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Conçus par les humains pour leur bon plaisir, les Automae ont renversé et asservi leurs créateurs lors de la guerre des Espèces qui a ravagé le royaume de Rabu. Ils se sont approprié les domaines de leurs anciens propriétaires et les contrôlent désormais d’une poigne de fer.
La jeune Ayla travaille au palais de ses tortionnaires. Elle y a rapidement gravi les échelons, mais elle ne rêve que d’une chose : venger sa famille en tuant la fille du souverain, Lady Crier. À présent au service de celle-ci, elle découvre contre toute attente qu’elle est douce et généreuse.
Lady Crier a été conçue pour être parfaite et reprendre l’œuvre de son père… mais c’était avant qu’elle soit fiancée à l’ambigu Kinok et qu’elle découvre que son père n’est pas aussi bienveillant qu’elle le pensait.
Alors qu’Ayla et Crier se rapprochent, le destin des humains et des Automae va être précipité dans un abîme de violence et de trahisons.
J'ai fait la découverte de ce roman quand sa sortie a été annoncée en poche, et quelle pépite.
J'ai adoré l'univers. Le world buidling est bien pensé, son introduction n'est pas trop longue, on est vite plongé dans l'intrigue et son déroulement. Les personnages sont si bien écrits.
On a le droit à deux points de vue, celui des deux protagonistes principales de l'histoire, et grâce à cela, on s'attache vraiment à elles. Chacune a ses propres combats, ses sentiments contre lesquelles elles luttent et ses réflexions torturées.
J'attends beaucoup du tome 2 (sortie poche également) autour de l'intrigue principale et je souhaite une happy end pour ces deux femmes que tout oppose ...
Nous sommes ici dans une science fiction, dont l'auteur possède une plume fluide et explicite, parfaite pour ce genre.
La science fiction, fait souvent parler avec son lexique compliqué ou avec de divers et nombreux pays et/ou personnages. Ce qui malheureusement amène parfois le lecteur à se perdre.
Autant vous dire, qu'ici, ce n'est pas le cas.
En plus d'être addictive, l'intrigue est claire.
Dans un monde humain où ces derniers ne pouvaient plus procréer, ils ont décider de concevoir des automaes. Ces êtres électroniques, possédant une conscience, ont permis à l'humanité de perdurer.
Toutefois, ils ont par la suite pris le pouvoir et ont en quelque sorte, assouvi les humains.
C'est dans ce contexte que notre histoire se déroule ici.
Nous allons suivre 2 protagonistes : Ayla (j'adore ce prénom), jeune humaine qui a payer les frais du pouvoir des automaes. Et lady Crier, princesse automae.
Leur histoire est différente mais pourtant similaire sur bien des points. Toutes deux curieuses et avides de justice, elles vont être amenées à se côtoyer pour essayer de faire de leur monde un monde meilleur.
Dans un contexte géopolitique important, où chaque erreur peut être cruciale, suivre cette épopée du pouvoir est totalement palpitant.
J'ai beaucoup aimé l'importance que la romance va prendre dans ce premier tome, et le fait que dans cette intrigue elle "casse les codes".
Vous vous rendrez comptes que la plupart du temps, les héros que le peuple adulent sont pour nous, des anti-héros.
Les questionnements de nos protagonistes vont soulever bien des problématiques et vont avoir des répercussions sur le royaume qu'ils connaissent mais aussi et malheureusement sur leurs proches.
J'ai aussi beaucoup apprécié la symbolique et l'histoire du collier d'Ayla. Les révélations faites dans le sang, sont parfois les meilleurs.
La fin est remplie de suspens et d'interrogations et j'ai hâte de pouvoir lire la suite !
Est-ce que je m'attendais à passer un bon moment avec ce roman ? Oui, mais peut-être pas autant ! En effet, c'est un véritable page-turner qui se dévore de bout en bout. L'intrigue, qui mêle habilement romance et rébellion, m'a passionnée malgré quelques facilités scénaristiques qui servent avant tout à maintenir le rythme.
Surtout, n'ayez pas peur du côté SF qui ne concerne finalement que la création et le fonctionnement des Automae ; la technologie n'est en rien complexe. A contrario, cela n'empêche pas le worldbuilding d'être fouillé et original, bien qu'il ne soit pas entièrement exploité dans ce premier tome.
Enfin, j'ai adoré la manière dont Nina Varela décrit les émotions de ses personnages ; elle a un style bien à elle qui nous permet de nous immerger dans leurs ressentis. Bref, une véritable réussite !
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Découvrez d'autres chroniques sur mon blog spécialisé en imaginaire : https://lesfantasydamanda.wordpress.com/
Plongez dans un univers captivant où les humains, autrefois maîtres, sont désormais les opprimés d’une société dirigée par les Automae, des humanoïdes qui ont pris le pouvoir. 🤖⚔️ Ce livre aborde des thématiques engagées, notamment le racisme et la politique, en nous plongeant dans une lutte pour la liberté et la vérité.
✨ L’un des gros points forts du roman est sans aucun doute son aspect politique. Les jeux de pouvoir, les complots et les manipulations sont omniprésents, rendant l’intrigue immersive et prenante. Cependant, j’ai trouvé que l’action mettait un peu de temps à s’installer, se manifestant surtout dans la seconde moitié du livre. Mais une fois lancée, difficile de décrocher !
💖 Côté romance, j’avoue avoir été un peu déstabilisée. N’étant pas habituée aux romances F/F, j’ai eu du mal à pleinement accrocher, et j’ai trouvé que leur relation manquait de développement. C’était un peu trop rapide à mon goût, loin du slow burn que j’aime habituellement. Cela dit, la dynamique entre Ayla et Crier reste intéressante, notamment dans la manière dont la haine et les doutes s’entremêlent avec des émotions plus profondes.
📖 En ce qui concerne l’intrigue, bien que passionnante, j’ai noté quelques facilités narratives et des éléments un peu prévisibles. Cela ne m’a pas empêchée d’apprécier l’histoire, mais j’aurais aimé être davantage surprise.
🔎 Malgré ces petits bémols, ce livre reste une lecture immersive, avec des thèmes forts et un univers fascinant. Si vous aimez les récits de rébellion, de luttes sociales et de politique complexe, ce roman pourrait vous plaire.
J'ai adoré ce livre. La cadence est bonne, on rentre dans l'histoire facilement, on sème des brins d'intrigue à bonne dose. L'histoire d'amour est bien amené, sans trop de fioritures, et c'est rafraichissant. Non franchement je n'ai rien à y redire, j'ai hâte d'attaquer le tome 2.
Dans la contrée de Zulla, le pouvoir est régi par les Automate, des automates créés par l’homme et qui ont fini par prendre le pouvoir, anéantissant leurs anciens maîtres en nombre et gardant le restant comme esclaves. Ayla est une humaine qui suite à une série de hasards se retrouve servante de Lady Crier, la fille du Roi. Une chance car Ayla ne rêve que d’une chose : tuer cette dernière pour venger la mort de toute sa famille. Mais elle se rend vite compte que Crier n’est pas comme ses congénères. Elle réfléchit différemment et par elle-même, elle s’interroge… et surtout les deux jeunes femmes sont intriguées l’une par l’autre et une certaine attirance contre nature survient…
J’ai lu le premier tome du Palais des Automae de Nina Varela, édité chez De Saxus en lecture commune sur instagram.
Je vais laisser les autres participantes se prononcer concernant leur ressenti sur cette lecture. Pour ma part, j’ai beaucoup aimé. Ce n’est pas la lecture de l’année, mais j’ai passé un bon moment.
J’ai beaucoup aimé les personnages, notamment Crier qui évolue énormément pendant le récit. Elle s’interroge énormément sur les humains et sa propre condition d’automae. Le fait d’être en contact avec Ayla la fait évoluer et souhaiter un plus juste partage du pouvoir. Le fait de s’attacher à Ayla va la pousser à faire des choses pour elle, même si c’est le plus souvent maladroit. Ayla par contre est une vraie bourrique qui est extrêmement têtue et ne se remet que peu en question. Elle est assez antipathique finalement, mais j’espère la voir évoluer positivement dans la suite et fin de la saga.
Quant à l’histoire, elle est très originale. Le pitch de départ est intriguant et bien mené, avec des rebondissements tout au long de l’histoire. Il est un peu difficile d’appréhender l’univers au départ, mais au final on s’y fait vite. La plume est simple et aide à la compréhension de l’histoire.
Bref, en conclusion, c’est un roman sans prétention, qui se lit bien et vite. J’ai passé un bon moment et la fin donne envie d’enchaîner sur le tome 2.
J'ai eu du mal à m'immerger dans l'histoire, la première partie du livre n'ayant pas beaucoup d'action de mon point de vue. Le livre s'est rattrapé dans la deuxième partie, où l'intrigue était plus présente, et où on voyait un développement plus prononcé des personnages
Une très bonne lecture qui donne à réfléchir sur des sujets d'actualités comme le racisme et la recherche de soi-même (sa sexualité, ses opinions politiques ect...).
J'ai beaucoup aimé le personnage de Crier qui ne se laisse pas influencer par le monde dans lequel elle vit (du moins elle essaye).
"Le Palais des Automae" nous plonge dans une fantasy où les humanoïdes détiennent le pouvoir. Le worldbuilding et l'histoire se dévoilent au fil du roman, avec des transitions bien pensées, bien que j'aurais souhaité en savoir plus sur certains aspects. Malgré cela, il y a suffisamment d'éléments pour s'immerger dans l'univers et comprendre ses mécanismes.
Le récit met en avant deux personnages clés : une femme assoiffée de vengeance et une humanoïde rêveuse d'un monde nouveau. Leur dynamique, marquée par des caractères et motivations opposés, crée une complicité surprenante. Leurs visions et intentions divergentes, ainsi que les événements passés, sont susceptibles de modifier profondément leur relation et l'avenir du monde qu'elles habitent.
En somme, le roman propose une exploration originale de la fantasy, avec des personnages forts et une intrigue qui évolue de manière captivante, laissant le lecteur impatient de découvrir la suite.
Résumé
Conçus par les humains pour leur bon plaisir, les Automae ont renversé et asservi leurs créateurs lors de la guerre des Espèces qui a ravagé le royaume de Rabu. Ils se sont approprié les domaines de leurs anciens propriétaires et les contrôlent désormais d’une poigne de fer.
La jeune Ayla travaille au palais de ses tortionnaires. Elle y a rapidement gravi les échelons, mais elle ne rêve que d’une chose : venger sa famille en tuant la fille du souverain, Lady Crier. À présent au service de celle-ci, elle découvre contre toute attente qu’elle est douce et généreuse.
Lady Crier a été conçue pour être parfaite et reprendre l’œuvre de son père… mais c’était avant qu’elle soit fiancée à l’ambigu Kinok et qu’elle découvre que son père n’est pas aussi bienveillant qu’elle le pensait.
Alors qu’Ayla et Crier se rapprochent, le destin des humains et des Automae va être précipité dans un abîme de violence et de trahisons.
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