New Milford, Connecticut, en Nouvelle-Angleterre. Un petit village du comté de Litchfield. Une série d'incidents étranges, des meurtres atroces, et le shérif Jack Smith mène l'enquête. Pourquoi Cordelia Gray, une mystérieuse jeune femme, recherche-t-elle avec autant d'acharnement un tableau représentant douze personnages au visage décomposé ? Ce tableau, datant de l'époque victorienne, est l'œuvre d'un certain Walter Waldegrave, peintre passionné d'occultisme, qui fut l'ami d'Oscar Wilde. Quel est le secret de ce tableau, et surtout qui sont ces douze personnages ? C'est ce que Vincent Pearson, l'actuel propriétaire du tableau, s'efforce de découvrir, à ses risques et périls ! Car la vérité ne tardera pas à surgir et ce sera l'horreur suprême, la vérité sur une famille démoniaque et sur le le Portrait du Mal !
Bon, vous allez comprendre. Votre visage est exactement comme un pneu de voiture, si vous voulez bien me pardonner cette métaphore aussi peu flatteuse. Il est éraflé et usé par toutes les choses avec lesquelles il entre en contact. Pas de l’intérieur, mais du fait de la friction externe. Pourquoi croyez-vous que les femmes arabes portent le yasmaq ? Ce n’est pas par pudeur, mais afin de se protéger du regard des autres, afin de rester jeunes. — Je ne sais pas, dit Alison. Je ne sais vraiment pas. Vous dites que le visage des gens vieillit uniquement parce que d’autres personnes les regardent et les photographient
Absolument inspiré du Portrait de Dorian Gray, mais très modernisé, très gore et détaillé par moment, très "collection horreur", comme à l'habitude de Masterton, mais je dois avouer avoir été plus marqué par celui là que par l'original :) !
Un Must de Masterton, et si vous voulez revisiter ou revivre l'histoire de la famille Gray, je vous invite à lire les BD : Le retour de Dorian Gray, T1 et T2. perso, moi j'ai adoré.
Une excellente version du célèbre roman d'Oscar Wilde, en beaucoup plus gore et horrifique! Une histoire qu'on a du mal à lâcher, même si la fin se conclut de façon trop abrupte et rapide. A ne pas lire la nuit...
Des manoirs, du macabre, des personnages abjects, c’est une histoire parfaite pour l’ambiance Halloweenesque !
Bon, même si cette histoire est considérée comme horrifique, je n’ai pas ressenti de la peur ou de l’effroi en tant que tel. Quoique le passage avec les asticots n’a pas été des plus agréables à lire. Le côté épouvante vient plutôt du fond de l’histoire. Cette histoire soulève le meurtre, la cruauté, la brutalité, l’immoralité et la noirceur de l’âme de certains personnages et c’est ce qui la rend horrible et épouvantable.
Sans surprise, l’histoire est inspirée de l’œuvre d’Oscar Wilde « Le portrait de Dorian Gray », que je n’ai pas encore eu la chance de lire (honte à moi). Même sans avoir lu ce classique, on se rend très vite compte que cette histoire en est inspirée : une famille Gray, des peintures, la peur du vieillissement et oh surprise, quelques clins d’œil à Oscar Wilde.
Je ne connaissais pas du tout, Graham Masterton, l’auteur. C’est dans le cadre du Pumpkin Autumn Challenge édition 2022 que je l’ai découvert. J’ai hâte de dévorer d’autres de ses œuvres.
J’ai bien aimé cette lecture, ça se lit assez bien et pour la période d’automne ou d’Halloween mais, pour le côté « grands frissons », on ne va pas se mentir, on a déjà vu mieux. Cependant, ce n’est ni un coup de cœur, ni une histoire que j’ai envie de relire.
L'hommage à Oscar Wilde et à son portrait de Dorian Gray est superbement amené, et mené. Mais l'auteur est allé légèrement trop loin sur la fin, pour que j'adhère complètement à ce qu'il en a fait.
Cela n'enlève rien à l'univers parfaitement gore qui se dégage de l'ensemble. Sur ce point, nul doute, le livre est réussi !
Roman fantastique, adaptation modernisée du Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde. Une famille mystérieuse aux moeurs étranges, à la recherche d'un tableau disparu.
Encore une fois, Graham Masterton a su inspirer la terreur en y mêlant dégoût et fascination, les protagonistes ayant lié un pacte avec le Mal en échange de l'immortalité.
Le mystère et l'horreur sont bien présents, et que dire de cette famille Gray, à la fois émouvante et flippante.
Ma dernière et unique lecture d'un roman de Graham Masterton ("Démences") commence à dater, et je n'en ai pas gardé un souvenir impérissable.
Celui-ci m'a globalement plu, avec son scénario original et son rythme soutenu. En revanche, la fin apparaît comme quelque peu abrupte voire bâclée et se révèle donc décevante.
Quant à ressentir des frissons d'horreur, franchement ce ne fut pas mon cas. Certes, le récit comporte quelques situations sordides et parfois gores, mais elles sont loin d'être choquantes, y compris, je pense, pour des âmes plus sensibles.
Toujours est-il que j'ai passé un bon moment, et que cela m'a donné envie de découvrir d'autres œuvres de cet auteur.
J'ai adoré et je regrette de ne pas l'avoir lu avant. On ne s'ennuie pas, dès le début, j'ai été transportée dans l'univers. Je n'ai pas eu peur, mais j'ai été écœurée (dans le bon sens du terme - bizarre, de dire ça, mais l'auteur a réussi à m'atteindre et c'est ce que je recherche avec ce genre littéraire) par certaines scènes (surtout à cause d'Edward). C'est bien ficelé, rythmé. Contrairement au livre "Le portrait de Dorian Gray" que j'ai détesté, je ne peux que vous recommander "Le portrait du mal".
La lecture a été fluide et vraiment agréable ! Quelques moments de frissons, quelques moments d'indescriptible dégoût, puis d'autres passages qui font sourire. Je ne suis pas déçue d'avoir ouvert ce livre et ça m'a permis de découvrir la plume de Masterton, que je ne connaissais pas et que je place désormais au même niveau - sinon plus, car il tourne moins autour du pot - que King en matière de narration.
Je dois tout de même avouer être restée un peu sur ma faim quant au final, que je trouve presque décevant et bien trop simple et expédié. Beaucoup de questions restent en suspens à mes yeux et mériteraient peut-être plus d'explications.
Mais globalement, c'est un très bon roman et j'ai bien envie de lire d'autres oeuvres horrifiques de l'auteur, désormais !
On m'a vendu Masterton comme LE maître de l'horreur, bien au-dessus de King... et je dois bien avouer que j'ai franchement adhéré à la plume et à l'histoire du Portrait du mal.
Je reste un peu sur ma faim, il est vrai, et ne suis pas totalement convaincue par les explications données, je le reconnais (mais je chipote), mais malgré tout, j'ai pris plaisir à lire ce bouquin et découvrir l'histoire. Je me suis même attachée aux Gray et bien souvent, Henry, Maurice et Cordelia (le trio de tête !) m'ont fait sourire, voire rire. Il y a de tout dans ce roman : de l'horreur, du suspense, de l'humour, du fantastique/de la magie. Un cocktail justement dosé, parfait pour moi !
Résumé
New Milford, Connecticut, en Nouvelle-Angleterre. Un petit village du comté de Litchfield. Une série d'incidents étranges, des meurtres atroces, et le shérif Jack Smith mène l'enquête. Pourquoi Cordelia Gray, une mystérieuse jeune femme, recherche-t-elle avec autant d'acharnement un tableau représentant douze personnages au visage décomposé ? Ce tableau, datant de l'époque victorienne, est l'œuvre d'un certain Walter Waldegrave, peintre passionné d'occultisme, qui fut l'ami d'Oscar Wilde. Quel est le secret de ce tableau, et surtout qui sont ces douze personnages ? C'est ce que Vincent Pearson, l'actuel propriétaire du tableau, s'efforce de découvrir, à ses risques et périls ! Car la vérité ne tardera pas à surgir et ce sera l'horreur suprême, la vérité sur une famille démoniaque et sur le le Portrait du Mal !
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