Commentaires

Mon cœur va bien, me dit on, même si je me sens mort à l’intérieur.

O mais alors cette préquelle, ce qu’elle est géniale. La plume de l’auteur ravi toujours et la puissance du message qu’il fait passer tout autant. Je ne saurais même pas dire lequel des deux tomes je préfère.

Merci à l’auteur pour nous faire voyager dans chacunes de ces œuvres et nous faire réfléchir.

Si j'avais finis "Et il meurt tous les deux à la fin" avec les larmes aux yeux et la gorge nouée ici c'est des tirants de larmes que j'ai versé lors des deux dernières parties. Encore un récit ou la vie, la mort et l'amour universel s'accorde à merveille. Beaucoup de personnages secondaires mais qui donnent du corps à l'histoire ; tous sont liés. Vivement le prochain pour en apprendre plus sur DC!

J'avais déjà lu Et ils meurent tout les deux à la fin il y a quelques années et j'avais eu un gros coup de cœur. Coup de cœur réitéré avec ce prequel.

J'avais retardé la lecture de ce tome car j'avais peur d'être déçue mais finalement j'ai adoré. Les émotions sont puissantes, on vit cette journée au côté d'Orion et Valentino. On a toujours cet espoir mais on sait très bien que ça ne sera pas un happy-end. On ne sait pas quand et comment mais on sait qu'un des deux va mourir. Le stress est présent tout au long de la lecture. On partage les craintes, les angoisses mais aussi les premières fois et les moments de joies de nos personnages.

J'aime beaucoup les différents points de vue, ceux d'Orion et Valentino mais aussi des personnages secondaires qui apportent un plus sur ce qu'il ce passe en parallèle au siège de Death-Cast notamment mais aussi avec les voisins, la famille ou d'autres personnages rencontrés leur excursion à New-York. Une course contre la montre est lancée pour vivre le plus de choses possibles en moins de 24heures.

J'ai aimé "et ils meurent tous les deux à la fin" pour son idée originale, les messages qu'il sous-entend, sa construction (chapitres commençant de la même façon, points de vue de Matteo, Rufus et même de personnages secondaires) mais la fin est dure. A déconseiller aux personnes déprimées

J'avais quelques (beaucoup) d'attentes pour ce nouveau que j'ai tout simplement adoré, mais je l'ai moins aimé que le premier sorti, peut-être à cause du temps qu'il m'a fallu pour le lire.

Débutons notre revue de ce livre par l'histoire : celle-ci se passe en un peu plus de 24h et j'ai adoré le fait que l'auteur prenne son temps, si les actions ne sont pas les plus palpitantes on est là pour accompagner et pour vivre avec les personnages, avec Orion, Valentino et tout leur entourage et j'ai grandement apprécié que le livre fasse plus de 500 pages. C'est ce qui m'a aussi permis de mieux me préparer à la fin, comme une sorte de deuil anticipé et qui a permis à mes larmes de rester là où elles sont naturellement.

L'histoire annexe sur le Death-Cast m'a tout aussi bluffée que la jolie histoire d'amour (sous toutes les formes snif de ValentinOrion), si au début je ne comprenais pas pourquoi on avait les pov de Frankie, Rolando et surtout Joaquim la fin est vraiment juste épatante, toute se relie comme ça d'un coup d'un seul, j'ai retenu ma respiration tout du long tant c'était captivant et aussi stressant !

Ensuite, on en parle des personnages ? je pourrai mourir pour offrir ma vie à la place du premier à mourir ok ? Orion et Valentino sont des humains, avec du vécu, qu'on ressent, qui est aussi bien exploité sans trop alourdir le récit, leur profondeur est juste parfaite et j'étais beaucoup trop à fond dans leur romance. D'un point de vue réaliste ça ne peut arriver ce genre de situation et pourtant j'ai adoré, ça n'allait trop rapidement, jamais et mon cœur fondait à chaque interaction T-T.

Enfin, j'ai lu ce livre en anglais, et le niveau est vraiment facile si vous souhaitez vous lancer ! Et justement, le fait que la plume ne soit pas si poétique bien que chaque phrase est une quote, ça rajoute vraiment au récit, Silvera nous transporte à New York et nous donne comme une certaine responsabilité de vivre ces dernières heures avec tous ces personnages qui n'existent malheureusement que dans ce livre.

En bref, je vous recommande absolument ce livre ! Mais il faut avoir lu le premier car vous n'êtes pas prêt pour la montagne russe que nous fait faire l'auteur en incorporant les personnages de son premier livre sur le Death-Cast T-T, lisez juste ce livre, voilà, bien sûr je ne vous force pas la patte mais bon, faites-moi plaisir :)

J'avais hâte de lire cette préquelle après avoir lu "Et ils meurent tous les deux à la fin", et je n'ai pas été déçu ! J'ai adoré retrouver la plume de l'auteur, son humour, la tendresse de ses personnages, la façon dont tous les destins sont mêlés les uns aux autres, même de façon minimes. Et évidemment, j'ai verser des larmes, mais la fin qu'il nous est offre est une belle leçon de vie, pleine d'espoir.

Un livre génial ! Comme "Et ils meurent tous les deux à la fin", on est plongé dans l'histoire des personnages. Des personnages attachants et beaucoup d'émotions. Un livre qu'on ne peut plus lâcher avant la fin, mais qu'on n'a pas envie de terminer car on redoute le final... Bref, des livres que je ne peux que conseiller !

Comme pour « et ils meurent tous les deux à la fin » l’auteur nous plonge directement dans l’histoire des deux protagonistes, et wow, je me reprends une claque face à l’amour qui ressort de ce livre. C’est un véritable chef d’œuvre, que j’ai réussi à encore préféré à son premier tome. Les personnages sont attachants, et malgré qu’il se passe qu’une journée, on arrive à s’y attacher. Le livre m’a fait verser ma petite larme à la fin, car purée, qu’elle histoire ! Tellement d’émotions me sont venus lors de la lecture, je ne peux que le conseiller, il est magique !

Je vais vous avouer un grand secret (ou pas), mais je n’ai jamais lu un roman d’Adam Silvera. Pas même son grand succès dont est issue cette préquelle. Alors avec cette sortie, je me suis dit qu’il serait bien et temps que je remédie à cette lacune. Tout à fait entre nous, je ne regrette pas cette lecture. D’ailleurs, après avoir fini celle-ci, j’ai été voir sur internet ses autres œuvres.

Parce que, j’ai beaucoup aimé la plume d’Adam Silvera et la sensibilité qu’il y a derrière ses protagonistes. Même si on suit plusieurs personnages qui feront les temps forts du récit, comme en ce qui concerne le créateur du Death-Cast par exemple.

Bien sûr nous suivons essentiellement et surtout Orion et Valentino qui vont se rencontrer le soir du lancement de ce projet plutôt morbide et funeste. Comme je n’ai pas envie de vous spoiler l’histoire, sachez que c’est un récit loin d’être triste malgré ses propos. C’est même, en quelque sorte, une ode à la vie, à la liberté et aux différences. C’est ce que j’ai ressenti durant cette lecture. L’histoire entre Orion et Valentino, leur romance pour être plus exacte, est belle, même si, je l’avoue, parfois j’avais beaucoup de peine pour eux. Parce que, dans un sens, c’est très injuste. Surtout quand on connait le dénouement à l’avance.

J’ai eu beaucoup d’émotions lors de cette lecture !

Même si, justement on ne sait rien de comment fonctionne ce « Death-Cast » et que ce n’est pas le propos, moi, j’avais très envie de savoir ! Mais, ici, c’est avant tout centré sur la résilience, sur la manière dont l’être humain avance même au dernier jour de sa vie, son « Jour Final ».

Cela aurait pu être pathétique, mais c’est loin d’être le cas. La façon dont la trame est mise en place et les aventures que vont vivre nos héros, cela me fait plus penser à une comédie de fin d’année avec le décompte du Nouvel An. Parce qu’on fond, c’est ce que fêtent nos personnages, un nouveau départ, une nouvelle vie.

Malgré quelques longueurs, j’admets avoir lu cette préquelle avec beaucoup de plaisir et d’émotion. Orion, Valentino, mais aussi Dalma, Scarlett ou bien encore Gloria ou Rolando… autant de personnages qui auront su m’accrocher à leur parcours, parfois bien difficile.

Au fond, Le premier qui meurt à la fin est une belle romance, un hymne à la vie, la résilience et c’est sans doute tout ce qu’il faut retenir de cette histoire.