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« Les images en noir et blanc s'effacèrent au profit d'une clarté toute en couleurs. En lieu et place de la sinistre rive où Neddy avait rendu l'âme, je me vis entourée d'opulentes tentures. Je crus tout d'abord me trouver dans une petite pièce, mais je m'aperçus ensuite que les rideaux entouraient entièrement un grand lit. Le pyromane était couché au milieu, tout habillé, les yeux fermés comme s'il dormait.

Je te tiens, pensai-je, partagée entre le soulagement et le désarroi de l'avoir trouvé dans ce que je savais être le présent.

Jusque-là, je ne l'avais vu qu'à travers le filtre grisâtre des souvenirs, mais cet espionnage en direct changeait tout. Il n'y avait plus que moi dans ma tête. Libérée de toute influence extérieure, je pris mon temps pour l'observer.

Au premier abord, il donnait l'impression d'être un homme bien bâti, dans la trentaine, mais rapidement, je remarquai des éléments plus singuliers. Ses cheveux noir corbeau lui descendaient sous les épaules, plus bas que ne l'osaient la plupart des hommes, mais sur lui, cela ne faisait que rehausser sa virilité. Un pantalon noir et une chemise indigo enveloppaient des muscles qui semblaient bien plus durs que ceux d'un obsédé des salles de gym, et même si aucune flamme ne lui léchait les mains, ces dernières étaient sillonnées de cicatrices qui évoquaient autant de vestiges d'anciennes batailles. Ses pommettes saillantes étaient accentuées par une barbe de quelques jours, mais plutôt que de lui donner l'air négligé, il en retirait un aspect sauvage et attirant. Je n'avais pas vu un homme s'en tirer aussi bien avec ce look depuis Aragorn dans Le Seigneur des Anneaux. Quant à ses yeux...

Ouverts, une riche teinte cuivrée entourée de cercles vert foncé. Je les aurais trouvés beaux si je n'avais pas eu l'impression qu'ils étaient en train de regarder droit dans les miens.

Cela me déstabilisa, mais je me rappelai qu'il ne pouvait s'agir que d'une coïncidence. Personne ne se rendait jamais compte de rien lorsque j'utilisais mes dons pour établir un lien. J'aurais pu être le plus grand voyeur du monde si je l'avais voulu, mais mon souhait le plus cher était d'en savoir moins sur les gens que je croisais, pas plus...

— Qui es-tu ? »

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" - [...] Si tu vérifiais tes emails toutes les cinq minutes, ou si tu n'arrêtais pas d'envoyer des textos et de twitter pendant notre conversation, je serai tenté de te rompre la nuque par simple principe.

- Vous devriez vous installer dans l'une de ces communautés isolées où l'on rejette complètement la technologie. Je parie que vous adoreriez aussi botter les fesses aux gamins qui oseraient poser un orteil sur votre pelouse... "

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-C'est cela, notre véritable lien, murmura-t-il, et je sentis son haleine me brûler les lèvres. Tu m'es destinée, et tu seras à moi.

Sa bouche descendit sur la mienne pour un baiser dur et possessif. Je poussai un grognement en entrouvrant les lèvres. Il y glissa sa langue pour venir caresser la mienne avec une domination sensuelle. Il avait un goût de vin qui était une véritable invitation au péché :sombre, capiteux, irrésistible. La force brute de son baiser et son corps musclé me collant contre le matelas firent exploser des sensations aveuglantes dans tout mon corps.

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- Fais attention, bon sang ! Tu vas nous tuer !

- Non, je vais me tuer. Toi, tu es déjà mort, le corrigeai-je

Bon d'accord, j'avais encore manqué d'envoyer une autre voiture dans le fossé, mais pour une première expérience au volant, je ne m'en sortais pas si mal. J'enfonçai la pédale de l'accélérateur sans prêter attention au regard furieux de Marty. Oui, j'étais en excès de vitesse, mais nous étions pressés. De plus, il n'était pas non plus du genre à respecter les limitations de vitesses.

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- Pourquoi chercherais-je à te briser le coeur ?

- Parce que parfois, tu peux faire preuve d'une cruauté aveugle, répondis-je franchement.

Un petit sourire apparut sur ses lèvres.

- C'est vrai, mais je te veux à mes côtés.

Il pencha la tête et posa ses lèvres sur mon cou, ce qui déclencha de délicieux frissons dans tout mon corps.

Malgré le plaisir qu'il éveillait en moi, je sentis une minuscule pointe de déception. Je ne m'étais pas attendue à une promesse d'amour éternel, mais j'avais tout de même espéré... un peu plus. Il me voulait à ses côtés, soit, mais que se passerait-il une fois que nous aurions attrapé notre mystérieux adversaire et que plus rien ne m'obligerait à vivre sous son toit? Nous lancerions-nous dans une relation à distance, moi aux États-Unis, lui en Roumanie ? Me demanderait-il de rester ? Et s'il le faisait, quelle serait ma réponse ?

- Est-ce que tu ressens autre chose que du désir charnel pour moi ? me forçai-je à l'interroger.

Ce ne fut qu'une fois ces mots prononcés que je compris l'importance que j'accordais à sa réponse. J'étais vraiment mordue, cela ne faisait plus de doute.

Il continua de m'effleurer le cou de ses lèvres, et malgré ma nervosité, je sentais d'innombrables picotements me gagner.

- Tu as mis mon autorité en doute en présence des membres les plus négligeables de ma lignée, dit-il enfin. Et comment ai-je réagi ?

- Tu m'as forcée à électrocuter plusieurs fois Maximus, répondis-je sans comprendre où il voulait en venir.

- J'ai allégé sa condamnation tout en te montrant comment développer tes pouvoirs, corrigea-t-il d'une voix suave et séductrice. Si je ne ressentais pour toi que du désir, Maximus serait resté planté sur son pieu pendant une semaine, et toi, mon adorable intruse, tu ne serais pas avec moi en ce moment.

P.217

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- Pas de Dracula, dis-je avec un léger sourire tout en me retournant. De Vlad Tepes, ancien voïvode de Valachie, et également l'homme le plus arrogant, le plus dangereux et le plus effrayant que j'ai jamais rencontré.

Ses lèvres se retroussèrent sous l'effet d'un amusement dédaigneux.

- Les compliments ne me feront pas plus plier que les supplications, Leila.

- Vous prenez ça pour un compliment ? Demanda Gretchen, incrédule.

- Bien sûr, répondit-il avec un sourire qui dévoila ses canines. Elle vient d'énumérer toutes mes meilleures qualités.

Il reporta ensuite son regard inflexible sur moi.

- Je réfléchirai à ta proposition comme une option envisageable, mais pour l'instant, la réponse reste non.

- Tu as promis, dis-je avec colère sans prêter attention à l'air d'approbation surprise de Gretchen. Tu m'avais dit que si je trouvais un plan pour sauver Marty sans mettre tes hommes trop en danger, tu le mettrais en application. Le voilà, mon plan !

- C'est toi qu'il met trop en danger, rétorqua-t-il implacablement. Tu es mon amante, et tu fais donc partie des miens.

- Mais j'ai moins de valeur qu'eux, le contrai-je, et une douleur inconnue jusque-là me poussa à continuer. Tu as admis que tu n'éprouverais jamais d'amour pour moi. Donc si quelque chose tourne mal, tu trouveras facilement une autre petite copine. Marty m'aime, lui, et il est mon meilleur ami. Je refuse de l'abandonner.

Les yeux de Vlad devinrent entièrement verts, et il se tient si immobile que le simple fait de le regarder était presque douloureux. Pas le moindre souffle, pas le moindre mouvement ne venait déranger son adorable visage. Même ses yeux ne bougeaient pas d'un millimètre. Aucune personne vivante n'aurait pu conserver une telle immobilité. C'était comme si, par sa posture rigide et glacée, il voulait me démontrer combien la distance qui nous séparait était impossible à combler.

- Mes hommes vont continuer à fouiller les environs, dit-il après un silence qui avait mis mes émotions en lambeaux. À partir de demain, tu visiteras également les demeures des vampires les plus influents de la région pour y chercher des traces de l'essence de Szilágyi. Il y a forcément un complice. Une fois que nous l'aurons démasqué, cela nous mènera tout droit à notre cher ami.

Il tourna ensuite les talons et me jeta un dernier commentaire acerbe avant de disparaître.

- Si tu as besoin d'autre chose ce soir, je serais dans le cachot, en train de faire ce que je fais le mieux.

p. 280.

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Soudain, la bouche de Vlad se retira de mon cou, laissant l'endroit où il m'avait mordue glacé et brûlant à la fois.

- Tu veux vraiment que je te tue ? Demanda-t-il d'une voix crispée.

Je clignais des yeux, confuse, mais j'entendis alors la voix de Maximus de l'autre côté de la porte.

- C'est si je ne vous transmets pas cette information que vous me tuerez.

Il avait dû frapper, mais je ne l'avais pas entendu. Vlad me serrait toujours contre lui. Entre le feu émeraude qui illuminait son regard et la bosse rigide appuyée contre mon ventre, il devait fortement hésiter à envoyer promener son lieutenant, mais il poussa un soupir déchirant.

- Ne bouge pas d'ici.

Le désir qui me crispait les entrailles se mêla de déception. Vlad me recoiffa et baissa la tête pour me lécher langoureusement le cou une dernière fois.

- Il n'oserait pas me déranger en un tel moment si ce n'était pas important, murmura-t-il avant de reculer pour me regarder. Sinon, je reviens tout de suite, juste le temps de le tuer.

J'aurais volontiers ri si j'avais été certaine qu'il s'agissait d'une plaisanterie.

- Je comprends.

Mon corps, lui, ne comprenait pas du tout. Il tremblait de désir inassouvi, et mon cou était toujours parcouru de vibrations à la fois brûlantes et glaciales. J'y portai la main et touchai les deux trous. Vlad suivit mon mouvement des yeux, qui reprirent immédiatement leur éclat émeraude.

- J'adore voir mes marques sur ta chair.

P.249

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Il montra les dents en un rictus trop prédateur pour être qualifié de sourire.

—Tu vas bientôt le savoir.

J'étendis la main, comme pour l'empêcher d'approcher davantage.

— Pas encore. Je veux d'abord savoir quelles sont tes intentions.

Nouveau sourire, qui fit cette fois-ci apparaître ses canines.

—T'entendre hurler mon nom dans la prochaine heure.

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"Van Helsing l'était aussi, mais dans les films, il bat le vampire à chaque fois. Il ne faut jamais sous-estimer le pouvoir des humains. "

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"- C'est lui qui l'a ordonné, n'est-ce pas? Cet enfoiré t'a fait empaler! Pourquoi? Ça ne lui suffit pas de se prendre pour Dracula, il faut qu'il pousse le fantasme jusqu'au bout?

- Chut, il va t'entendre! souffla Marty.

Il avait pâli, ce que je ne l'avais jamais vu faire, mais j'étais trop furieuse pour m'intéresser à l'amour-propre de Vlad.

- Je m'en fiche. Le nom et le gros château en Roumanie, je veux bien, mais là, c'est de la folie pure...

- Pour l'amour de Dieu, ferme-la! m'interrompit Marty.

- Sage conseil, maugréa Maximus."

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