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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Sidecar 2023-05-26T21:38:23+02:00
Argent

Excellent roman de cape et d'épée sur fond historique dramatique, les protagonistes y jouant leur vie.

Le style est tonique et l'action permanente. Le ton des dialogues rappelle que ce roman est une adaptation d'une pièce de théatre écrite en 1905. Le lecteur imagine sans peine les lieux et les scènes, les attitudes et la tension de l'intrigue, d'une grande finesse psychologique. Les illustrations de Frédéric Garcia, au trait vif, s'adaptent parfaitement au ton de ce roman enlevé.

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Commentaire ajouté par Monchaton 2022-12-07T08:45:57+01:00
Or

Ce livre est tout simplement génial. Je l'ai lu et relu au moins vingt fois ! j'ai vraiment aimé la fin de ce livre qui se termine sur une note positive un peu loin, j'imagine, de l'ambiance de l'époque. Cependant ce livre m'a appris quelques petites choses. Et j'ai beaucoup aimé me plonger de l'histoire. Je recommande vivement ce livre !

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Commentaire ajouté par zaphrinamakichan 2018-02-09T22:28:16+01:00
Or

https://lessortilegesdesmots.blogspot.com/2018/02/le-mouron-rouge-tome-1-de-baronne-orczy.html

Lorsque j'ai lu le résumé de ce livre, j'ai été vraiment intriguée. C'est à contre-courant des romans sur cette période historique. Le roman est vraiment addictif et remplie d'informations données l'air de rien. Le lecteur pénètre au sein de l'aristocratie et voit tout ces faux semblants et ce besoin impérieux de faire attention tout le temps aux apparences. La maison d'édition a fait le choix de conserver un minimum le style de l'époque sans que ce ne soit trop lourd. Cela nous pousse vraiment à l'époque des faits.

Lorsque l'on rencontre Margueritte, on la déteste. Cependant, en quelques lignes, on change d'avis. On a mal pour elle. Ce personnage va nous mener de surprises en surprises. J'ai apprécié le fait que ses réactions soient réalistes. Certains jugeront que non mais je leur répondrai : que feriez-vous en pareil circonstance? Ne me souvenant pas du résumé, je me suis amusée à chercher qui était le mouron rouge (même si on nous le dit dans la préface. J'avais d'ailleurs un peu râlé). Au final, je comprends pourquoi on nous le dit dans le résumé. On le comprend pas tout de suite mais les indices sont vraiment gros. Je l'ai compris avant sa femme. Certes, elle avait de bonnes raisons de refuser à le comprendre mais bon.

Percy manipule bien son monde. On le prend vraiment, comme sa femme, pour un crétin fini alors qu'il est très certainement bien meilleur comédien que sa femme ne le sera jamais. Il excelle dans l'art d'espionner, de se déguiser et de manipuler les gens. Il aurait pu être magicien. Certains tiquent de langage m'ont un peu agacé au point que je les zappais mais il m'a vraiment amusé surtout une fois qu'on le vois vraiment en tant que mouron rouge. Les trois quarts de l'histoire étant écrite du point de vue de Margueritte, on ressent vraiment la même chose qu'elle. On se pose cent questions. Bref, on nous torture émotionnellement et ça en vaut la peine.

En bref, j'ai adoré cette lecture. Si vous aimez les romans d'aventures, historique et un soupçon de romance, c'est un parfait mélange.

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Commentaire ajouté par Im-a-Sassenach 2018-02-02T21:47:34+01:00
Argent

Face à la lame sans merci de l'affamée Dame Guillotine, le seul rouge versé...

Tout d'abord, un grand merci aux éditions L'Archipel pour ce bel envoi qui m'intriguait beaucoup. En effet, la saga à succès du début des années 1900 Le Mouron rouge m'était tout à fait inconnue avant cette sublime réédition en poche, à la couverture dont le ciel est saturé de rouge, ce qui me fait grandement penser au danger que court notre intrépide héros so british tout au long de cette première aventure sur papier, alors que le Scarlet Pimpernel (surnom original du héros) né sous la plume de la fascinante Baronne Orczy n'a pas été que le fleuron de la mode de la cour anglaise de la fin dix-huitième siècle.

Ce héros sans peur et sans reproche s'est vu, suite à ses florissantes et palpitantes intrigues en romans, star de cinéma, de comédie musicale et même de feuilletons télévisés ! Ce n'est pas rien tout de même ! Sir Percy Blakeney a eu sacrément la côte au vingtième siècle et je remercie grandement les éditions L'Archipel de redonner un second souffle à sa réputation à notre époque en publiant dans leur catalogue ce grand classique du roman de cape et d'épée, cette fois au temps de la sanglante Révolution française.

C'est amusant tiens, ce combat rouge contre rouge. Le rouge de la fleur dite du mouron, une fleur écarlate à la jolie et plaisante forme d'étoile, contre le rouge de la fleur de la cocarde tricolore, le rouge de la hampe à laquelle pend le drapeau de la République française, flottant au vent comme pour mettre un pied de nez à ces Anglais et ces Autrichiens royalistes, impérialistes, ennemis numéro 1 avec les Aristocrates à la lanterne qui abreuvent nos sillons, le rouge enfin de la Terreur et de la mère guillotine.

Guillotine que, par ailleurs, la Baronne Emmuska, appelée Emma sur le sol français, personnifie très bien. Aux yeux de personnages odieux comme Chauvelin (qui a été incarné par Ian McKellen, j'adorerais voir ça tiens !), représentant hautain et sans pitié (la Baronne le souligne à de nombreuses reprises, c'est son trait de caractère principal), la bien-aimée guillotine mérite bien de se nourrir du sang des traîtres.

Le sang de la violence, de la brutalité qui fait froid dans le dos, des Révolutionnaires embrigadés d'un côté, et le rouge de la lutte sans répit pour l'Humanité et la liberté, pour la décence de l'Homme et sa solidarité de l'autre, donne au roman son atmosphère et sa couleur si singulière.

Bien que née un siècle presque après ces événements drastiques du passage d'un monde ancien de royauté et de privilèges à celui d'un monde soit-disant nouveau des Droits de l'Homme, qui s'érige dans l'injustice et le bain de sang, la Baronne Orczy a elle aussi connu, dès son plus jeune âge, la haine que le petit peuple porte à ces "damnés aristos" et ce que cette haine viscérale peut les pousser à faire. Traumatisée par ce passé qui ne passe pas dans sa mémoire, si l'on met en lumière le récit des aventures de Percy Blakeney en sachant ce que l'autrice a vécu, cette façon de peindre d'un côté les braves Anglais et de l'autre les vils Français ne nous surprend guère. Emmuska, appelons-là par son si joli et exotique prénom, s'est effectivement aussi nourrie du matériau de son histoire pour teinter son récit de rouge éclatant, ce qui ne le rend que plus intense et crédible à nos yeux.

Cependant, si l'on pourrait penser le récit empreint d'un certain manichéisme, cela n'est assurément pas le cas pour moi. La réalité s'offre à nous : le Comité de Salut Public, des personnalités telles que Robespierre, Marat ou Danton, ne se souciaient guère des hommes, femmes et enfants ; de l'être humain dans son essence même. A partir du moment où la personne était accusée d'être née avec une cuillère en argent dans la bouche, les têtes roulaient et on s'en donnait à cœur joie.

Il n'y a pas de billevesées dans ce que la Baronne Orczy nous raconte. Certes, elle a romancé avec sa plume féministe, séduisante, mordante et appelant d'un cri qui s'échappe des pages au respect de ces "Droits de l'Homme" ce pan sombre de l'Histoire en inventant les ruses et astuces extraordinaires de Percy Blakeney pour échapper à la Dame guillotine et à ses adorateurs.

De quoi faire briller nos yeux, de la façon semblable dont ces derniers sont captivés et scintillants lorsqu'on lit Les trois Mousquetaires de Dumas et les péripéties de ces derniers au temps de Richelieu et de Louis XIII. Ce que je puis vous assurer, c'est que l'autrice ne triche pas, qu'elle nous livre une histoire pleine de rebondissements, de frayeurs, de vertus héroïques et sacrées, enracinées dans l'Homme profondément bon ou qui devrait aspirer à l'être, mais cependant elle n'enjolive pas l'atroce réalité de ce temps-là, elle ne la dénature pas.

Au contraire, dès les premières pages, cette dernière nous est balancée brute de pomme avec un bourreau qui tranche une tête sur une place publique qui semble impossible à franchir pour les aristocrates, dont c'est pourtant l'échappatoire afin de pouvoir sortir des portes de Paris, Paris l'ensanglantée, Paris la terrorisée. Mais tromper habilement l'ennemi, c'est le grand art de Percy Blakeney, mesdames et messieurs.

Ce grand homme dégingandé m'a impressionnée car non seulement, il est un maître du déguisement et a réussi à me berner comme un bleu à chaque nouveau personnage pour lequel il se faisait passer, mais surtout il a à cœur de protéger ceux qui ne peuvent pas se défendre et qui ont besoin de lui, de sa malice et de son cran, ici les aristocrates français piégés dans les méandres de la Terreur, qui n'épargne personne et établit des procès sommaires et qui n'en sont guère.

Sous ses apparences de benêt nonchalant se cache un cœur de lion en or massif, une âme de meneur de gentlemen aux nobles intentions et à la jeunesse insouciante, doublé d'une grande sensibilité. Bref, Percy Blakeney a de quoi charmer tous les médias et plaire au plus grand nombre, difficile de lui résister.

Et à son bras, la "femme la plus fine d'Europe", j'ai nommé Marguerite Saint-Just. Expatriée anglaise, Marguerite est dans ce récit l'avatar de la citoyenne fidèle à sa patrie et à ses élans de liberté et d'égalité entre les peuples et qui cependant réprouve en son âme et conscience la barbarie de ses compatriotes. La splendide et éblouissante Margot incarne la révolutionnaire modérée, celle qui veut faire avancer les différents membres de la société main dans la main sans que celles-ci soient couvertes du sang d'innocents.

Marguerite est un personnage exquis et de femme extrêmement intéressant. De prime abord, elle m'a fait très mauvaise impression car, à l'image des nobles français assez effacés de ce récit, son orgueil borné la rend désagréable et presque agaçante. Or, Marguerite va connaître une belle évolution au fur et à mesure qu'elle va réaliser que son esprit raffiné n'est pas si perspicace qu'elle ne le croyait.

De la femme qui cherchait à combler son cœur de l'amour sans bornes d'un homme lui étant dévoué des pieds à la tête, la jeune femme-enfant, en réalité encore bien fragile et incertaine dans ses sentiments et dans ses idées, va s'épanouir avec cet amour grandissant en elle, cet amour pour son respectueux mari et pour son combat, de la femme qui attend d'être servie, Marguerite deviendra celle qui se salira les mains et la tenue et qui prendra tous les risques, sans délai, pour protéger ceux qu'elle aime.

Qui plus est, son attachement vital et débordant d'amour à son frère, Armand Saint-Just (à ne pas confondre avec Louis Antoine de Saint-Just, dit « L'Archange de la Terreur », qui a véritablement existé, lui), ainsi qu'à la mignonne petite Française Suzanne, sa sœur de cœur de couvent, ne la rend que plus touchante et plus belle. Cette façon dont la Baronne a de peindre l'âme et les tourments du cœur d'une femme, sa fragilité et sa grande force à la fois, donne à ce premier tome une valeur d'autant plus précieuse.

Pour conclure, le premier tome phare de la rivalité du héros vénéré par les Anglais du Mouron rouge se sera révélé plein de surprise et de richesse pour moi. J'ai grandement apprécié cette lecture, qui m'a fait faire des aller-retours constants entre une France qui se construit sur la rancœur et l'effroi et une Angleterre élégante et vertueuse, digne de tous les éloges.

On sent que la Baronne Orczy a grandement apprécié son exil à Londres, où est d'ailleurs né son charmant héros, si je ne m'y trompe pas. Tout comme la Baronne à la genèse de sa grande œuvre d'aventure, de sentiments profonds et complexes et de lutte entre le gentil et le vilain, j'ai vu de mes propres yeux le grand gaillard Percy, vêtu de la plus fine dentelle et du complet le plus chic d'Angleterre, au coin du trottoir, face à l'aigri et rêche Chauvelin et à ses yeux perçants, inquisiteurs et intimidants de renard (c'est méchant pour les renards, sniff), ils étaient palpables, ils étaient réels.

J'espère de tout cœur que les éditions L'Archipel publieront la suite des histoires de Sir Blakeney chez eux, car il me tarde de retrouver cette ligue de personnages et de savoir ce qu'ils sont devenus ! Je croise les doigts pour que cela se fasse et je remercie encore mille fois L'Archipel pour ce savoureux envoi, j'ai été conquise, c'est le mot !

... sera celui provocant d'une fleur taquine de justice.

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Commentaire ajouté par Mondaye 2014-09-10T08:43:58+02:00
Argent

Un roman de cape et d'épée très sympathique, bien que le rôle des français n'y soit guère reluisant, et que les nobles aient le beau rôle.

Surprises, coups d'éclat, duels d'esprit plutôt que d'épées, sauvetage in extremiste... bref mille rebondissements qui en font un vrai plaisir.

Mais pour l'identité du mouron rouge, on la devine plus que rapidement

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Commentaire ajouté par Biquet 2011-10-07T15:35:43+02:00
Lu aussi

Pas étonnant que les révolutionnaires français soient présentés comme d'horribles personnages et que ces pauvres aristocrates de même nationalité, comme des agneaux bêlant sauvés par un Zorro anglophone.

La baronne, donc l'écrivain, était d'origine hongroise mais s'était établie à Londres et y avait pris la nationalité de son pays d'adoption. Par ses oeuvres, elle flattait les sentiments anti-français des ses nouveaux compatriotes.

Cela étant dit, ce sont d'excellents romans de capes et d'épées, qui nous présentent avec brio l'autre côté de la révolution française.

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Commentaire ajouté par sara4510 2011-03-13T20:33:43+01:00
Diamant

j'ai trop aimé ya du courage FRANçAIS dedans a lire.....

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