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Les provocations d’Emmanuel Macron sont cohérentes : elles expriment à la fois la personnalité d’un dominant convaincu de sa supériorité et la violence d’une politique de classe. Car, sous les mots, il y a la réalité d’une action : une offensive lancée face aux classes populaires et aux acquis de leurs luttes, où les premières sont désignées comme des coupables à mater et les secondes comme des fardeaux à supprimer.
Afficher en entier[...] se mobiliser pour défendre ses conditions matérielles de vie (logement, salaire, pouvoir d'achat. ..) est renvoyé, quand il s'agit des classes populaires, du côté du vice,de la cupidité ou de la mesquinerie.
Afficher en entierEmmanuel Macron, s'est d'emblée, en 2017, entouré d'un premier "gouvernement de riches" avec quinze ministres ou secrétaires d’État millionnaires sur trente-deux.
Afficher en entierLes inégalités politiques renforcent ainsi les inégalités économiques et le pouvoir des grandes fortunes, qui construisent circulairement leur légitimation.
Afficher en entierSelon la fameuse "théorie du ruissellement", arroser ainsi les riches se justifierait par des effets de retombées positives en contrebas sur l'échelle sociale. "Alléger les charges", nous serine-t-on depuis des décennies, favoriserait l'investissement et créerait des emplois. Forts de cette foi, les gouvernements successifs ont distribué aux plus riches et aux entreprises des milliards d'euros sans contrepartie ni contrôle.
Afficher en entierDérapages plus ou moins assumés ou formules calculées à l'avance, les provocations verbales d'Emmanuel Macron sont cohérentes : elles expriment à la fois la personnalité d'un dominant convaincu de sa supériorité et la violence d'une politique de classe. Car, sous les mots, il y a la réalité d'une action : une offensive lancée face aux classes populaires et aux acquis de leurs luttes, où les premières sont désignées comme des coupables à mater et les seconds comme des fardeaux à supprimer.
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