Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
710 525
Membres
992 769

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

-Si tu épousais Marty, je n'y verrais rien à redire, parce que c'est quelqu'un de bien. Lui...(il pointa Vlad du doigt) non.

Je soupirai.

-Tu as vu les cadavres sur la pelouse, c'est ça ?

Afficher en entier

(Vlad à Leila)

"- Tu n'as jamais demandé pourquoi j'avais proposé de faire de toi un vampire.

(...)

- Je n'ai jamais transformé aucune de mes précédentes maîtresses, car je ne voulais pas qu'elles sentent à quel point elles m'importaient peu. Toi, je t'aimais, mais tu m'as quitté parce que je ne verbalisais pas mes émotions. Cela va probablement se reproduire, mais si tu pouvais ressentir ce que tu représentes pour moi, Leila, - sa voix devint plus profonde - les mots n'auraient plus aucune importance."

Afficher en entier

- tu pensais vraiment qu'une telle personne laisserait sa femme affronter ses ennemis a sa place? son surnom, c'est vlad l'empaleur, pas vlad l’émasculé.

Afficher en entier

« Comme je l'avais craint, je m'étais transformée en Gollum. »

Afficher en entier

http://www.harpercollins.com/browseinside/index.aspx?isbn13=9780062076106

Les 20 premiers % du livre en VO

Source: jeanienefrost.com

Afficher en entier

- Il est machiste ? proposa Marty.

- Exactement.

Je le regardai et vis alors l'ironie sur son visage.

- Quoi ?

- Tu es bien la seule que ça surprend, petite. Tu as épousé un psychopathe qui a survécu à la brutalité ambiante de son enfance en se montrant encore plus brutal. Si tu ajoutes à cela sa transformation en vampire et plusieurs siècles de lutte pour le pouvoir chez les morts-vivants, tu obtiens le salopard déjanté et cruel dont tu es tombée amoureuse.

Afficher en entier

- Essaie de dire aux gens que tu t'appelles Mme Dracula et je te mordrai d'une manière que tu trouveras fort déplaisante.

Afficher en entier

Quand il s'assit et tendit la main comme il l'avait fait lors de mon premier voyage en Roumanie, quelque chose se cassa en moi.

– Non !

Il haussa un sourcil.

– Tu préfères que l'avion s'écrase si tu court-circuites le système électrique accidentellement ? Ne sois pas puérile, tu sais bien que c'est cela ou les gants et nous n'en avons pas.

– Je m'en fiche.

À ma grande horreur, les larmes me montèrent aux yeux, mais j'avais épuisé toutes mes forces pour me libérer, puis tuer mes ravisseurs, donc il ne m'en restait plus pour les combattre.

– Au cours du mois passé, on m'avait rejetée, soufflée dans une explosion, tirée dessus, droguée et séquestrée, mais je préfèrerais traverser cela encore une fois plutôt que de tenir ta main et faire comme si ... comme si tout ce qui s'était passé entre nous n'avait pas d'importance. Ma voix se brisa.

Peut-être que ça ne te fait rien, mais même être près de toi me fait mal et je ne peux pas prétendre que te toucher ne sera pas mille fois pire.

Comme je balayais d'un geste ces larmes traîtresses, je me préparai à sa moquerie. Ou à un autre remontrance froidement pratique quant à la nécessité de cette action au vu de ma condition , mais

Vlad ne dit rien. Il me regarda, son expression passa lentement d'un cynique détachement à une fixité

presque pathologique.

– Je ne veux pas te toucher, moi non plus.

Les mots me firent l'effet d'une gifle, mais avant que je puisse répondre, il poursuivit.

– Personne ne sent comme toi, de sorte que chaque effleurement de ta peau est un rappel cruel de ce que j'ai perdu. Je peux à peine poser les yeux sur toi parceque tu es encore plus belle que je m'étais permis de me le rappeler, et quand j'ai coupé ce fil pour dégager Maximus et que je t'ai sentie partout sur lui, j'ai voulu le tuer plus que je n'avais voulu tuer qui que ce soit d'autre dans ma vie, mais je ne pouvais pas à cause de la promesse que je t'avais faite.

Sa voix s'épaissit.

– Maintenant, assis-toi et prends ma main, Leila. Les pilotes attendent mes ordres pour partir.

Les larmes continuèrent à glisser lentement sur mes joues, mais pour une raison différente cette fois.

– Je compte pour toi.

Les mots furent chuchotés avec une sorte d'étonnement désespéré. Il n'était pas prêt à annuler son voeu sans amour, de toute évidence, mais je m'étais trompée sur l'apathie que je pensais qu'il ressentait. Qu'il ait admis tout ce qui précèdait était assez surprenant, le fait qu'il ait fait cela à portée de voix de ses pilotes n'était pas moins choquant.

Vlad grogna.

– Ne t'inquiètes pas. J'ai l'intention de les tuer dès que nous aurons atterri.

Je ris, quelque chose que je n'aurais pas cru possible il y a cinq minutes.

– Non, tu ne le feras pas.

– Je le ferai s'ils répètent quoique ce soit.

Cela je le croyais, et cela mettait en évidence toutes les raisons pour lesquelles je devrais fuir loin de cet homme mortel, arrogant, et follement complexe, je m'assis et pris sa main. Je pourrais prétendre que je n'avais pas le choix, mais ce serait un mensonge. Il aurait pu envoyer l'un des pilotes chercher des gants. Bon sang, il aurait pu envoyer quelqu'un pour le faire pendant que nous étions chez

Mencheres. De mon côté, j'aurais pu porter le maillot de corps caoutchouté dont mes ravisseurs m'avaient revêtue, les complications de vol n'étant pas une surprise pour moi. Mais aucun de nous deux n'avait fait ces choses. Au fond de nous, nous devions l'avoir voulu tous les deux, peu importe combien c'était douloureux.

Sa main se resserra autour de la mienne et des courants crépitèrent en lui comme s'il leur avait manqué à eux aussi. Je rencontrai son regard et quelquechose d'autre éclata entre nous, pas tangible comme l'électricité qui courait de ma chair à la sienne, mais tout aussi réel. Je remarquai à peine qu'il donnait l'ordre aux pilotes de décoller, et le grondement des moteurs ne put pas rivaliser avec les battements de coeur quand il ramena mes cheveux en arrière pour caresser mon visage.

– Tu n'aurais jamais dû me quitter.

Je tendis la main aussi, passant les doigts dans la barbe de trois jours de sa mâchoire avant de les déplacer plus haut vers la douceur de sa pommette. Tu n'aurais pas dû me faire cela.

Ses lèvres s'ourlèrent en une sorte de sourire.

– Tu ne veux pas vraiment que je t'aime, Leila.

Je laissai échapper un doux rire moqueur.

– C'est cela que tu te dis?

– C'est ce que je sais, dit-il, un peu de colère colorant sa voix.

– Tu te souviens du rêve que je n'arrêtais pas de faire? Murmurai-je. Celui avec la cascade de feu ?

J'ai finalement compris à qui était la voix qui m'avertissait d'en sortir. C'était la mienne, et toi tu es les flammes que je ne pouvais pas supporter bien que j'essaye de toutes mes forces. C'est pourquoi je devais te quitter, Vlad. Si j'étais restée, ton refus de même envisager de m'aimer aurait fini par me détruire.

Puis je fermai les yeux, mettant un doigt sur ses lèvres quand il inspira pour répondre.

– Je ne veux pas me disputer. Là maintenant, je veux faire ce que j'ai essayé de faire quand je me suis retrouvée en rêve dans cet avion il y a quelques jours.

Sur ce, je posai ma tête dans le creux de son épaule, drapant mon autre bras sur sa poitrine. Il se raidit, mais ne fit aucun geste pour me repousser.

– C'est ce que tu as cherché à faire quand tu es venue à moi cette nuit-là? Sa voix était rude.

Je hochai la tête, me demandant s'il était en colère. C'est vrai que c'était une violation de son espace personnel et Vlad était pointilleux sur le fait que les gens le touchent, mais pour ma défense, je pensais que j'étais en train de rêver. . .

Son bras libre glissa autour de moi et la rigidité quitta son corps. Puis quelque chose balaya le haut de ma tête, trop brièvement pour que je puisse dire si c'était son menton ou lèvres. Quelque part au plus profond de moi, ce noeud tordu et rempli de douleur commença à se desserrer.

Tout à coup, je souhaitai que le vol à destination de la Roumanie dure plus de douze heures

Afficher en entier

Maudit sois-tu! pendant que des larmes de joie jaillissaient de mes yeux.

Il m'attrapa, me soulevant à plusieurs centimètres du sol. A cette hauteur, il était au niveau de mes yeux, et le regard sur son visage m'aurais fait reculer d'un pas si j'avais pu.

– Non, dit-il, le mot tomba comme un coup de marteau. Tu es la seule à m'avoir frappé sans représailles, mais tu n'es plus ma maîtresse, alors je ne serai plus aussi indulgent dorénavant.

Je n'avais pas eu l'intention de le frapper. C'est vrai, j'avais voulu le secouer jusqu'à ce que ses crocs s'entrechoquent pour m'avoir laisser croire que mon meilleur ami était mort et avoir attendu que je comprenne pour Marty!-mais cette envie se tarit tandis que que je le regardais dans les yeux. Son expression était si détonante que j'aurais dû avoir peur, mais autre chose que la peur commença à

m'envahir. Impossible de m'en empêcher, je regardai sa bouche. Elle semblait dure, mais si je me penchais en avant de quelques centimètres, je savais que je ne la ressentirais pas ainsi ...

Tout à coup, sa bouche fut sur la mienne, ce qui prouva que j'avais tort. Elle était bien dure. La barbe sur son visage était plus rugueuse, elle aussi, en plus j'aurais des bleus vue la façon avec laquelle il m'avait tirée avec force vers lui.

Et rien ne m'avait jamais semblé meilleur que cela. Un éclair de ravissement éclata en moi, brûlant tout le reste sur son passage. Je répondis à son baiser si férocement que je déchirai ma lèvre sur ses canines, pourtant je ne ressentis pas la piqûre. Tout ce dont j'étais consciente c'était son goût, comme du vin chaud épicé dans le plus sombre des fantasmes. Tandis que ses bras m'écrasaient contre lui, sa chaleur me brûla à travers mes vêtements. La façon brutale et sensuelle dont sa langue s'enroulait avec la mienne, et l'irrésistible besoin que j'avais de le toucher aussi vite que mes mains pouvaient courir sur son corps. J'avais besoin de lui autant que des respirations irrégulières que je reprenais entre ses baisers, mais une autre émotion se montra plus forte, me donnant la force de le repousser, malgré

toutes les cellules de mon corps qui hurlaient en signe de protestation.

– Que fais-tu ? réussis-je à dire.

Son expression n'était rien de moins que féroce, et si son regard s'était encore plus enflammé, j'aurais brûlé en-dessous.

– Tu n'as jamais eu de relations sexuelles alors que tu étais en colère. Je vais te montrer ce que tu as manqué.

A ces mots, le battement entre mes jambes devint douloureusement intense. En dépit de cela, je l'arrêtai quand il fondit pour m'embrasser à nouveau.

– Tu disais que tu ne reprendrais jamais une ex-amante.

Sa bouche descendit le long de à mon cou avec un effet dévastateur.

– Tu as prouvé que tu étais l'exception à mes règles.

Ces lèvres brûlantes rendaient la fraîcheur de ses crocs d'autant plus érotique. Pourtant, une blessure profonde l'emporta sur la passion qui vibrait en moi.

– Pas toutes tes règles.

Vlad fit un bruit trop dur pour être un grognement.

– Tu ne seras pas satisfaite tant que tu ne m'auras pas mis à genoux, n'est-ce pas ?

– Pourquoi pas ? Cela fusa de moi avec toute la témérité de mon coeur encore brisé. J'y suis déjà.

Afficher en entier

– Personne ne sent comme toi, de sorte que chaque effleurement de ta peau est un rappel cruel de ce que j'ai perdu. Je peux à peine poser les yeux sur toi parce-que tu es encore plus belle que je m'étais permis de me le rappeler, et quand j'ai coupé ce fil pour dégager Maximus et que je t'ai sentie partout sur lui, j'ai voulu le tuer plus que je n'avais voulu tuer qui que ce soit d'autre dans ma vie, mais je ne pouvais pas à cause de la promesse que je t'avais faite.

Sa voix s'épaissit. 

– Maintenant, assis-toi et prends ma main, Leila. Les pilotes attendent mes ordres pour partir.

Les larmes continuèrent à glisser lentement sur mes joues, mais pour une raison différente cette fois.

– Je compte pour toi.

Les mots furent chuchotés avec une sorte d'étonnement désespéré. Il n'était pas prêt à annuler son vœu sans amour, de toute évidence, mais je m'étais trompée sur l'apathie que je pensais qu'il ressentait. Qu'il ait admis tout ce qui précèdait était assez surprenant, le fait qu'il ait fait cela à portée de voix de ses pilotes n'était pas moins choquant.

Vlad grogna. 

– Ne t'inquiètes pas. J'ai l'intention de les tuer dès que nous aurons atterri.

Je ris, quelque chose que je n'aurais pas cru possible il y a cinq minutes.

– Non, tu ne le feras pas.

– Je le ferai s'ils répètent quoique ce soit.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode