Le Prince

Un livre à lire en étant concentré !

Il a marqué son siècle avec sa pensée qui reste néanmoins d'actualité. J'ai dû le lire dans le but de mes études de Lettres Antiques et j'ai pu faire le rapprochement entre les mots de l'auteur et les actes de dirigeants.

Le prince est nécessaire à tous ceux qui désirent comprendre un peu mieux notre monde et notre histoire.

Livre très simple de compréhension, qui devrait être au programme scolaire cat très utile. Il est pédagogique sur des sujets politiques et historiques, bien qu'écrit il y a si longtemps. Le prince dépeint bien la vie, le rôle, la fonction et les obligations de ce que Machiavel appelle un prince, soit tout simplement un homme politique.

C'est impressionnant de se rendre compte que 500 ans plus tard, les conseils de Machiavel sont toujours autant d'actualité.

Jamais un livre ne m'avais autant ouvert les yeux sur le monde. Cela m'a donné envie de lire plus de bouquins de ce genre-ci.

Un excellent traité sur la façon de devenir et de rester prince. Des chapitres courts, des indications claires, logiques et toujours étayées par des exemples tirés de l'Histoire. Je trouve la chute grandiose, parfaite, drôle. Tout ça pour ça !

Il est intéressant de comparer les méthodes proposées par Machiavel avec celles utilisées par nos contemporains. On peut très bien appliquer ce traité à un petit groupe de gens, une entreprise, une ville, une principauté, un pays et certains ne se gênent pas pour le faire.

Le Prince de Machiavel fait, encore aujourd'hui, parti des références de la littérature politique, malgré qu'il date du XVIème siècle. En se basant principalement sur l'Europe contemporaine, ainsi que la Grèce et la Rome Antique, Machiavel détaille les mécanismes du pouvoir, comment l'obtenir, le conserver et s'en servir pour ses intérêts. Les raisonnements sont clairs et détaillés, la langue fluide, ce qui en fait une bonne porte d'entrée dans son domaine.

Une lecture pour les cours intéressante, bien que pas forcément très actuelle

Livre très intéressant, tout ce que dit Machiavel peut être encore d'actualité. Lus par les grands dirigeants. Je vais devoir le relire pour bien m'imprégner de tout ce que dit Machiavel et tout bien comprendre

Un roman posthume de Machiavel.

Dans ce dernier, l'auteur nous explique comment être un bon prince. En d'autres termes, il s'agit d'un livre pour apprendre à savoir comment bien gouverner.

C'est un livre intéressant et surtout très utile quand on peut s'en servir.

Je commencerai cet avis en disant qu'il est actuellement 2h13 du matin, que j'ai deux examens dans à peine 6h, que je me réveille dans 4h, et que je ne trouve toujours pas le sommeil... Quoi qu'il en soit, puisque je suis là à présent, autant achever ce que j'ai entamé, et parler du livre que je viens de terminer...

Sacré Machiavel... J'avais très hâte de lire ce livre, étant donné mon envie de comprendre quel genre de livre de chevet nos dirigeants pouvaient avoir, et surtout afin d'illustrer le nom d'un homme si connu, mais dont les doctrines ne le sont pas tant que ça.. Au départ, je me disais que ce livre se trouvait drôlement abordable et structuré, mais finalement je pense qu'il ne faut pas le lire en une fois, mais plutôt chapitre par chapitre afin de bien méditer la profondeur et l'implication des mots du poète. Je ne mentirai pas en disant que parfois, (très souvent) mon esprit divaguait pendant ma lecture, sans que je me concentre à nouveau sur les phrases qui me perdaient, tellement l'aspect intangible des faits décrits par l'auteur me laissait détachée. Nonobstant, je dois dire qu'on a tout le luxe d'imaginer tous les scénarios exposés sur nos dirigeants actuels, puisque même sans être très calé historiquement parlant, les illustrations de Machiavel sont parlantes à toutes et pour toutes les époques. Au début de ma lecture (et pardonnez à mon cerveau troublé de passer ainsi du coq à l'âne), je me suis fait la remarque qu'un homme comme l'auteur florentin devait avoir un certain complexe d'infériorité ; lui qui avait tant de connaissance, de sagesse, d'observation et d'expérience, mais qui se trouvait dénué du soutien de la fortune, et incapable de se trouver Prince d'une Seigneurerie, ou d'une République. Pourtant, en lisant le dernier chapitre, j'ai souri intérieurement, me disant que cet homme ne perdait pas le Nord, et que la conclusion en faveur de sa patrie était bien pensée et amenée. Je ne pousserai pas la critique plus loin, bien trop fatiguée et inculte pour m'exprimer davantage sur un livre qui me dépasse, mais cette expérimentation fut toutefois une bonne expérience.