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Fils d'un vassal du Roi des Francs, Aloïs vient de se voir accorder par celui-ci la fonction de Gouverneur des Pages. Plus que jamais, le jeune homme se doit de préserver le secret de son attirance pour les membres du même sexe et celui de son amour pour le prince Jehan, surnommé Belle-Lance.
Un chaud printemps surgit alors, réveillant les corps engourdis par l'hiver et soufflant un vent de folie sur le château royal, balayant l'abstinence que s'imposait Aloïs.
Le roi Henri vient de revenir sur Paris avec de prestigieux invités, au nombre desquels la princesse promise à Jehan. La promiscuité au sein de la forteresse et de la cité surpeuplées exacerbe alors toutes sortes de passions à l'approche des noces du Prince.
Ce roman décrit sans fard des amours homosexuelles. Il ne convient pas aux âmes les plus sensibles.
La plume entre deux doigts calleux, Gaulthier s'engagea dans la ruelle, ses minces sourcils froncés. Un tablier de cuir blanchi par la poussière protégeait son torse massif en laissant voir ses larges épaules nues. Aloïs le trouva plus beau et plus viril que dans ses souvenirs.
— Une plume d'oie ? demanda-t-il gentiment.
Le Page inspira, dressa le menton et repoussa sa capuche.
— Une plume de cygne, corrigea-t-il d'un chuchotement. Gaulthier ouvrit la bouche et les yeux, saisi d'étonnement. L'incompréhension prit son temps pour déserter son visage, remplacé par un doute éphémère. Aloïs attendit, n'osant sourire par crainte de révéler à quel point il se sentait timide et de colorer de rouge ses joues raisonnablement roses pour l'instant. Puis l'apprenti se rapprocha, émerveillé et intimidé à la fois. Ils se dévisagèrent sans rien dire. Soulagé de sa peur, le Page éprouva la douce chaleur du désir naissant.
— Messire Aloïs, fit l'apprenti emprunté.
— Gaulthier, répondit-il avec douceur.
Le gaillard avança d'un pas, une lueur d'incrédulité heureuse dans le regard.
On retrouve avec plaisir le phrasé moyenâgeux qui à lui seul, assure la mise en ambiance. Toutefois rien de retenu dans le langage qui détaille avec moultes précisions des scènes au pouvoir érotique élevé, pour qui se complaît dans l'homoromance.
Ce tome est riche d'événements, de secrets, de découvertes, et j'ai vraiment hâte de lire la suite, qui s'annonce explosive à la lectures des derniers paragraphes !...
Moyen âge et érotisme, je suis preneur, peu importe le media. Lire la suite des aventures sensuelles du Page était donc l'évidence même.
Ce deuxième tome est meilleur, plus étoffé et propose une intrigue plus développée. Tout reste prétexte à des situations érotiques impliquant des mâles et c'est tant mieux. Comparé au premier, la part "hétéro" a été réduite. C'est délicieusement hot et inapproprié pour les prudes ou ceux qui veulent une pure romance.
Concernant le récit lui-même, c'est la suite directe et le protagoniste est Aloïs. Après avoir précédemment déverrouillé sa libido, il comprend ici qu'il aura bien du mal à fermer les vannes.
Dans le genre homoérotique, cette saga du Page est à part.
La couverture s’intègre bien dans la lignée de la trilogie. Elle correspond à l’ambiance du récit.
Cet opus fait suite au tome précédent et j’avais hâte de retrouver nos protagonistes.
En quelques mots, l’auteure nous envoie en plein moyen âge.
Elle nous offre une belle opposition entre la classe dirigeante qui se croit tout permis et qui est sans limite et le petit peuple, voire les serf qui doivent subir sans rien dire et être heureux d’avoir le droit de vivre.
J’ai apprécié le côté respectueux d'Aloïs qui essaye de faire le bien autour de lui. Mais surtout aider les jeunes pages qu’il a sous sa responsabilité. C’est un jeune homme posé même si parfois ces sens enflamment sous le regard des hommes.
J’ai adoré suivre son éveil à la sensualité et le suivre lors de ces différentes aventures érotique.
Il est prêt à se mettre en danger pour protéger l’être aimé.
Je l’ai trouvé attachant et j’avoue qu’on aimerait avoir dans son entourage, une personne comme lui sur qui l’on sait que l’on peut compter.
Jehan n’évolue pas beaucoup, il reste un coureur de jupon qui ne donne pas la sensation de se rendre compte de la portée de ses actions. Il a encore un côté puéril qui contraste avec son rôle d’héritier.
Il y a peu de personnages féminin mais j’avoue que j’ai trouvé que la Comtesse était une sacrée femme, prête à l’action pour son roi.
J’ai adoré recroiser notre lavandière qui n’a pas la langue dans sa poche et qui est toujours aussi attachante.
L’ambiance de la cour est originale puisqu’en quelques mètres on trouve tous les éléments de la société. Où la vie des femmes et celle des serfs n’est pas vraiment enviable. Où la vulgarité de certains et sans bornes mais où les poètes ont aussi leur place.
L’auteure nous transporte dans les différentes sphères de la société et m’a donné la sensation d’être aux côtés d’Aloïs.
J’ai apprécié pouvoir suivre les jeux de pouvoir, de politiques et ecclésiastiques.
Elle nous amène au cœur des intrigues de cour.
La plume fluide sert une intrigue prenante et même parfois surprenante, le tout saupoudré de scènes hot.
J’ai passé un excellent moment de lecture😍 et j’ai hâte de connaître la suite de l’histoire.
Je suis contente de retrouver notre cher le Page dans la suite de ces aventures. Alois fit la rencontre d’un jeune orateur nommé Narsès. Il va lui faire découvrir des parties de lui ainsi que le désir. J’ai trouvé hyper intéressant les références sur la mythologie grecque. C’est dingue, car on connait tous le célèbre héro Achille, mais qui savait qu’il avait un amant du nom de Patrocle ?
Jehan et Alois sont toujours en froid depuis la fin du premier tome. Malheureusement d’après le Page, ses regards amoureux n’étaient plus destinés à lui, mais à la belle Eleonora la future épouse de l’Héritier…Qui quant à elle cache queleque chose....
Le retour dans le passé d’Alois permet de mieux comprendre le début de ses sentiments pour son ami. Des sentiments peuvent-ils s’effacer si facilement ? Comment vont-ils passer cette nouvelle épreuve ?
J’avoue apprécier le côté voyeurisme d’Alois, que ce soit pour protéger les autres par peur qui subissent des abus ou pour satisfaire sa curiosité et son plaisir personnel. Cette capacité d’espionné va s’avérer utile lors d’une demande faite par le Roi. Comme quoi, il faut toujours tirer profit de nos compétences.
J’ai eu du mal au début avec Guerric pensant qu’il voulait du mal à mon petit protéger, mais finalement, j'ai commencé à l’apprécier. Il est rusé et sait ce qu’il se veut. Après tout, un milieu comme celui-ci être malin apporte beaucoup de réponse et de contrôle sur la situation.
Pour finir, j’ai trouvé ce tome mille fois meilleur que le premier (que j’ai aimé, mais différemment) donc, foncez lire le premier pour, dévorer celui-ci !
Ce tome 2 bascule dans la pornographie, penchant vers le côté obscure de la sexualité, avec toutes ses déviances (attention aux thèmes abordés qui ne conviennent pas à tout le monde). On se retrouve donc avec Aloïs qui doit faire face aussi bien à ses besoins et envies, à son corps qui s'oppose à son esprit, qu'aux actes et personnalités des autres qui ne sont pas toujours bienveillants, loin de là.
Si l'écriture reste la même que pour le tome 1, éloquente, soutenue et crue tout à la fois, l'histoire devient choquante, perturbante, imposant au lecteur de garder en mémoire la période durant laquelle elle se déroule et le contexte social comme religieux de cette époque moyenâgeuse. Religieux qui, soit dit en passant, en prennent plein leur grade.
Une lecture à ne pas mettre entre toutes les mains, à éviter en cas de sensibilité importante ou croyance religieuse, et impliquant une grande ouverture d'esprit. Pour tous ceux qui ne sont pas facilement choqués (ou qui aiment ça), cette romance est très hot et explicite.
Que d'intrigues à la cour... et que de bacchanales !
Épris de romances fleurs bleues, abstenez-vous !
Nous sont livrés, ici, un Page bien moins sage, ses tumultueuses conquêtes et ses vils déboires.
Notre petite rondelle, toujours aussi transie de sa Belle-lance, se fait un devoir de travailler son séant. L'adapter aux besoins démesurés de ses amours princières est une urgente nécessité. Or chemin faisant, oublieuse de ses tendres sentiments, celle-ci succombe à l'appel de la chair, honteusement ou délibérément c'est selon.
J'ai souvenance du récit de la magnificence de son dépucelage, teinté de douces émotions, par, osons le penser, son ténébreux et, néanmoins, très délicat premier amour.
Mon cœur ému bat aussi pour La Gaule, qui sous son apparence de rustre conquistador de proportion intimidante, a su se montrer humble et tendrement attentionnée.
Je déplore la quasi-absence du Bien-aimé, trop rarement croisé au fil des pages. Néanmoins, je place tous mes espoirs dans le volume suivant, impatiente de pouvoir jouir du plein bonheur de notre inestimable gland géant !
On retrouve avec plaisir le phrasé moyenâgeux qui à lui seul, assure la mise en ambiance. Toutefois rien de retenu dans le langage qui détaille avec moultes précisions des scènes au pouvoir érotique élevé, pour qui se complaît dans l'homoromance.
Ce tome est riche d'événements, de secrets, de découvertes, et j'ai vraiment hâte de lire la suite, qui s'annonce explosive à la lectures des derniers paragraphes !...
Moyen âge et érotisme, je suis preneur, peu importe le media. Lire la suite des aventures sensuelles du Page était donc l'évidence même.
Ce deuxième tome est meilleur, plus étoffé et propose une intrigue plus développée. Tout reste prétexte à des situations érotiques impliquant des mâles et c'est tant mieux. Comparé au premier, la part "hétéro" a été réduite. C'est délicieusement hot et inapproprié pour les prudes ou ceux qui veulent une pure romance.
Concernant le récit lui-même, c'est la suite directe et le protagoniste est Aloïs. Après avoir précédemment déverrouillé sa libido, il comprend ici qu'il aura bien du mal à fermer les vannes.
Dans le genre homoérotique, cette saga du Page est à part.
Résumé
Fils d'un vassal du Roi des Francs, Aloïs vient de se voir accorder par celui-ci la fonction de Gouverneur des Pages. Plus que jamais, le jeune homme se doit de préserver le secret de son attirance pour les membres du même sexe et celui de son amour pour le prince Jehan, surnommé Belle-Lance.
Un chaud printemps surgit alors, réveillant les corps engourdis par l'hiver et soufflant un vent de folie sur le château royal, balayant l'abstinence que s'imposait Aloïs.
Le roi Henri vient de revenir sur Paris avec de prestigieux invités, au nombre desquels la princesse promise à Jehan. La promiscuité au sein de la forteresse et de la cité surpeuplées exacerbe alors toutes sortes de passions à l'approche des noces du Prince.
Ce roman décrit sans fard des amours homosexuelles. Il ne convient pas aux âmes les plus sensibles.
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