Le Petit Sauvage

narration distrayante

''Un jour, je m'aperçus avec effroi que j’étais devenu une grande personne, un empaillé de tente-huit ans'''. Ainsi débute, à cause des cris d'un perroquet, l'éveil d'Alexandre Eiffel qui le ramènera sur les chemins de son enfance et de sa quête du temps perdu. Se laissant guider par le Petit Sauvage, son 'moi' enfant, il quittera femme, travail et maison à Paris pour poursuivre et retrouver l'enfant qu'il a été et qui est désormais endormi au fond de lui.

Évidemment le thème principal du récit porte sur la perte du temps passé et la difficulté à oublier l'insouciance et le bonheur du temps passé. Malgré un début prometteur et une certaine poésie, l'histoire s’essouffle rapidement et devient de plus en plus prévisible à mesure qu'Alexandre abandonne toute notion de responsabilité pour se consacrer uniquement aux désirs de cet enfant intérieur. Bien que touchant à certains égards, le roman n'a pas su m'apporter tout l'émerveillement et la nostalgie de l'enfance perdu.

Si je devais emmener un livre sur une île déserte, ce serait celui-là.

Alexandre a un réveil soudain, suite à une parole tout bête, le petit sauvage, tu es un fou.

Celle que le perroquet disait tout le temps et qu'il retrouve. Et sa grand-mère aussi, remisée dans une maison de repos. Lui aussi a remisé son enfance avec sa grand-mère.

Il ressort tout, passe un petit coup d'aspirateur pour retirer la poussière et retombe en enfance. Il décide de revivre cette vie insouciante, heureuse, où il s'émerveillait de tout.

Oui, mais... Peut-on tout recommencer à 38 ans ?

Ce livre est une ode à l'enfant qui reste en nous et à nos souvenirs. Ne perdons pas cette étincelle de l'enfant qui reste en nous. Même quand nous sommes âgés. Nous pouvons toujours être de grands enfants.

J'ai bien aimé ce roman, voir cet adulte essayer de redevenir enfant... Une belle surprise.

Vers un roman touchant, avec une écriture originale. Changer la forme et le mode dénonciation nous permet de mieux nous insérer dans la tête d'Alexandre. Un homme qui veut "redevenir" un enfant, un Peter Pan moderne. Même si parfois Alexandre peut être vraiment têtu et ça peut agacer un peu.

Je sors de cette lecture, mitigé ... La première partie du roman est vraiment très bien faite, on est pris d'affection pour Alexandre et sa crise de la quarantaine. Mais dès la deuxième partie, tous dérape. J'ai perdu le fil, l'histoire prend des dimension extravagante et à mon gout perd tout intérêt. Malgré tous la moral et la fin de cette histoire sont très bonne et c'est ce que j'ai envie de garder de ce roman.

Ce livre m'a fait découvrir Alexandre Jardin. Un vrai coup de foudre pour cet auteur et pour cette très jolie histoire.

Je devais lire ce livre pour un travail à l'école. Je n'ai pas apprécier. Il y a quand même une très belle morale.

j'ai lu ce livre il y a plusieurs années et j'avais adoré! surtout la typographie de fin de livre! je trouve que c'est très bien pensé! cette lecture qui nous mène vers les pages sombres, vers la mort....

Je l'ai lu il y a longtemps, à sa sortie je crois. Ce qui m'avait attiré, c'est le chagement de typographie et les dessins qui arrivaient dans la deuxième partie du livre. Ca m'avait plu et j'avais bien accroché. Mais pas sûr que ça me plaise toujours si je le relisais. Trop naïf je pense. Un peu gnan gnan sûrement.