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Lors du tremblement de terre de 1923, les Japonais profitent de la confusion pour exterminer les ressortissants coréens. Enfant illégitime, Yonhi n'a que douze ans à cette époque et se voit confiée à un prêtre, à l'abri de la tourmente. Sa mère ne reviendra jamais, pas plus que son oncle, et la petite devra désormais porter un nom japonais, Mariko. Coupée de son histoire familiale, l'ayant toute sa vie cachée à son propre fils, à ses petits-enfants et même à son défunt mari, elle en élucide un élément fondamental, l'identité de son père, en rencontrant une dame qui traduit pour elle le journal laissé par sa mère.
J'ai particulièrement aimé la lecture de ce troisième livre. L'histoire de Mariko est très touchante et poignante, elle doit vivre dans le secret et ne peut partager ce poids avec sa propre famille. Son histoire témoigne de ce qu'on vécu les coréens suite à la colonisation par les japonais.
Wow! Quel revirement de situation. J'ai adoré le livre qui en passant se finit très bien en une seule lecture. Pas besoin non plus d'avoir lu les deux premiers tomes pour apprécier l'histoire. Je dois ajouté que le style d'écriture sobre de l'auteure s'accordait à merveille avec l'histoire quelle essayait de nous raconté. Sûrement une lecture que je recommanderai à n'importe qui dans un futur proche.
Ce tome est particulièrement intéressant, on y apprends l'histoire de Mariko la mère de Yukio. On y apprends les épreuves qu'elle a vécu, comment les coréens étaient vu au Japon et les sacrifices qu'elle a dû faire.
Dans ce troisième tome, nous suivons Yunhi alias "Mariko", la mère de Yukio. Dans ce livre, il est question de son enfance puis de sa vieillesse, puisque le reste de sa vie est évoqué dans les deux autres tomes précédents.
Mariko est d'origine coréenne, du moins, à moitié par sa mère. Or, à l'époque, les Japonais étaient terribles envers eux. Parias par excellence, on les forçait à changer de nom pour le japoniser, à renier sa nation, à ne jamais être plus qu'un étranger. Lorsque survient un séisme d'une grande amplitude, certains japonais en profite pour massacrer les immigrants coréens. Pour la jeune Yonhi, c'est le début d'une vie de crainte d'être découverte, mais aussi d'amour en la personne de son enfant Yukio et de son mari, monsieur Takahashi. Pourtant, en fin de vie, l'exhumation d'une fosse commune, son passé pourrait bien la rattraper.
"Tsubame" est le nom de l'hirondelle, au Japon. Un oiseau qui vit en couple, partage les tâches du nid et qui migre vers le sud en hiver. Dans l'orphelinat de Mariko, il y avait des hirondelles.
Encore un très bon livre! Remplis d'histoire, parfois choquante! Mais parfois aussi très humaine. Vivement la suite de cette histoire à cinq voix.
Tsubame est le troisième tome de la petite saga "Le poids des secrets". On découvre l'histoire de Mariko, de son vrai prénom "Yohni". Cette petite fille coréenne qui a vécu toute sa vie au Japon et qui un jour devra porter un nom japonais pour cacher ses véritables origines.
C'est une histoire touchante, les descriptions des lieux, des sentiments, sont très bien décrits. De nouveaux secrets sont dévoilés et il me tarde de découvrir ce qui se passe dans le prochain tome !
Encore une fois, l'auteure réussit à venir me toucher avec des mots simples, mais emplis de poésie. Nous pouvons sentir toute la panoplie d'émotions que ressent Mariko. De plus, l'auteure nous démontre à quel point la culture de l'époque a eu une incidence, non seulement sur notre protagoniste, mais également sur sa famille.
Le poids des secrets est un titre absolument judicieux pour cette saga. Tous ces secrets qui entourent cette famille me surprennent d'un récit à l'autre. Comment font-ils pour vivre avec tout cela cachés au fond d'eux? Au début de chaque tome, je me dis qu'il est impossible qu'il y ait eu autant d'événements tragiques au sein d'une seule et même famille et pourtant...
Vers où nous amènera l'auteure lors du prochain tome? Assurément, un autre récit qui me fera découvrir un plus en profondeur la culture japonaise. Quel secret peut bien encore cacher cette famille?
Un troisième tome toujours aussi plaisant et addictif à lire, court mais intense.
Cette fois on découvre l'histoire de Mariko, Yonhi de son vrai nom, son enfance marquée par le tremblement de terre de 1923, le racisme... mais aussi sa vie une fois grand-mère qui va livrer quelques secrets.
La plume de l'autrice est toujours aussi plaisante à lire et continue de dévoiler petit à petit tous les fils du canevas formant l'histoire principale de la série "Le poids des secrets".
Résumé
Lors du tremblement de terre de 1923, les Japonais profitent de la confusion pour exterminer les ressortissants coréens. Enfant illégitime, Yonhi n'a que douze ans à cette époque et se voit confiée à un prêtre, à l'abri de la tourmente. Sa mère ne reviendra jamais, pas plus que son oncle, et la petite devra désormais porter un nom japonais, Mariko. Coupée de son histoire familiale, l'ayant toute sa vie cachée à son propre fils, à ses petits-enfants et même à son défunt mari, elle en élucide un élément fondamental, l'identité de son père, en rencontrant une dame qui traduit pour elle le journal laissé par sa mère.
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