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Liste des extraits

-Vas y, c’est le moment de m’insulter.

Cardan hausse les sourcils.

-Je ne reçois pas d’ordre des mortels, rétorque-t-il avec son sourire coutumier.

-Alors tu comptes dire quelque chose de gentil? J’en doute. Les feas ne peuvent pas mentir.

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- Jade Duarte, fille d'argile, je jure de me mettre à ton service. J'agirai comme si j'étais ta main. J'agirai comme si j'étais ton bouclier. J'agirai en accord avec ta volonté. Qu'il en soit ainsi pour un an et un jour... et pas une minute de plus.

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Un sourire féroce pointe sur mes lèvres. Le garçon le plus important de Terrafæ, qui est aussi mon ennemi, est à ma merci. C’est encore mieux que ce que j’imaginais.

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- Je t'apprécie toi, dis-je. J'aime bien jouer à faire semblant avec toi.

- Faire semblant ? répète-t-il, comme s'il se demandait si je l'insulte.

- Evidemment.

Je me dirige vers une fenêtre de la grande salle et regarde au-dehors. Le clair de lune éclabousse l'entrée feuillue du labyrinthe. Des torches brûlent non loin, les flammes vacillant dans le vent.

Je reprends :

- Evidemment qu'on fait semblant ! Toi et moi, on n'a rien à faire ensemble, mais c'est quand même amusant.

Il me jauge d'un œil de conspirateur.

- Dans ce cas, continuons.

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- Je suis tellement fatiguée, dis-je à voix haute. Tellement fatiguée.

Je reste assise là un long moment, à regarder le soleil dorer le ciel, à écouter le fracas des vagues tandis que la marée se retire, quand une créature ailée se pose sur le rebord de ma fenêtre. A première vue, on dirait une chouette, mais elle a des yeux de farfadet.

- Fatiguée de quoi, trésor ? me demande-t-elle.

Je soupire. Pour une fois, je décide d'être franche.

- D'être impuissante.

Le farfadet m'observe, puis s'envole dans le jour naissant.

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What could I become if I stopped worrying about death, about pain, about anything ? If I stopped trying to belong ?

Instead of being afraid, I could become something to fear.

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Je pose les mains sur le bureau.

- Dis-moi pourquoi tu me détestes. Une bonne fois pour toutes.

De ses longs doigts, il caresse le plateau de bois du bureau de Dain.

- Tu veux vraiment que je sois honnête ?

- Je suis celle qui te vise avec une arbalète et qui t'épargne parce qu'on lui a promis des réponses. A ton avis ?

- Comme tu voudras.

Il fixe sur moi un regard malveillant.

- Je te déteste parce que ton père t'aime alors que tu n'es qu'une sale morveuse humaine, fruit des infidélités de son épouse, tandis que le mien ne s'est jamais soucié de moi, bien que je sois un prince de Terrafae. Je te déteste parce que tu n'as pas de frère qui te bat. Et je te déteste parce que Locke vous a utilisées, ta sœur et toi, pour briser le cœur de Nicasia après qu'il me l'a enlevé. Sans compter qu'à la suite du tournoi, Balekin n'a jamais manqué une occasion de me jeter à la figure que tu était la mortelle capable de me vaincre.

Je ne savais même pas que Balekin voyait qui j'étais.

Nous restons face à face à nous observer. Ainsi alangui dans le fauteuil, Cardan a tout du prince cruel. Attend-il que j'actionne la détente ?

Je l'interroge :

- C'est tout ? Parce que c'est ridicule. Tu n'as aucune raison d'être jaloux de moi. Tu n'es pas contraint de vivre avec l'assassin de tes parents. Tu n'es as contraint de rester toujours en colère, sous peine de tomber dans un terrifiant puits sans fond qui ne demande qu'à s'ouvrir sous tes pieds.

Je m'interromps d'un coup, m'étonnant moi-même.

J'avais juré de ne pas me laisser charmer. Hélas, je l'ai laissé m'inciter à me confier.

Au moment où j'en prends conscience, le sourire de Cardan se teinte de sa suffisance coutumière.

- Ah oui, vraiment ? Je ne sais pas ce que c'est d'être en colère ? Ni d'avoir peur ? Tu n'es pas celle qui doit négocier pour sa vie.

-C'est vraiment pour ces raisons que tu me détestes ? Rien que pour ça ? Tu n'as pas trouvé mieux ?

Un instant, je crois qu'il m'ignore, puis je comprends qu'il ne me réponds pas parce qu'il lui est impossible de mentir, et qu'il ne veut pas me révéler la vérité.

J'insiste en reprenant l'arbalète, contente d'avoir un moyen d'affirmer mon autorité sur lui.

- Eh bien, réponds !

Il se penche et ferme les yeux.

- Avant tout, je te déteste parce que je pense à toi. Souvent. Ca me dégoute, et je ne peux pas m'en empêcher.

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Ce qui est bizarre avec l’ambition, c’est qu’on peut l’attraper comme une fièvre, mais qu’il n’est pas facile de s’en débarrasser.

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-Menteuse, m'accuse-t-elle. Tu n'es qu'une sale menteuse. J'ai horreur de ça. Je déteste ça.

-Oui. Je sais.

Au moins, elle n'a pas dit qu'elle me détestait, moi.

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This is epic, epic bullshit.

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