conditionnement. Pas de famille, ce sont des problèmes en moins. Un métier que l'on aime, quel qu'il soit, c'est le pied.

Un p'tit coup de mou ? Aucun problème, prenez un soma, petit médicament qui vous plonge dans un sommeil paradisiaque.

C'est ça le meilleur des mondes, c'est la stabilité sociale. Ça vous fait pas rêver ?

Bon par contre, n'imaginez pas pouvoir penser par vous-même et inutile de vouloir être une personne à part entière. On ne peut pas tout avoir non plus, on fera donc l'impasse sur les libertés. Mais c'est pas grave puisque vous n'en êtes même pas conscients...

À part peut-être Bernard, mais lui c'est pas pareil, il a été raté à la conception (la rumeur dit qu'on lui aurait injecté de l'alcool dans son pseudo-sang quand il était encore dans un bocal...). Et maintenant, il se pose des questions alors qu'il ne devrait pas, il est mélancolique au lieu d'être heureux... comme si ça suffisait pas qu'il soit rejeté par ses compères... Bah oui, suivez un peu, il a été raté : il est différent (physiquement) de ses collègues Alphas.

Ah c'est vrai, je ne vous ai pas encore parlé des différentes castes. Alors même que vous êtes encore un œuf, la caste à laquelle vous appartiendrez vous a été déjà assignée. Aurez-vous la chance d'être un Alpha, l'élite de la société, grand, beau, fort et intelligent ? Ou un Béta ? Un Gamma ? Un Delta ? Ou encore un Epsilon, petit, laid, bête, voué à accomplir les plus basses besognes ? Aucune importance, de toute façon vous serez satisfait de votre rôle à jouer dans cette société "à peine" sous contrôle...

Mais revenons à nos moutons. Bernard donc. Il se demande quel genre de personne il serait s'il n'était pas conditionné. Une fille lui plaît, il l'emmène alors en vacances, au Nouveau-Mexique, visiter une réserve de Sauvages.

Et c'est là que John entre en jeu. Ce Sauvage que Bernard ramène à Londres y découvre le monde que sa mère lui parlait tant. Le monde idéal quoi, mais il va vite déchanter. Rejeté par les Sauvages à cause de la couleur de sa peau trop pâle, objet de curiosité par les Civilisés parce qu'il a une mère, John ne sait pas où est sa place...

Il y aurait encore plein choses à vous expliquer, notamment en ce qui concerne l'organisation et le fonctionnement de cette société. Mais ce serait tout vous gâcher alors je n'ai plus qu'à vous conseiller de lire ce bouquin (si ce n'est déjà fait).

Pas de personnage principal mais plutôt des personnages principaux : un Alpha raté, une Alpha parfaite et un Sauvage érudit. On les voit tous les trois évoluer dans une société soit disant utopiste, qui les prive du libre-arbitre en échange d'une vie harmonieuse et heureuse, sans guerres et sans conflits. Pour certains, l'issue était inévitable mais il y a avant cela une prise de conscience à laquelle on est flatté d'assister. On reconnaît en eux des personnalités qui ont réellement existé, comme Lénine, Marx, Darwin ou Napoléon. À travers eux, l'auteur aborde et mélange des sujets divers : l'eugénisme, le totalitarisme, l'organisation du travail (fordisme ?), la surconsommation, l'influence des médias.

Le système de cette société est très bien dépeint : les différentes étapes de la fécondation (on assiste d'ailleurs dès le départ à une visite guidée du Centre), "l'élevage" des enfants, le conditionnement et la propagande, les spécificités des différentes castes, la stabilité sociale, etc. J'aurais aimé avoir davantage de détails sur les loisirs proposés, je n'ai effectivement pas réussi à me représenter les courts de Paume-Escalator par exemple, ou encore le vibromassage par le vide. Mais en dehors de ça, on comprend très bien comment fonctionne la société dans son ensemble.

Côté intrigue, j'y ai relevé quelques longueurs. Mais il faut dire que je ne suis pas en grande forme en ce moment, ça y a certainement joué.

Au même titre que "1984" et "Fahrenheit 451", il me fallait lire un jour ce classique dystopique que quasiment tout le monde a déjà lu autour de moi. Voilà qui est chose faite. Ce roman d'anticipation donne la chair de poule, parce que pas si fictionnel que ça sur certains points (société qui nous pousse à la consommation et influence des médias notamment). Publié dans l'entre-deux-guerres, en 1932, on se rend compte de l'avant-gardisme de ce récit qui fait froid dans le dos malgré l'absence de guerres, de maladies et de religions, le bonheur universel et le côté "bien-pensant" des dirigeants.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par emma-2250 2023-08-17T17:37:19+02:00
Lu aussi

Un classique mais je n'ai pas forcément apprécié l'écriture, à lire tout de même

Afficher en entier
Argent

《 Il faut choisir entre le bonheur et ce qu'on appelait autre-fois le grand art. 》

Pour une fois l'œuvre va être traitée sous deux formes. Une série signée Peacock et la nouvelle dont elle est inspirée. Inspirée oui, car après avoir lu Aldous Huxley on peut dire que c'est très éloigné.

La série (2020, Joseph Morgan/Alden Ehrenreich/Demi Moore) :

Un monde futuriste issu de l'imaginaire collectif de notre génération. Les quelques personnages principaux évoluent dans un monde (contrôlé par une IA) au style plus que minimaliste et aseptisé de tout, même des émotions. Nous y suivons une femme, issu de la troisième caste sociale, et deux hommes, l'un étant un Alpha moins (deuxième caste) et l'autre un "sauvage". Ces trois personnages pour des raisons qui leur sont propres à tous, semblent incapables d'être heureux dans ce "Monde merveilleux". Même avec l'aide de pilules colorés appelées "soma" qui ne sont autres que des drogues du bonheur.

Dans la série, nous glanons des informations sur le système social avec quelques indices ici et là. Nous vendant une idylle bancale entre Lenina et le sauvage, qui n'a pas lieu d'être et change totalement l'analyse de l'œuvre.

La nouvelle (1932) :

Cette œuvre issue de la littérature d'anticipation a été publiée presque une vingtaine d'années avant le notable 1984 de George Orwell. Je ne la conseille pas aux novices du genre de par son caractère quelque peu dérangeant en comparaison de nos mœurs actuelles et à son interminable liste de référence (philosophes, scientifiques ou bien l'œuvre complète de Shakespeare).

Cependant, manquant moi-même certaines références l'intrigue et le message restent compréhensibles. Jusqu'où accepterons-nous d'aller pour un bonheur illusoire ? Quel sacrifice pouvons-nous tolérer ? Mais surtout jusqu'où les conditionnements social et scientifique peuvent ils aller ? Pouvons-nous réellement dire que le traitement réserver à leurs castes inférieures sont réellement différent de celui que nous imposons nôtre notre ?

Afficher en entier

Date de sortie

Le Meilleur des mondes

  • France : 2002-10-11 - Poche (Français)

Activité récente

Vi13103 l'ajoute dans sa biblio or
2023-11-30T14:11:03+01:00

Titres alternatifs

  • Brave New World - Anglais
  • Admirável Mundo Novo - Portugais
  • Il mondo nuovo - Italien
  • Schöne neue Welt - Allemand
  • Feliz Mundo Nuevo - Espagnol
  • О дивный новый мир - Russe
  • Heerlijke nieuwe wereld - Néerlandais
  • Fagre nye verden - Danois
  • Du sköna nya värld - Suédois
  • Szép új világ - Hongrois
  • Θαυμαστός καινούργιος κόσμος - Grec
  • Minunata lume nouă - Roumain
  • Konec civilizace - Tchèque
  • Uljas uusi maailma - Finnois

Distinctions de ce livre

Évaluations

Quizz terminés récemment

Les chiffres

lecteurs 5460
Commentaires 532
extraits 103
Evaluations 1218
Note globale 7.34 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode