Le prince travesti - L'île des esclaves - Le triomphe de l'amour
Auteur
- Pierre De Marivaux (Écrivain)
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Classement en biblio - 25 lecteurs
extrait
L'Île des esclaves
Arlequin à Iphicrate :
Écoute, je te défends de mourir par malice ; par maladie, passe, je te le permets.
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Trois textes très appréciables, qui poussent à réfléchir et font sourire en même temps. Après cette lecture je pense essayer d'assister aux représentations des pièces, je pense que l'humour n'en sera que plus prononcé.
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Première pièce de théâtre ancienne que j'ai vraiment apprécié. Assez surprise de remarquer que plusieurs histoires modernes ressemblent beaucoup à cette pièce.
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Des classiques dans la comédie de Marivaux surtout L'Ile des Esclaves.
Ils ont tous comme point commun le déguisement Spoiler(cliquez pour révéler) soit un prince en ministre, ou une princesse en homme ou tout simplement l'inversion maître/valet pour arriver au but ultime : l'amour. Mais aussi le personnage Arlequin (de la comédie dell'arte, désolé pour la faute d'orthographe) qui m'a fait rire en tant que valet à chaque fois.
Toutes ces comédies se lisent très facilement Spoiler(cliquez pour révéler) surtout L'Ile des Esclaves qui est en 1 acte mais avec toutes une morale.
Donc je vous conseille de le lire pour vos études, pour passer un bon moment ou tout simplement pour réfléchir car ce sont des comédies avec une certaine réflexion au fond.
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Date de sortie
Le prince travesti - L'île des esclaves - Le triomphe de l'amour
- France : 1993-01-07 - Poche (Français)
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Résumé
Le Prince travesti, L'Ile des Esclaves, Le Triomphe de l'Amour : trois pièces sur le masque, sur le travestissement.
Se déguiser en sujet quand on est Prince (Le Prince travesti), jouer au Maître quand on est valet (L'Ile des Esclaves), se travestir en homme quand on est une Princesse (Le Triomphe de l'Amour) : trois formes de mascarade. La mascarade est jeu, libération : elle est l'essence même du théâtre. C'est aussi le moyen de susciter le rêve d'un monde plus clair et plus joyeux, dans lequel le rire aurait la vertu de se rire des vertus composées et compassées.
Un rêve aussi peu sérieux - et aussi grave - que le théâtre.
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