Le Procès

Un des premiers livres que j'abandonne depuis des années. J'avais commencé ce livre car j'essaye toujours de diversifier mes lectures et de découvrir de nouveaux classiques pour ma culture personnelle. Adorant commencer des livres en ayant complètement oublié le résumé, j'ai été prise au dépourvu par ce livre. L'atmosphère est vraiment particulière et le comique est tangible. Malheureusement, ce n'est vraiment pas le genre de livre que j'apprécie même si j'y perçois l'interêt de la chose et sa qualité d'écriture.

Kafka, ce n'est pas pour moi, tant pis !

C'est un livre dans lequel on retrouve tout l'absurde kafkaïen, avec son côté réaliste et humour noir. C'est édifiant, effrayant, mais, hélas, réaliste, tant Franz Kafka peint avec vie l'absurde réalité de notre existence....

J'apprécie parfois les histoire sombres, voire tristes, violentes mais là...

Le malaise psychologique que m'a inspiré Le procès me surprend encore après toutes ces années...

La perversité et le réalisme des descriptions ont eu raison de moi. Il fait partie de la très courte liste de livres que je n'ai pas finis dans ma vie...

Je ne m'attendais pas à rire en lisant ce livre. Certes on a tout ce côté critique de l'administration, des procédures et de la justice, mais pour les gens qui savent apprécier l'humour absurde, certaines scènes sont très drôles. Je n'ai pas eu de problèmes concernant la mise en forme du texte car je l'ai écouté en audiobook mais la fin m'a quand même parue soudaine. Bref, un livre que j'ai plus apprécié que je ne l'aurais cru.

Étant en droit, je me suis dit que j'allais me lancer dans ce qui est décrit comme une lecture essentielle. L'idée est intéressante, on comprend très vite l'idée de l'auteur, la critique du système judiciaire est très claire. Au-delà de ça, la mise en page en bloc de texte ininterrompu rend l'histoire encore plus étouffante et complique un écrit déjà compliqué.

J'ai n'ai pas aimé plus que ça, c'est fait pour n'avoir aucun sens et ce n'est pas quelque chose de très agréable à lire, mais je suis contente de l'avoir lu.

C'est un livre très intéressant, mais la forme m'a vraiment donné du mal : les dialogues n'allant pas toujours à la ligne (et donc des paragraphes qui sont de gros pavés), les noms souvent abrégés, ce genre de détails qui empêche de vraiment s'immerger dans l'histoire et dans la critique qu'elle induit.

Ça reste cependant une lecture intéressante.

Un livre auquel je n'ai rien compris, complètement absurde, on ne sait même pas de quoi Joseph K est accusé... Mais c'est tout de même un classique à lire et qui permet de découvrir d'autres horizons littéraires.

Roman inachevé et posthume, "Le Procès" n'est pas facile à comprendre et j'ai eu du mal à entrer dans le récit. J'y suis resté étrangère, comme quand on lit sens s'impliquer en restant à l’extérieur de l'histoire. On nage ici dans l'absurde, que ce soit les personnages, la justice, la bureaucratie ou les relations humaines. Le fait de ne pas connaître la cause du procès de K est frustrant et perturbant, tout comme le personnage lui-même.

Il n'y a pas vraiment de logique, aussi bien dans le déroulement du récit que dans le discour des personnages. L'atmosphère y est particulière, oppressante et l'histoire ressemble à un labyrinthe fait de personnages étranges et d'indices peu clairs.

Y a-t-il des métaphores ? Peut-être. Y a-t-il des messages cachés ou sous-jacents ? surement. Cependant, cela m'a semblé assez nébuleux et confus. Il y a plus de questions que de réponses au final. Et tout comme dans "La Métaphore", j'ai trouvé le ton un peu froid et sans émotions.

En ce qui me concerne, ce fut une lecture étrange, intrigante et peu aisée. Cela peut se comprendre dans le fait que cette histoire soit incomplète avec des pièces manquantes. Mais personnellement, Je ne pense pas que le style de l'auteur soit fait pour moi.

Livre que j'ai trouvé long et pas très attractif. J'ai eu beaucoup de mal à avancer dans l'histoire et pour aller au bout du livre

Un matin, Josef K. est arrêté par deux hommes de main : on lui fait savoir qu'il y a désormais un procès. 300 pages plus loin, Josef K. est exécuté par deux autres hommes de main. Que s'est-il passé entre temps ? À vrai dire rien, si ce n'est des rencontres.

Dans la vie normale, le crime cherche le châtiment (cf. Dostoïevski), ici le châtiment (l'arrestation) cherche désespérément le crime, si bien que K. n'oppose aucune résistance à son exécution. Pourquoi ?