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Ce fut alors mon tour, et je passai l'alliance au doigt de Vlad tout en promettant de l'aimer, de l'honorer et de le chérir. Aucune explosion de joie ne vint couronner mes paroles. Au contraire, un grand silence se fit lorsque le prêtre déclara que si quelqu'un voyait une objection à notre union, il ou elle devait parler ou se taire à jamais.

A mon grand soulagement, ni mon père ni Marty ne dirent quoi que ce soit. C'était sage de leur part, car l'assistance, tout acquise à la cause du marié, n'aurait pas manqué, en effet, de les faire taire à jamais.

Vinrent alors les mots que je n'aurais jamais cru entendre, mari et femme, suivis par un baiser d'une tendresse infinie qui resterait pour toujours gravé dans ma mémoire.

Les cris de l'assemblée retentirent enfin, et ils étaient assourdissants.

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Je souriais encore lorsque je sortis du couloir... et manquai de rentrer dans Vlad. Ice Ice Baby, too cold! trompetais-je immédiatement en moi-même tout en lu adressant mon sourire le plus candide.

- Salut. Cat me tenait compagnie en attendant que tu reviennes.

Il jeta un coup d'oeil dans la direction où elle avait disparu, puis reporta son attention sur moi.

- Mille quatre cent trente et un.

Je clignai des yeux.

- Pardon ?

- Mon année de naissance. C'est une manière subtile de te dire que je ne suis pas né de la dernière pluie.

J'étouffai un grognement. J'étais déjà démasquée.

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" Je fermai les yeux, ne sachant pas à qui m'excuser en premier. A la caissière, à cause de la remarque de Gretchen sur son pays, ou à Maximus, qui avait maintenant ajouté d'autres sacs à la demi-douzaine qu'il portait déjà. C'est ce qui se passait quand ma soeur se retrouvait avec la carte de crédit de quelqu'un d'autre entre les mains. Vlad avait en effet pour règle que les achats de ses invités soient réglés avec sa carte.

Il risquait bien de reconsidérer cette règle lorsqu'il aurait la facture... "

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-C'est trop bizarre, maugréa

Gretchen. Je vais avoir Dracula pour beau frère.

Sans lui prêter attention, je continuais à fusiller mon père du regard.

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- Mille quatre cent trente et un.

Je clignai des yeux.

- Pardon?

- Mon année de naissance. C'est une manière subtile de te dire que je ne suis pas né de la dernière pluie.

J'étouffai un grognement. J'étais déjà démasquée.

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Vlad attendait en bas de l’escalier. Son smoking, d'un noir strict, aurait dû lui donner une allure trop sévère, mais il avait plutôt l'air d'un ange de la mort sensuel.

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Le ton sur lequel il prononça mon nom me fit soudainement relever la tête. Les yeux de Vlad avaient repris leur teinte cuivrée. Le seul vert qu’on y voyait venait du cercle naturel de ses iris.

- Ne te cache de personne, poursuivi-t-il en dégageant à nouveau mon épaule. Seuls les imbéciles prennent les survivants et leurs cicatrices en pitié. Laisse-les dire.

Il me tendit alors la main, ses propres cicatrices passées s’entrecroisant sur sa peau comme de minuscules rayures pales.

- Viens.

J’acceptai son invitation et repoussai les émotions qui me comprimaient le cœur. Je commençais immédiatement à chanter dans ma tête pour masquer la plus dangereuse de mes pensées avant qu’elle l’atteigne.

C’est une des raisons pour lesquelles je t’aime. Tu ne cèdes devant personne.

Malheureusement, c’est aussi ce qui risquait de nous séparer.

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Vlad était peut-être un salopard déjanté et cruel, mais il était mon salopard déjanté et cruel, et nous allions surmonter cette épreuve ensemble.

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— Ce n'est pas la peine de me rappeler combien tu es impitoyable, dis-je avec aigreur.

— Visiblement, si, répliqua-t-il en me prenant le visage dans ses mains chaudes comme de la braise. Tu prétends m'aimer, mais l'homme que tu aimes n'existe pas. Cet homme n'aurait pas survécu aux années de coups et de viols durant sa jeunesse, parce que seule la haine lui a permis de résister.

Cet homme n'aurait pas empalé vingt mille prisonniers pour terroriser une armée ennemie parce que la peur était le seul avantage tactique dont il disposait, et cet homme n'aurait pas emprisonné l'un de ses meilleurs amis pour un mensonge à propos d'une femme dont il était amoureux. Je ne suis pas cet homme.

Il ôta ses mains de mon visage et recula.

Son expression était toujours d'une intensité

effrayante.

— Tu vois, tu ne veux pas que moi, je t'aime. Ce que tu veux, c'est le Vlad que tu as inventé. Le chevalier, alors que je suis le dragon, et que je le serai toujours.

Il quitta le salon, et cette fois, il resta sourd à mes appels. Il ne me fallut que quelques secondes pour courir jusqu'au couloir, mais il avait déjà disparu, la fenêtre

à double battant claquant sur son passage

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Comme je le craignais, je m'étais transformée en Gollum.

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