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Commentaire ajouté par Underworld 2021-01-21T17:46:15+01:00
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Avouons qu’il fallait, en 1836, à l’époque du chemin de fer, une bonne dose de fantaisie et d’humour pour imaginer l’histoire d’un garçon postillon, qui mène les chevaux et qui se marie deux fois, à dix ans d’intervalle, la première fois à Lonjumeau avec Madeleine, alors qu’une diseuse de bonne aventure lui prédit la catastrophe, et la seconde fois avec une dame de l’aristocratie, alors qu’il est devenu chanteur d’opéra ! Un sens limité de la morale, une ascension sociale fulgurante, un mépris des convenances et voilà notre Chapelou devenu Saint-Phar, alors que sa première épouse, délaissée, bénéficie d’un héritage et se métamorphose elle aussi ! Ajoutons au pitch que Louis XV en personne se plaint de ne pas avoir assez de chanteurs pour son divertissement et que les artistes se prennent pour des stars en faisant enrager un marquis hystérique.

(Source : https://www.artistikrezo.com/spectacle/le-postillon-de-lonjumeau-un-bigame-a-lopera-comique.html)

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Commentaire ajouté par Underworld 2021-01-21T17:40:07+01:00
Bronze

Le fringant postillon, Chapelou, le jour même de son mariage avec la jolie aubergiste Madeleine, est repéré pour ses performances vocales par le marquis de Corcy et embauché comme ténor à la cour de Louis XVI. La jeune femme abandonnée le jour même de ses noces va tout faire pour le récupérer.

Devenue riche et se faisant passer pour une aristocrate, elle va reconquérir son mari qui ne l’a pas reconnue et le ré-épouser une seconde fois. Tout cela est mené rênes courtes dans un tourbillon de quiproquos, de fausses identités, de déguisements.

(Source : https://www.francemusique.fr/emissions/la-chronique-de-roselyne-bachelot/la-chronique-de-roselyne-bachelot-du-vendredi-29-mars-2019-70401)

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Commentaire ajouté par Underworld 2021-01-21T17:32:32+01:00
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Acte I

Ville relai entre Paris et Orléans, Lonjumeau fête les noces du plus fringant de ses postillons, Chapelou, avec la jeune aubergiste Madeleine. Pour lui, elle renonce à l'héritage d'une riche tante ; pour elle, il abandonne sa vie de séducteur. Pourtant, à l’une comme à l’autre, on a prédit que le mariage serait malheureux...

L'arrivée d'un voyageur pressé fait tout basculer : c’est le marquis de Corcy, surintendant de l'Opéra. À la recherche d’un ténor sur l’ordre exprès de Louis XV, il est enthousiasmé par la voix naturelle de Chapelou. Le postillon cède vite aux sirènes de la gloire et abandonne Madeleine sans grand scrupule. Il entraîne dans son sillage Biju, le forgeron qu’elle avait éconduit pour lui.

Acte II

Dix ans plus tard, Madeleine a hérité de sa tante et refait sa vie sous le nom de Mme de Latour. Courtisée par le marquis de Corcy, elle a préféré séduire, du fond de sa loge à l'Opéra, le fameux ténor Saint-Phar – qui n'est autre que Chapelou, incapable de la reconnaître.

À l'occasion du séjour chez elle de la troupe lyrique, venue lui interpréter un hommage composé par Corcy, Mme de Latour piège Saint-Phar. Elle accepte de lui accorder ses faveurs mais, pour préserver son honneur, pose une condition : qu'il l'épouse.

Saint-Phar croit pouvoir organiser une parodie de mariage. Mais avertie par le marquis jaloux, Mme de Latour substitue au faux prêtre un authentique chapelain.

Acte III

La "nuit de noce" vire au cauchemar pour Saint-Phar. Biju lui révèle que le sacrement est avéré, ce qui fait de lui un bigame passible de la pendaison. Puis paraît une nouvelle servante au service de Mme de Latour : c'est Madeleine qui lui demande des comptes – tandis que dans l'obscurité qui gagne le château, sa nouvelle épouse fait l'outragée. Enfin, Corcy paraît avec des gardes pour appréhender le libertin.

Chapelou est sauvé in extremis par Madeleine et Mme Latour, qui parlent désormais d’une seule voix. Confondu et repentant, il n’en est que plus aimé.

(Source : https://www.opera-comique.com/fr/saisons/saison-2019/postillon-lonjumeau)

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Commentaire ajouté par Underworld 2021-01-21T17:30:46+01:00
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Opéra-comique de Adolphe Adam en 3 actes sur un livret d’Adolphe de Leuven et Léon-Lévy Brunswick.

Créé à l'Opéra Comique en 1836

Le jour de ses noces avec une jeune aubergiste de Lonjumeau, le postillon Chapelou est repéré par le directeur de l’Opéra qui l’engage comme soliste et l'emmène à Paris. Mais Madeleine entend récupérer son mari…

Est-ce le récit d'une ascension sociale sous l’Ancien Régime ? Ou bien un hommage souriant du XIXe siècle industriel au XVIIIe siècle galant ? Ou encore l’aventure d'un séducteur pris à son propre jeu ? C'est tout cela et bien plus, c’est le triomphe du chant : celui de Chapelou avec son air au contre-ré décisif, celui de Madeleine aux étourdissantes métamorphoses vocales.

L’ouvrage mythique d’Adolphe Adam retrouve l'Opéra Comique qui l'a vu naître : il enflamma durablement l'Europe mais n’avait plus été joué dans nos murs depuis 1894.

(Source : https://www.opera-comique.com/fr/saisons/saison-2019/postillon-lonjumeau)

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Commentaire ajouté par Underworld 2021-01-21T16:58:10+01:00
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Acte I

Le postillon de Lonjumeau, Chapelou, vient d'épouser l'aubergiste Madeleine. Mais tous deux ont consulté l'un une voyante et l'autre un devin qui leur ont prédit des jours difficiles. Sur les instances de ses amis, Chapelou chante la célèbre Ronde du postillon (Ah mes amis, qu'il était beau, le postillon de Lonjumeau !), morceau spectaculaire qui lui donne l'occasion de monter jusqu'au contre-ré. Le marquis de Corcy, premier gentilhomme de la chambre du Roi, qui se trouve à l'auberge pendant qu'on répare sa voiture, l'entend et, impressionné par la voix du jeune homme, le convainc de le suivre à la Cour. Chapelou le suit sans hésiter en chargeant son ami, le maréchal-ferrand Biju, de prévenir Madeleine qui entre en fureur en apprenant la nouvelle de son départ.

Acte II

Dix ans plus tard, Madeleine a fait un riche héritage et se fait appeler Madame de Latour tandis que Chapelou, sous le nom de Saint-Phar, est devenu une vedette de l'opéra. Le marquis de Corcy, amoureux de Madeleine, donne une soirée en son honneur à laquelle doivent participer Saint-Phar et Biju, ce dernier étant devenu choriste sous le nom d'Alcindor.

Chapelou, qui n'a pas reconnu Madeleine (tandis que celle-ci l'a parfaitement reconnu), tombe immédiatement amoureux d'elle et lui propose de l'épouser, ce qu'elle accepte. Mais, sachant qu'il est déjà marié, Chapelou demande à Biju de jouer le rôle du prêtre pour ne pas commettre un sacrilège. Corcy surprend leur conversation et, après avoir neutralisé Biju, convoque un véritable ecclésiastique, lequel célèbre le mariage.

Acte III

Le prologue de l'acte III est connu pour son solo de clarinette, pièce d'une particulière virtuosité.

Le marquis de Corcy s'apprête à dénoncer Saint-Phar pour bigamie. Madeleine apparaît alors revêtue de son vieux costume de paysanne et Chapelou, stupéfait, la reconnaît mais elle laisse tomber le flambeau qu'elle porte et, à la faveur de l'obscurité, joue à la fois le rôle de l'aubergiste et celui de la riche héritière comme s'il s'agissait de deux personnages différents.

Le marquis revient avec la force publique. Madeleine dévoile alors sa supercherie et Chapelou réalise qu'il a épousé deux fois la même femme. Ils promettent de s'aimer en « bons villageois » et tout le monde convient « qu'il était beau, le postillon de Lonjumeau », ce qui donne à Saint-Phar une dernière occasion de faire entendre le célèbre contre-ré.

(Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Postillon_de_Lonjumeau)

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Commentaire ajouté par Underworld 2021-01-21T16:52:42+01:00
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Chapelou, postillon à Lonjumeau, relais de voyageurs entre Paris et Orléans, fête ses noces avec Madeleine, une jeune aubergiste qui a renoncé par amour pour lui à un héritage familial. Mais on a prédit au couple un mariage tumultueux. Ce qui se produit le jour même avec l’arrivée du Marquis de Corcy. Fasciné par la qualité de la voix de Chapelou, il lui promet une brillante carrière. Le postillon ne peut résister aux sirènes de la gloire et abandonne la mariée. Dix ans plus tard, les deux époux se retrouvent à Paris : Madeleine a hérité et est courtisée par le Marquis mais elle séduit Chapelou, devenu un ténor célèbre sous le nom de Saint-Phar. Elle tend un piège à ce mari qui ne l’a pas reconnue mais veut bénéficier de ses faveurs. La suite à l’écran, selon la formule consacrée… Comme on peut s’y attendre, tout se terminera en happy end. Le couple convolera enfin en justes noces.

(Source : https://www.crescendo-magazine.be/le-postillon-de-lonjumeau-dadolphe-adam-eblouissante-premiere-en-dvd/)

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Commentaire ajouté par Underworld 2021-01-21T16:51:03+01:00
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L’opéra-comique Le Postillon de Lonjumeau d’Adolphe Adam est l’un des plus célèbres de ce compositeur prolifique (plus de quarante œuvres pour la scène, quatorze ballets, dont l’indémodable Giselle…). Créé le 13 octobre 1836 à l’Opéra-Comique, sur un livret d’Adolphe de Leuven et Léon-Lévy Brunswick, il remporte un grand succès qui se prolonge en province et bientôt dans toute l’Europe, notamment à Berlin, Vienne, Leipzig, Prague, Londres et même à Riga où Richard Wagner le dirige. A Paris, Le Postillon quitte la scène en 1894, après 560 représentations en soixante ans. Son succès se prolonge en Allemagne, où il est souvent programmé et une adaptation cinématographique voit le jour en 1936, avec le ténor Joseph Schmidt dans le rôle principal. Mais il faut attendre 1985 pour qu’une intégrale discographique soit réalisée pour EMI avec John Aler, June Anderson, François Le Roux, Jean-Philippe Lafont et l’Orchestre Philharmonique de Monte Carlo, sous la direction de Thomas Fulton. Une version en allemand voit le jour en 1992 chez Capriccio. A Paris, il a fallu patienter plus de cent vingt ans pour que Le Postillon soit remis à l’affiche de l’Opéra-Comique, du 30 mars au 9 avril 2019. Avec verve et panache !

(Source : https://www.crescendo-magazine.be/le-postillon-de-lonjumeau-dadolphe-adam-eblouissante-premiere-en-dvd/)

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