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Dans un Paris de la Belle Époque où se côtoient gnomes, dryades, chats-ailés et arbres enchantés, Louis Denizart Hippolyte Griffont, membre
reconnu d’un club de gentlemen magiciens, est sur une nouvelle affaire de meurtre. La victime est un antiquaire apparemment sans histoires, mais l’enquête du mage le conduit à un nom que beaucoup redoutent : Giacomo Nero. Cet ambitieux mage noir pourrait bien être mêlé à une intrigue trouvant ses origines à l’époque de la Régence. En ce temps-là, Griffont était le chevalier de Castelgriffe. Érudit désinvolte et mage libertin, il s’apprêtait à affronter une société secrète et, ce faisant, collaborait pour la première fois avec une certaine baronne de Saint-Gil. Cependant, révéler aujourd’hui les secrets du siècle passé pourrait bien éveiller un confit s’étendant jusqu’à l’OutreMonde…
« – Savez-vous que le commissaire Farroux a eu le culot de me reprocher d’avoir tiré les vers du nez à cette crapule de Brochard ? Il appelle ça des aveux extorqués sous la contrainte !
Encore un bon tome qui nous embarque dans son Paris fantastique et dans ses mystères. On s'attache à Louis et Isabel, et c'est un plaisir de les suivre dans leurs aventures et de découvrir leur passé. L'enquête est prenante, et on veut en savoir le fin mot.
Quel plaisir de retourner dans ce Paris magique. Comme lors de la lecture du premier tome, je regrette que ce monde n'existe pas réellement... (et si nous pouvions juste dormir sur les livres pour les lire!)
J'ai également apprécié de découvrir le passé d'Isabel et de Grifont.
Ravie de retrouver l'ambiance de ce Paris merveilleux, malgré quelques "difficultés" dans ma lecture. En effet, si j'aime énormément nos deux protagonistes ainsi que leur relation, et cet univers, je n'ai pas ressenti les mêmes émotions que j'ai pu avoir dans le premier tome.
Des difficultés à entrer véritablement dans l'histoire, et à m'y retrouver avec les personnages présents, les différentes époques et les nombreux flashbacks que l'auteur nous délivre. De plus, la présence de cette "chronique" a rendu ma lecture encore plus confuse…
J'ai su apprécier certains moments de l'histoire, mais j'espère que le prochain tome saura me ravir davantage.
J’ai beaucoup aimé cette suite, toujours aussi addictive que le premier tome avec une enquête paraissant simple au début mais au final on se rend compte petit à petit que c’est plus complexe que l’on croit.
J’ai apprécié qu’on ait des flashbacks à plusieurs reprises avec une enquête parallèle et la rencontre entre Louis et Aurélia.
Je suis toujours aussi émerveillée par le Paris merveilleux que l’auteur a créé, les descriptions des lieux, des personnages rendent la lecture encore plus prenante et ça donne envie de voir ce que ça pourrait donner à l’écran.
Je vais lire le dernier tome assez rapidement afin de terminer cette trilogie.
🤪🎺🇫🇷 Il est 5h, Paris s'éveille, il est 5h, je n'ai pas sommeil 🇫🇷🎺🤪
Retour dans Le Paris des Merveilles, le fameux Paris mieux que le nôtre, et c'est pas dur 🤣
La Belle Époque est devenue ma 2ème époque préférée en littérature en si peu de temps, c'est beau 😜
Elle détrône pas encore le Londres Victorien parce que bon, faut pas déconner, mais franchement, la 2ème place est assurée 👌
Le prologue commence en 1720 avec la reine Méliane qui se la donne à Ambremer et BOUM retour en 1909, chez notre cher Louis Denizart Hippolyte Griffont, qui apparemment kiffe de ouf les noms à rallonge (sûrement un pote de Xavier Dupont de Ligonnès) 😁
L'histoire sera suspendue par 2 fois par des flash-backs en 1720, car dans cette nouvelle enquête, passé et présent se donne la main et joue à la marelle 🤪
Un nouveau mystère à résoudre donc, pour Griffont et Isabel, qui vont prendre bien cher dans ce tome 😂
Leurs échanges me font toujours autant marrer, c'est un pur délice à lire 🤣 Ils passent leur temps à se balancer des skuds à la tronche, c'est beau l'amour 💜
Isabel, comme d'habitude, fait des trucs pas clairs, oublie de partager des choses sacrément importantes et se fourre dans des situations pas possibles, le tout avec le plus charmant des sourires 😬
On retrouve donc mages, elfes, fées, enchanteresses, minimets, gnomes, ogres et dragons (nombreux les dragons) 😁
Enlèvements, fusillades, courses poursuites, complots, magie noire, on ne s'ennuie pas une seconde !
Une des choses que j'aime le plus dans cette saga, c'est le style soutenu de la narration 🥰 On est clairement transporté(e)s direct à l'époque où l'histoire se déroule et c'est vraiment un petit bonbon à lire 🍬
Ça nous change des "wesh ma gueule bien ou bien ?" ça c'est sûr 😜
Bien que j'ai préféré un tantinet le premier tome, j'ai adoré celui-ci aussi. Pour l'instant, la trilogie du Paris des merveilles offre deux intrigues qui se suivent dans la continuité du récit sans être apparentés d'aucune sorte. On peut aimer et ne pas aimer des séries aux tomes épisodiques, c'est-à-dire aux récits presque indépendants des uns et des autres, mais il n'en demeure pas moins que c'est amusant et sans complication que de suivre agréablement une histoire dont la conclusion se termine avec le livre.
Dans le tome 2, Griffont et Isabel ne font pas face aux mêmes ennemis que dans le premier. Au précédent, on nous mentionne un peu la guerre qu'il y a eu entre les fées et les dragons et sa tournure : la victoire des fées. Le tome 2, L'élixir d'oubli, nous présente plus les répercussions de cette guerre et le désir de certains dragons de se venger. On suit deux trames : la première est dans le présent et suit les traces d'un mage maléfique et la seconde trame nous présente les personnages que nous connaissons au 18ième siècle, à l'époque où les dragons ont perdu contre les fées. C'est vraiment cool de suivre les personnages, de voir leur passé et, en même temps, de continuer avec leur présente histoire. On voit même Isabel et Griffont se rencontrer. C'est très adorable et si drôle.
J'ai adoré la fin ! Elle est trépidante et ça ne se calme presque seulement à la dernière page !
Vraiment, je trouve original cette guerre entre fées et dragons. Chose que je n'ai jamais vu. J'aime aussi voir des illustres personnages intégrés au récit comme Méliès et Merlin. La seule chose que je déplore un peu est de n'avoir peu vu les chats ailés que j'adore dans ce tome. Mais ce n'est qu'un détail !
Quel plaisir de retrouver Louis Griffont et la Baronne de Saint Gil dans une nouvelle aventure, pleine de rebondissements, de suspense, de disputes de couple, d'amour et d'humour.
Cette histoire, contrairement à la première, a eu le mérite de toucher personnellement nos héros. Et pour cause ! L'auteur nous raconte leur rencontre. Deux histoires, entre un passé où Ambremer n'était pas encore connue des humains, et la Belle Époque. Pierre Pevel, de son écriture si raffinée et "apostrophante", conte avec brio ces récits s'entremêlant merveilleusement. J'ai été prise d'émerveillement tant l'univers a été creusé ; la fameuse guerre des fées et des dragons remise sur le tapis, un nouveau monde aussi sinistre que l'Onirie à dévoilé ses atours, et bien sûr, un événement choquant m'a fait douter de la suite de l'histoire.
En sommes, c'était un voyage en spyker indigo où Aurélia était au volant ! Autant dire, que ça a secoué !
Dans ce Tome 2 , nous retrouvons Notre mage Dandy Griffont et sa superbe Partenaire de choc La Baronne se St Gill !
Et Whaou ! Qu’elle femme !
Nos deux héros vont cette fois ci affronter un mystérieux mage noir , qui ne leurs est pas tout à fait inconnu …
Car oui , dans ce tome ci , nous allons faire des flash Back jusqu’en 1700 , à l’époque où l’ont combattait le crime avec cape et épée !
Où le justicier masqué ,Le lys pourpre , faisait loi et où notre Mage était encore au service d’Ambremer , cette dernière n’ayant pas été encore révélé au monde …
Vous l’aurez compris , cette aventure fut épique ! Des rebondissements à ne plus finir , une enquête des plus mystérieuses , des révélations en veux tu ? En voilà ! Et toujours cette écriture fluide et amical , quand le narrateur nous interpelle à la façon d’un conteur , levant les yeux du livre pour vérifiez que l’ont suit toujours l’histoire , et Grand Dieu ! Quelle Histoire !
J’ai adoré ma lecture ! Même étant malade comme un chien , un mauvais sort sans doute … j’ai dévorer la moitié du livre en une après midi ! Je suis ravie d’avoir sortit de ma PAL cette trilogie , et je tiens à dire que je suis fan de @PierrePevel dont je regarderai les œuvres de plus près … mais avant ça , direction le Tome 3 !
Je te présentais il y a quelques semaines le 1er tome de cette saga. Même s’il s’est passé beaucoup de temps entre la lecture de ces 2 tomes, je dois dire que les personnages me sont revenus assez facilement en mémoire.
Le genre continue de me sortir de ma zone de confort, ce que je trouve plutôt plaisant et je passe toujours un bon moment.
J’ai donc retrouvé, entre autre, Louis Denizart Hyppolite Griffond, mage du cercle Cyan et la baronne Isabel de Saint Gil, enchanteresse, pour une nouvelle enquête au coeur du Paris de la Belle Epoque.
J’ai pu découvrir un peu plus nos protagonistes, leurs histoires, leur rencontre, la création des cercles de mages…
Encore une fois j’ai beaucoup aimé les références au Paris de l’époque et me suis sentie totalement immergée dans cet univers où s’entrecroisent réalité historique et monde enchanté.
J’espère ne pas mettre une année supplémentaire pour lire le dernier tome de cette trilogie.
Résumé
Paris, début du xxe siècle.
Dans un Paris de la Belle Époque où se côtoient gnomes, dryades, chats-ailés et arbres enchantés, Louis Denizart Hippolyte Griffont, membre reconnu d’un club de gentlemen magiciens, est sur une nouvelle affaire de meurtre. La victime est un antiquaire apparemment sans histoires, mais l’enquête du mage le conduit à un nom que beaucoup redoutent : Giacomo Nero. Cet ambitieux mage noir pourrait bien être mêlé à une intrigue trouvant ses origines à l’époque de la Régence. En ce temps-là, Griffont était le chevalier de Castelgriffe. Érudit désinvolte et mage libertin, il s’apprêtait à affronter une société secrète et, ce faisant, collaborait pour la première fois avec une certaine baronne de Saint-Gil. Cependant, révéler aujourd’hui les secrets du siècle passé pourrait bien éveiller un confit s’étendant jusqu’à l’OutreMonde…
Bienvenue dans le Paris des Merveilles.
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