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"Voyant qu'il n'y avait plus personne autour d'eux qui puisse l'arrêter, le comte plaqua sa femme contre le mur et pressa la totalité de son corps contre le sien.

"Ouaf, dit son épouse. Pas maintenant."

Le comte frotta son nez contre le cou d'Alexia, l'embrassant et léchant doucement juste au-dessous de l'oreille. "Juste un instant, dit-il, j'ai besoin de m'assurer que tu es là, saine et sauve, et que tu es mienne."

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-Oh, balivernes, soyez raisonnable Tunstell, nous ne sommes pas dans un mélodrame shakespearien, nous sommes en 1870 : le mariage est une question de pratique. Il doit être traité ainsi.

-Mais Lord Maccon et vous vous êtes marié par amour.

Lady Maccon soupira : -Et comment savez vous cela ?

-Personne d'autre ne supporterait le comte !

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— Qui diable êtes-vous ? demanda Alexia, si irritée par une interférence aussi cavalière qu’elle en utilisait un langage vraiment vulgaire.

— Le commandant Channing Channing des Chesterfield Channings », dit l’homme.

Alexia en resta bouche bée. Pas étonnant qu’il soit aussi imbu de lui-même. On ne pouvait que l’être, si l’on devait peiner toute sa vie sous le poids d’un tel nom.

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Lord Maccon se déplaçait vite, et il arborait un pelage sombre et moucheté qui le faisait disparaître presque en entier dans les ombres, à l'exception de ses yeux jaunes. A plus d'une occasion, sa femme lui avait dit qu'il était beau sous sa forme de loup, elle ne lui avait pourtant jamais fait de compliment alors qu'il était humain. Il faudrait qu'il lui pose la question. Conall rumina un instant cette idée. Ou pas.

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Lady Maccon se leva pour l’aider à passer sa cape, mais se rassit avant de pouvoir le faire. Elle ne tenait toujours pas bien sur ses jambes.

Lord Maccon cessa aussitôt de secouer le vêtement pour le déplier et s’agenouilla, nu, devant elle.

« Qu’est-ce qui ne va pas ? cria-t-il presque.

— Quoi ? » Ivy se retourna pour voir ce qui se passait, aperçut le derrière nu du comte, poussa un cri aigu et se détourna en s’éventant avec une main gantée.

« Ne t’inquiète pas, Conall. Tu troubles Ivy, grommela lady Maccon.

— Il y a toujours quelque chose pour troubler Mlle Hisselpenny. Toi, c’est différent. Tu ne fais pas ce genre de choses, femme. Tu n’es pas féminine à ce point.

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« Pourquoi n’arrêtez-vous pas d’appeler Alexia une briseuse de malédiction ? s’interrogea Ivy.

— Tout à fait. Elle est une malédiction tout court, précisa inutilement Félicité.

— Ma chère sœur, tu as vraiment toujours une gentillesse à la bouche », répliqua lady Maccon.

Félicité lui jeta un regard sombre.

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« Qu'est-ce que tu fabriques, mari ? » s’enquit-elle d’une voix que le soupçon rendait aussi onctueuse que du beurre.

« Toutes mes excuses, ma chère. »

Lady Maccon détestait absolument que son mari l’appelle sa « chère ». Cela signifiait qu’il mijotait quelque chose mais n’allait pas lui en parler.

« Il faut que je coure vite au bureau tôt ce soir. Quelque chose d’important est arrivé au BUR. » La cape et le fait qu’on voyait ses canines incitèrent Alexia à penser qu’il entendait courir pour de vrai, sous sa forme de loup. Les évènements devaient nécessiter une attention urgente, en effet. Lord Maccon préférait d’ordinaire arriver au bureau dans une voiture, avec du style et du confort, pas de la fourrure.

« Vraiment ? » marmonna Alexia.

Le comte commença à border les couvertures autour de sa femme. Ses grandes mains étaient d’une douceur inattendue. Ses canines disparurent lorsqu’il toucha son épouse paranaturelle. Durant ce bref instant, il fut humain.

« Vas-tu à une réunion du Cabinet fantôme, ce soir ? » demanda-t-il.

Alexia réfléchit. Était-on jeudi ? « Oui.

— Ça risque d’être intéressant », la prévint le comte pour l’aiguillonner.

Alexia s’assit, défaisant tous ses jolis travaux de bordage. « Quoi ? Pourquoi ? » Les couvertures tombèrent, révélant que les appas de lady Maccon étaient considérables et ne résultaient pas d’artifices à la mode tels qu’un corset rembourré ou trop serré. Bien qu’étant familier de ce fait chaque nuit, lord Maccon avait tendance à l’attirer sur des balcons fermés pendant les bals pour vérifier et « s’assurer » que cette situation perdurait.

« Je suis vraiment désolé de te réveiller si tôt, ma chérie. » Encore cette détestable formulation. « Je promets de me faire pardonner demain matin. » Il agita des sourcils lascifs dans sa direction et se pencha pour lui donner un long baiser consciencieux.

Lady Maccon crachouilla et repoussa la vaste poitrine du comte, sans le moindre succès.

« Conall, qu’est-ce qui se passe ? »

Mais son irritant loup-garou de mari était déjà sorti de la pièce.

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« Qu’est-ce qui est terminé ? » Pendant que le visage impérieux de sa femme le regardait de haut, lord Maccon prit un instant pour se demander pourquoi il avait désiré si ardemment avoir une telle femme dans sa vie. Alexia se pencha et lui mordilla la poitrine. Ah, oui. Initiative et ingéniosité.

Les mordillements cessèrent. « Alors ? » Et manipulation.

Les yeux fauves et troubles du comte s’étrécirent. « Est-ce que ton fichu cerveau cesse parfois de fonctionner ? »

Alexia répliqua par un « en fait, oui » malicieux. Elle observa l’angle de la lumière du soleil qui se glissait autour d’une lourde draperie de velours. « Il semblerait que tu sois capable de le faire cesser de fonctionner pendant deux bonnes heures environ.

— C’est tout ? Qu’en dites-vous, lady Maccon, devrions-nous tenter les trois heures ? »

Alexia lui donna de petites tapes mais le cœur n’y était pas. « N’es-tu pas censé être trop vieux pour ce genre d’exercice éprouvant ?

— Quelle drôle de remarque », dit le comte en soufflant par le nez, offensé. « Je n’ai qu’un peu plus de deux cents ans, un vrai louveteau. »

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"Il faut que tu le fasses, en dépit de tes lois de la meute et de ta fierté de loup-garou. Suis mon conseil sur ce sujet: souviens-toi, tu m'as épousée pour mon bon sens."

Il grogna mais ne détourna pas la tête. "Je t'ai épousée pour ton physique et pour t'empêcher d'utiliser ta bouche. Regarde un peu où ça m'a conduit.

- Oh, Conall, comme c'est gentil." Lady Maccon leva les yeux au ciel, puis déposa un baiser, très vite, sur ses lèvres, là, devant toute la table.

C'était le plus sûr moyen de faire taire la meute: en scandaliser tous les membres. Même Conall en resta sans voix, la bouche entrouverte.

Spoiler(cliquez pour révéler)"Bonne nouvelle, lady Kingair, dit Alexia, mon mari est d'accord pour vous métamorphoser."

Le Béta de Kingair rit, brisant le silence sidéré. "Je crois qu'elle est bien une Alpha, bien qu'elle soit née briseuse de malédiction. Je n'aurais jamais cru que tu la laisserais porter la culotte, vieux loup."

Lord Maccon se leva lentement et se pencha en avant en regardant Dubh. "Tu veux me défier une nouvelle fois, louveteau? Je peux te donner une correction sous ma forme de loup aussi bien que sous ma forme humaine."

Dubh se dépêcha de se tourner sur le côté en découvrant son cou. Sur ce sujet, il était apparament d'accord avec le comte.

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- Je pensais à la boxe, ou au tennis sur gazon."

Lady Maccon étouffa un rire en se remplissant la bouche d'une fourchetée de champignons. Son mari à elle, se pavanant tout habillé de blanc avec un petit bâton muni d'un filet à la main, quelle idée. Elle avala.

"De merveilleuses idées,très cher, dit-elle pince-sans-rire tandis que ces yeux étincelants dansaient. As-tu pensé au golf? Tout à fait assorti à ton héritage et à ton sens du style."

Conall lui renvoya un regard noir, mais un léger sourire flottait sur ces lèvres. "Voyons, voyons, femme, il n'y a pas lieu de m'insulter de façon si éhontée."

Alexia n'était pas certaine de savoir si elle l'insultait en suggérant le golf, ou si elle insultait le golf en suggérant qu'il en était le pratiquant idéal.

Lady Kingair observa cet échange de réparties avec fascination et répugnance. "Mon Dieu, j'avais entendu dire que vous vous étiez mariés par amour mais je n'arrivais pas à le croire."

Lady Maccon souffla par le nez. "Pour quelle autre raison une femme l'épouserait-il?

- Ou elle", approuva lord Maccon.

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