Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Les messieurs ont de fières moustaches, des chapeaux melons ; les dames portent des corsets, des jupons, des bottines à boutons. Déjà, de rutilants tacots pétaradent parmi les fiacres le long des Grands Boulevards aux immeubles haussmanniens. Mais ce n’est pas le Paris de la Belle Époque tel que nous l’entendons : la tour Eiffel est en bois blanc, les sirènes ont investi la Seine, les farfadets, le bois de Vincennes, des chats-ailés discutent philosophie et une ligne de métro permet de rejoindre le pays des fées.
Occupé à enquêter sur un trafic d’objets enchantés, Louis Denizart Hippolyte Griffont, mage du Cercle Cyan, se retrouve mêlé à une série de meurtres. Confronté à des gargouilles immortelles et à un puissant sorcier, Griffont n’a d’autre choix que de s’associer à Isabel de Saint-Gil, une fée renégate que le mage ne connaît que trop bien...
Où l’on plante le décor d’un Paris qui n’exista jamais tout à fait.
Les contes d’autrefois, ainsi que les fabuleuses créatures qui les inspirèrent, ont une patrie. Cette patrie se nomme l’OutreMonde. Ne la cherchez pas sur une carte, même millénaire. L’OutreMonde n’est ni un pays, ni une île, ni un continent. L’OutreMonde est… un monde, ma foi. Là vivent les fées et les licornes, les ogres et les dragons. Là prospèrent des cités et des royaumes que nous croyons légendaires. Et tout cela, au fil d’un temps qui s’écoule autrement.
Cet univers voisine avec le nôtre. Jadis, ils étaient si proches qu’ils se frôlaient parfois. Alors naissaient des passages fugitifs, des chemins de traverse déguisés, des ponts incertains jetés sur l’abîme qui, d’ordinaire infranchissable, sépare les mondes. Tel promeneur pouvait ainsi rencontrer, au détour d’un sentier perdu, une reine attristée caressant un grand cerf blanc dont une flèche perçait le flanc ; tel berger explorait une ravine et découvrait au-delà une vallée que la vengeance d’un sorcier condamnait à un hiver éternel ; tel chevalier solitaire passait, en quête de gloire, le rideau étincelant d’une cascade vers des régions inconnues où attendait l’aventure. Combien firent semblables expériences ? Combien de poètes et ménestrels contèrent ces voyages ? Assez pour être entendus, sans doute. Trop peu pour être crus. À l’époque déjà, les esprits sages niaient l’existence de l’OutreMonde et de ses prodiges. Et les mêmes, aujourd’hui, continuent doctement à vouloir peindre nos rêves en gris…
Mais oublions les fâcheux et revenons à l’OutreMonde. Il existe bel et bien, et manqua de peu changer l’Histoire. Car que serait-il advenu si, au lieu de s’éloigner à jamais, ce monde et sa magie s’étaient au contraire approchés ? Que se serait-il passé si l’OutreMonde, à la faveur d’une conjonction astrale propice, ou d’un caprice du destin, avait librement étendu son influence sur Terre pour l’imprégner de merveilles que le temps écoulé nous aurait bientôt rendues familières ?
Avec votre permission, admettons qu’il en fût ainsi et transportons-nous au début du XXe siècle, en France. Plus précisément, considérons notre capitale. Que voyons-nous ? Nous reconnaissons d’abord un Paris pittoresque et vieillot, celui de la Belle Époque. C’est donc le Paris des Grands Boulevards et des immeubles haussmanniens, des rues pavées et des réverbères à gaz, des quartiers populaires où rien ne semble avoir changé depuis Vidocq. Mais c’est aussi le Paris des premières automobiles, de l’Art nouveau triomphant, de la fée Électricité qui pointe le bout de son nez. Sur les murs s’étalent des réclames peintes : elles vantent en lettres immenses les biscuits Lefèvre-Utile, les pneumatiques Michelin et le Cachou Lajaunie. Les messieurs ont de fières moustaches, des chapeaux melons, des canotiers ; les dames ont des corsets, des jupes et des jupons, des bottines à boutons. Déjà, de rutilants tacots pétaradent parmi les fiacres, les omnibus à impériale, les tramways attelés, les charrettes à bras, les cyclistes et les piétons intrépides. Dans les gares crachent, toussent et ronflent d’énormes locomotives à vapeur dont les sifflets, avant le départ, résonnent sous les toitures immenses. Du haut de ses vingt ans, la tour de M. Eiffel regarde une basilique pâtissière pousser au sommet de Montmartre. Çà et là fleurissent des marquises en verre et fonte verte – elles protègent les accès d’un chemin de fer métropolitain qui continue de s’étendre sous terre depuis l’Exposition universelle qui inaugura tant le siècle qu’une nouvelle ère.
Voilà pour Paris, en deux mots, tel qu’il fut. À présent, imaginez…
Imaginez des nuées d’oiseaux multicolores nichées parmi les gargouilles de Notre-Dame ; imaginez que, sur les Champs-Élysées, le feuillage des arbres diffuse à la nuit une douce lumière mordorée ; imaginez des sirènes dans la Seine ; imaginez une ondine pour chaque fontaine, une dryade pour chaque square ; imaginez des saules rieurs qui s’esclaffent ; imaginez des chats ailés, un rien pédants, discutant philosophie ; imaginez le bois de Vincennes peuplé de farfadets sous les dolmens ; imaginez, au comptoir des bistrots, des gnomes en bras de chemise, la casquette de guingois et le mégot sur l’oreille ; imaginez la tour Eiffel bâtie dans un bois blanc qui chante à la lune ; imaginez de minuscules dragons bigarrés chassant les « au ras des pelouses du Luxembourg et happant au vol les cristaux de soufre que leur jettent les enfants ; imaginez des chênes centenaires, et sages, et bavards ; imaginez une licorne dans le parc des Buttes-Chaumont ; imaginez la Reine des Fées allant à l’opéra dans une Rolls-Royce Silver Ghost ; imaginez encore de sombres complots, quelques savants fous, deux ou trois sorciers maléfiques et des clubs privés de gentlemen magiciens.
Imaginez tout cela, et vous aurez une (petite) idée du Paris des Merveilles… »
Une série fantastique et un auteur. Comment ai-je pu passer à côté de ces romans ces dernières années ?
Pierre Pevel, nous entraîne dans le Paris de 1910 aux côtés de deux personnages principaux, Louis Griffon et Isabel de Saint-Gil : tous deux aventuriers friands de mystères, d’enquêtes et de danger.
Mais dans ce Paris-là, on peut côtoyer sans trouver cela bizarre, des fées, des gnomes, des sirènes, un chat ailé qui parle, un arbre qui fume la pipe… D’ailleurs, Louis n’est autre qu’un célèbre mage et Isabel, une fée.
Tous deux vont allier leurs forces et leurs pouvoirs pour contrecarrer les agissements d’habiles escrocs, résoudre des meurtres, bref se mettre dans les ennuis !
Dans une construction tout à fait cohérente où l’intrigue est fluide, la plume de l’auteur, non dénuée d’humour, nous entraîne dans bien des aventures sans jamais que l’on ne s’ennuie, voire même on en redemande.
Pierre Pevel ne serait-il pas finalement un mage venu d’un monde parallèle pour nous émerveiller et nous rendre heureux…
Les descriptions des paysages, des actions, des personnages sont fouillées mais ne nuisent jamais au déroulement de l'histoire. L'écriture est excellente. Les personnages principaux sont attachants avec une pointe d'humour qui les rend très contemporains. Les rencontres avec des personnages ou des situations du début du XXème siècle sont mêlées à ceux de "fiction" : enchanteresses, fées, dragons, elfes et autres et rendent le récit intéressant et dépaysant. J'ai passé un moment extrêmement agréable.
J'avoue qu'au début j'ai eu du mal. Déjà parce que c'est une époque particulière et ma lecture d'avant était totalement différentes, il a fallu que je m'adapte. Pour le premier et le deuxième tome j'ai mit du temps à rentrer dans l'histoire mais après quelques chapitres j'étais dans ma lancée. Dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé cet intégrale. Les histoires sont pleines de rebondissements et le lecteur ne s'attend pas à ce qui se passe. L'histoire n'était pas prévisible (bon pas entièrement, c'était certains détails qui l'était mais sur l'histoire en elle-même j'étais souvent surprise). J'ai énormément aimé les personnages, le caractère de la baronne et du mage ainsi que des autres personnages sont rafraichissants. Je trouve Isabel et Louis absolument adorable ! Je suis triste de les quitter, j'ai passer de bon moment avec eux. J'avais un peu peur de me lasser en lisant cet intégrale mais ce n'a pas été le cas, c'était même le contraire. J'étais très intriguée par l'intrigue et son déroulement. Je sais pas pourquoi mais j'adore le prénom Azincourt pour un chat-ailé, je trouve cela très mignon (oui c'est pertinent et fallait que je le mette dans ma critique). En bref, j'ai adoré cet intégral. L'histoire et les personnages sont originaux et rafraichissant. On ne sait jamais où cela va nous amener et c'est cela qui donne autant envie de poursuivre l'histoire. Les chapitres longs sont découpés par des astérix (ce que je remercie particulièrement parce que cela permet de respirer). On a le point de presque tous les personnages ce qui permet de voir l'enquête/l'intrigue dans l'ensemble. Bref, j'ai beaucoup aimé cet intégral et je le conseil vivement si vous aimez les personnages haut en couleur et une bonne intrigue !
P.S. : un petit mot a la personne qui a lu ce livre avant moi et qui s'est énervée contre l'auteur et ces personnages, tes commentaires m'ont fait beaucoup rire même si je les trouvais un petit peu excessif.
Comment abandonner cette saga qui me plaît tant ? Que j'aime tant ? Qui m'a tant fait rire ? Qui m'a parfois fait mal au cœur ?
Comment dire qu'après 3 tomes, c'est fini ?
🦦🦦🦦
N'est-ce pas assez clair ? JE SUIS TRISTE d'avoir finir cette saga. Je l'aime énormément
J'ai été transcendée par le tome 1. Éblouie par me 2e et détruite par le 3e
🦦🦦🦦
Griffont, je suis obligée de te dire adieu. Merci pour ta jeunesse incarnée, ta fraîcheur légendaire, ton humour et ton intelligence au sommet. Tu m'auras bien fait rire. Entre la marelle en attendant un gros rdv ou encore les compétences de mage, je ne sais ce qui m'a le plus plu🤩
Azincourt, toi et ton espèce mettent bien chère. Un chat qui retient ce qui est écrit quand.. il dort dessus si un jour tu te décides à divulguer ta compétence. Pense à moi ! 🤟
Ma chère Isabel, restez comme vous êtes. Intenable mais adorable. Vous maniez le sarcasme et l'humour à la perfection. Vos talents de voleuse m'ont fait faire des gros yeux lors du tome 1. Gardez un œil sur Griffont, mais pas besoin de vous le dire. Votre relation fait que vous le savez. Je vous aime tous les deux 🖤
🦦🦦🦦
Mr Pevel.
Merci pour cette beauté, ce chef d'œuvre de la littérature. Merci pour ces pages qui ont défilé à une allure folle. Merci d'avoir été aux bouts de vos idées et d'avoir créer cette masterpiece !
🦦🦦🦦
Vous le ressentez ?
Cet amour que j'ai
Pour cette beauté
De la litté
Alors, faites vous plaisir
De ces livres
Il est grand temps de vous munir
Ils vous feront sourire
🦦🦦🦦
Ma saga de tous les temps, une des seules où je veux quasi toutes les éditions disponibles
Cette saga que je relirais, bien que je ne le fais jamais
Cette saga quebje ne voulais pas quitter et où j'aurais voulu y habiter
Dans cette trilogie, nous plongeons au cœur d'un Paris ou les fées et autres créatures surnaturelle côtoient le commun des mortels. Longtemps dissimulé, l'Outremonde fait maintenant partie intégrante de la ville.
Nous rencontrons Louis Griffont un mage du cercle cyan qui a la fâcheuse tendance à se retrouver impliquer dans des imbroglios et situations périlleuses chaque fois qu'il met un pied hors de sa maison. Il est assez solitaire, même s'il a beaucoup d'ami et qu'il partage sa demeure avec Azincourt, un chat ailé, plutôt susceptible et à la curiosité débordante.
De retour en ville, Isabelle de Saint-Gil enchanteresse , espionne, aventurière et cambrioleuse au tempérament de feu, se retrouve toujours impliquées d'une manière ou d'une autre dans les enquêtes de Griffont. Elle est toujours accompagnée par ses fidèles acolytes, Lucien un gnome et Auguste un colosse qui l'emmènent partout dans une superbe voiture.
Dans cet univers incroyable, il y a aussi la création d'une brigade spéciale du surnaturel qui croisera souvent la route de nos héros.
Cette histoire m'a conquise! Vraiment le premier tome j'étais un peu sceptique et l'auteur a su, sans que je m'en rende compte, me faire m'attacher aux personnages. Il a une plume superbe avec un côté assez classique mais moderne à la fois! Je voulais en découvrir plus sur cet univers des plus fascinant. J'ai été triste d'en arrivé à la fin... Mais heureusement j'ai acheté un recueil de nouvelles qui se passe dans le même monde. J'ai vraiment hâte d'y replonger.
Sinon je voulais aussi vous parler de l'objet, car ce livre est d'une beauté et les illustrations sont vraiment superbes, j'aurais adoré en avoir plus encore.
Spoiler(cliquez pour révéler)1 - Les Enchantements d'Ambremer
Dans le Paris du début du XXème siècle, Louis Griffont, est amené à enquêter sur un trafic d'objets magiques. Mais l'affaire est plus compliquée qu'il n'y paraît et il se retrouve impliqué dans plusieurs meurtres étranges.
Il n'aura d'autre choix que de s'allié à Isabelle de Saint-Gil, une fée renégate de retour à Paris depuis peu et qui ne peut s'empêcher d'atterrir dans les affaires les plus louches. Ensemble, ils déjoueront des complots et malgré leur lourd passé, ils forment une équipe du tonnerre.
Un premier tome assez lent qui met en place l'univers. Les personnage et l'intrigue se dévoilent au moment opportun. À chaque fois que je commençais à ne plus comprendre, être perdue ou trouver longuet... l'auteur me remet dans le bain. J'était un peu mi-figue mi-raisin et finalement je suis arrivée à la fin sans m'en rendre compte.
Magicis in mobile (Nouvelle)
Paris 1910, la Seine est en crue, la ville sous l'eau... lorsqu'un submersible, semblable à celui décrit par Jules Verne, fait irruption dans la cité... étrangement ceci à l'air d'être lié au cinémagicien, Méliès, et c'est évidemment Griffont et la baronne qui essaieront de solutionner le problème.
Une nouvelle qui m'a vraiment embarquée et que j'ai adorée!
2- L'Élixir d'Oubli
Louis Griffont vient au secours du peuple Minimet et sera mandaté pour enquêter sur l'empoisonnement d'une de leur citoyenne. Son enquête le conduira sur les traces d'un complot plus vaste. Le voilà à nouveau accompagné de la baronne Isabelle de Saint-Gil impliqué dans un imbroglio entre Ambremer et Paris.
Nous découvrons aussi, entrecoupant le récit, le passé de nos héros. Leur rencontre, comment ils ont empêché le vol d'un secret de l'Outremonde.
Mais cette histoire datant d'il y a deux siècle semble avoir un lien avec la mission de la baronne en 1909. Arriveront-ils à terminer une guerre qui n'a que trop durer entre les dragons et les fée?
J'ai aimé en apprendre plus sur le passé et la création des cercles. La rencontre entre la baronne et Griffont est vraiment sympa à lire. Découvrir comment l'Outremonde s'est dévoilé après une grande guerre contre les dragons m'a captivée! J'ai aussi adoré l'intégration de personnages historiques ou issus de la culture, tel Merlin, Cartouche, Arsène Lupin ou encore Lord Dunsany. C'est honnêtement mon tome préféré.
3- Le Royaume Immobile
Les élections pour le parlement des Fées sont proches. Griffont se voit proposé d'être le représentant du cercle cyan. Cependant, Troisville, son ancien apprenti, lui demande d'être son témoin dans un duel contre un mage des incarnats. Bien qu'il fasse tout pour protégé son ami, des risques d'un combat illégal, les choses tournent mal et font grimper les tensions entre les différents cercles alors qu'elle est déjà à son comble.Une fois encore, il s'unira à la baronne pour mener l'enquête sur les troubles qui surviennent.
Un dernier tome vraiment captivant! Les intrigues sont toujours aussi bien menées. J'ai été triste d'arriver au terme de cette trilogie et de quitter son univers et ses personnages
À travers les 3 enquêtes qui composent cette intégrale, Pierre Pevel nous transporte au cœur du Paris de la Belle Époque, mais la capitale n'y est pas comme dans les livres d'Histoire puisque le commun des mortels y cohabite avec des mages et des créatures légendaires issues de l'OutreMonde.
L'univers est clairement le point fort de cette intégrale, dont les différentes histoires peuvent paraître légèrement inégales bien que similaires. Il faut dire en même temps qu'elles reprennent les mêmes codes et les mêmes personnages, ce qui n'a pas été pour me déplaire vu le gros coup de cœur que j'ai eu pour les protagonistes.
J'ai adoré la plume de l'auteur, bien que les passages où il s'adresse au lecteur m'ont légèrement fait décrocher
Lecture du tome 2, dans la lignée du tome 1. J'ai beaucoup aimé l'intrigue avec ses flashbacks qui, au départ, m'ont un peu déroutée (je me demandais où l'auteur voulait en venir) mais qui par la suite éclaire toute l'histoire ! Ces flashbacks ont permis aussi d'en découvrir plus sur Griffont et Aurélia, ce que j'ai beaucoup apprécié (c'est ce que j'attendais en lisant le tome 1).
Bon le seul truc c'est qu'il y a de plus en plus en de personnages et je commence à m'y perdre ^^ Heureusement que Pevel reprend plusieurs fois qui est qui et nous éclaire plein de fois pendant l'avancé du roman ^^
Résumé
Cet ouvrage comporte les titres suivants :
Les Enchantements d’Ambremer
L’Élixir d’Oubli
Le Royaume Immobile
Paris, début du XXe siècle.
Les messieurs ont de fières moustaches, des chapeaux melons ; les dames portent des corsets, des jupons, des bottines à boutons. Déjà, de rutilants tacots pétaradent parmi les fiacres le long des Grands Boulevards aux immeubles haussmanniens. Mais ce n’est pas le Paris de la Belle Époque tel que nous l’entendons : la tour Eiffel est en bois blanc, les sirènes ont investi la Seine, les farfadets, le bois de Vincennes, des chats-ailés discutent philosophie et une ligne de métro permet de rejoindre le pays des fées.
Occupé à enquêter sur un trafic d’objets enchantés, Louis Denizart Hippolyte Griffont, mage du Cercle Cyan, se retrouve mêlé à une série de meurtres. Confronté à des gargouilles immortelles et à un puissant sorcier, Griffont n’a d’autre choix que de s’associer à Isabel de Saint-Gil, une fée renégate que le mage ne connaît que trop bien...
Bienvenue dans le Paris des Merveilles.
Afficher en entier