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Elle empoigna la cime de l'arbre et lança ses pieds dans le vide. Le tronc, fin et élançé, ploya sous son poids, l'amenant à mi-distance du sol. Elle se balança un instant puis se laissa choir sur la branche maîtesse d'un chêne proche. Elle s'assit, bascula en arrière, crocheta la branche au dernier moment, s'y retrouva suspendue à la force de ses poignets. Elle se balança une nouvelle fois et bondit sur un charme. Pieds plaqués contre son écorce lisse, elle glissa jusqu'à terre.

- Pas mal du tout, admira Oukilip. Si tu n'étais pas si grande, tu pourrais devenir vraiment douée.

- N'importe quoi ! rétorqua la fillette sans se démonter. je grimpe déjà aussi bien qu'un Petit, non ?

- Ca ce n'est pas sûr, intervint Pilipip qui n'avait pas digéré qu'elle lui lance son beau chapeau d'écorce à la figure. Et puis si tu continues à grandir, tu ne parviendras plus à te faufiler sans bruit dans les buissons pour surprendre les clochinettes.

- Et pourquoi donc, monsieur le grognon ?

- Parce que quand on est grand, on est maladroit, voilà pourquoi !

Ipiu poussa un soupir désapprobateur.

- Ce n'est ni une réponse du savant, ni une réponse du poète.

- Par les dents d'Humph le trodd, s'emporta Pilipip, tu me fatigues avec tes questions à deux réponses !

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Ellana prit conscience que Jilano lui parlait et que, submergé par la beauté de la ville, elle n'avait rien entendu.

-J'ai connu un homme qui est resté deux jours entiers à la contempler, répeta le marchombre. Et quand il a eu fini de la contempler, il est mort. Heureux.

(...)

"Elan infini, devenu humain

Emoi devant le parfait équilibre

Larme."

Il ne dit rien. Gage de pureté, la poésie marchombre s'enlaçait aux mots tracés, jamais aux mots prononcés.

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Est-ce raisonable de s'attacher aux gens alors qu'à tout moment ils pouvaient vous être arrachés?

(... Saut de chapitres...)

-Je ne peux pas m'attarder, lui annonca-t-il, mais avant de partir j'aimerais savoir si tu as trouvé la réponse à ta question. Celle qui te tracasse depuis notre rencontre avec les Rais.

-Il y a deux réponses à cette question, comme à toutes les questions, lui répondit-elle. Celle du savant et du poète. J'ai une idée pour celle du savant.

- Je t'écoute.

- On s'attache aux gens parce qu'on a peur d'être seul et cette peur est plus forte que la crainte de les perdre.

- Tu crois vraiment cela?

- Je ne sais pas. J'attends de découvrir la réponse du poète pour me faire une opinion. Elle est souvent difficile à trouver.

Sayanel acquiesça d'un hochement de tête.

- Je peux te donner un indice, fit-il.

Il s'était exprimé d'une voix placide pourtant, lorsque qu'il se pencha, l'attention d'Ellana était absolue.

Il prononça un mot.

Un seul.

- Marchombre.

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-Maman , pourquoi les nuages vont vers le nord et nous vers le sud ?

-Il y a deux réponses a ta questions comme a toute les questions . Laquelle veux-tu ? Celle du savant , ou celle du poète ?

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Nulle lame, nulle flèche n'a jamais effleuré le Dragon, aucun contact humain n'a jamais souillé ses écailles brillantes.

La main d'Ellundril Chariakin se pose sur son cou.

Lorsqu'il ouvre les yeux, alerté par un sens surnaturel, le Dragon est seul.

Que quelqu'un est venu.

Que quelqu'un est reparti.

Que rien ne lui a été volé.

Que quelque chose lui a été apporté.

Un message.

Ecrit en lettres flamboyante sur le mur qui lui fait face:

Beauté du geste libre

Supériorité de l'esprit sur la force

Rire.

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Il avait rencontré Isaya 6 ans plus tôt, l'avait aimée à la seconde où ses yeux s'étaient posés sur elle, l'avait courtisée comme jamais femme n'avait été courtisée, et quand enfin elle avait dit oui il s'était évanoui de bonheur. Littéralement.

Leur fille était le seul enfant de la caravane. Ils avaient d'abord craint que cette situation la perturbe mais avaient vite changé d'avis. Une fois le village bâti, des bébés naîtraient, nombreux, et, en attendant, la petite qui était très éveillée s'entendait à merveille avec les adultes qui l'entouraient.

Éveillée et têtue. Elle ne cédait que lorsqu’elle comprenait, et elle voulait tout comprendre. Ce trait de caractère enchantait Isaya mais Homael, peu porté aux explications, s'emportait souvent quand sa fille exigeait de connaître les motifs d'une consigne avant de lui obéir.

- Elle n'a que cinq ans ! se plaignait-il à sa femme. Pourquoi faut-il toujours qu'elle discute ce que je dis?

Isaya se contentait de sourire, et Homael se calmait.

Comme par enchantement.

(Ellana,tome 1, chapitre 1 - pages 14-15)

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Elan infini, devenu humain

Emoi devant le parfait équilibre

Larme.

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Il y a deux réponces à cette question. Celle du savant et celle du poète. Laquelle veux-tu en premier?

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-Devenir la meilleure au monde ne te semble pas un objectif suffisant ? s'étonna Nillem.

-Non, parce qu'il est accessible et marque donc une fin, alors que la voie des marchombres est infinie. Si, en revanche, je cherche à devenir meilleure que moi-même, je ne m'arrêterai jamais.

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- Il existe deux réponses a cette questions, comme à toutes les questions. Celle du savant et celle du poète. Laquelle veux tu entendre en premier ?

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