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Londres, janvier 1901 : la reine Victoria vient de mourir. Comme la coutume l'impose, les familles se rendent au cimetière. Leurs tombes étant mitoyennes, les Waterhouse et les Coleman vont faire connaissance et leurs petites filles vont immédiatement se lier d'amitié. Pourtant, les familles n'ont pas grand-chose en commun. L'une incarne les valeurs traditionnelles de l'ère victorienne et l'autre aspire à plus de liberté. Dans le cimetière, véritable coeur du roman, Lavinia et Maude se retrouvent souvent et partagent leurs jeux et leurs secrets avec Simon, le fils du fossoyeur, au grand dam de leurs parents. Lavinia est élevée dans le respect des principes alors que Maude est livrée à elle-même : sa mère, Kitty Coleman, vit dans ses propres chimères. Ni la lecture, ni le jardinage, ni même une liaison ne suffisent à lui donner goût à la vie. Jusqu'au jour où elle découvre la cause des suffragettes. La vie des deux familles en sera bouleversée à jamais.
- Ce que les gens font de leurs morts reflète en général ce qu'ils souhaiteraient eux plutôt que ce que souhaitait l'être cher qui les a quittés? Seul un homme d'une totale abnégation respectera au pied de la lettre les désirs de son épouse sans se laisser influencer ni par ses désirs et goûts personnels, ni par ceux de la société. J'osais espérer que votre père était de ceux là.
- Mais il est clair que si ces monuments ne veulent rien dire pour les défunts, que leur importe la façon dont nous disposeront d'eux? Par conséquent, ne devrions nous pas décider par nous même du sort de leurs dépouilles? Après tout c'est nous qui restons. J'ai souvent pensé que cet endroit était davantage pour les vivants que pour les morts. Nous concevons le style de la tombe pour nous rappeler les défunts et les souvenirs qu'ils nous ont laissés.
Une belle histoire originale. Premier roman que je lis de Tracy Chevalier. Une belle découverte. Ce roman parle d'amitié, de la condition de la femme et du début du mouvement des suffragettes.
Je m'attendais à nettement mieux de la part de Tracy Chevalier. Les personnages sont de purs stéréotypes, les dialogues sonnent souvent comme des casseroles vides, l'histoire qui semblait si prometteuse est d'une mollesse soporifique.
Le sujet (qui me tient fort à cœur!) aurait mérité un style et un ton plus énergique et moins chichiteux.
Le récital des anges n'est - à mon sens - pas le meilleur roman de l'autrice. Nous y retrouvons certes sa jolie plume et son goût pour les intrigues qui prennent doucement de l'ampleur ; pour autant, l'intrigue peine à pleinement intéressée durant la première moitié.
Ce roman dure à peine 10 ans. Le temps d’un règne : il débute aux funérailles de la reine Victoria en 1901 et se termine à la mort de son successeur le roi Edouard.
Ce roman suit une histoire, mais ce n’est pas elle que je retiens. Car il est bien plus fait d’états d’esprit et de relations que d’une histoire. Des relations de couple. Des relations entre voisin.e.s. Des relations amicales. Des relations entre personnes de différentes classes sociales. De jalousie, d’envie, d’espoir. De la trivialité des convenances, de la fierté de servir une noble cause, des non-dits, des secrets. Les différents personnages qui narrent l’histoire à tour de rôle l’imprègnent trop fortement pour arriver à dissocier leurs états d’esprit de l’histoire en tant que telle.
La douceur du début du roman nous porte lentement vers les drames finaux. Sa construction est fine et intelligente, je me suis laissée menée sans heurts, même lorsque j’ai été choquée par le drame. Il faut dire que j’ai été soutenue par deux personnages. D’abord Maude, la fade Maude écrasée entre une mère scintillante et une amie aux transports excessifs. Ensuite Simon, qui tel le lutin Puck du Songe d’une nuit d’été, transmet les informations entre chaque protagoniste et crée donc l’action. Mais tous les personnages sont touchants et complexes à leur façon : le couple Kitty et Richard Coleman qui peine à se (re)trouver, le couple Gertrude et Albert Waterhouse fasciné par Kitty, Lavinia (qui m’a le plus agacée mais qui est sans doute la plus réaliste dans ses mécanismes mentaux), Jenny, Mrs Baker et Mr Jackson.
Il s’agit de mon troisième roman de Tracy Chevalier et je le trouve très différent de La jeune fille à la perle et de La dame à la licorne, d’abord parce que le récit ne tourne pas autour de l’art ou d’un savoir-faire. Il m’a beaucoup fait penser au début d’Expiation de Ian McEwan, cette atmosphère légère vue de l’extérieur mais porteuse de grandes tensions internes.
L'ère victorienne ainsi que le soulèvement des femmes pour leur conditions. La disparition d'une reine et l'apparition des suffragettes. Quelle beauté, rempli de mélancolie parce que l'amie de l'héroine se complait dans le deuil de cette reine, les combats d'une époque qui sont dépeint avec justesse, autant que leurs injustices. Et la mélodie des anges de marbre dans les cimetières, les étoiles dans la nuit observées par un télescope. J'ai vraiment aimé alors qu'en le commençant je n'étais pas vraiment convaincue. Comme quoi c'est parfois là que se cachent les plus belles surprises, lorsque l'on découvre une pépite par son titre et sa couverture, puis plus tard jusque dans les mots qui le compose.
Encore un superbe livre de Tracy Chevalier. J'adore cette auteur qui donne une trame historique à tous ses romans. Ici, l'histoire se passe à Londres au tout début du XXème siècle, dans une Angleterre encore très conservatrice.
En donnant tour à tour la parole à chacun de ses personnages, qu'il s'agisse des deux fillettes Maude et Livy ou des mères de famille bourgeoises Kitty Coleman et Gertrude Waterhouse, l'auteur raconte toute une époque et traite notamment de l'émancipation et du droit de vote des femmes.
J'ai eu un peu plus de mal à "rentrer" dans ce livre, mais une fois passé le début, il est intéressant. L'émancipation des femmes "relève" le roman et la vie de Lavinia et Maude?
Très beau roman qui nous emmène début du siècle passé, un rappel des coutumes anciennes, des règles de savoir vivre et la difficulté des femmes à s'émanciper
Résumé
Londres, janvier 1901 : la reine Victoria vient de mourir. Comme la coutume l'impose, les familles se rendent au cimetière. Leurs tombes étant mitoyennes, les Waterhouse et les Coleman vont faire connaissance et leurs petites filles vont immédiatement se lier d'amitié. Pourtant, les familles n'ont pas grand-chose en commun. L'une incarne les valeurs traditionnelles de l'ère victorienne et l'autre aspire à plus de liberté. Dans le cimetière, véritable coeur du roman, Lavinia et Maude se retrouvent souvent et partagent leurs jeux et leurs secrets avec Simon, le fils du fossoyeur, au grand dam de leurs parents. Lavinia est élevée dans le respect des principes alors que Maude est livrée à elle-même : sa mère, Kitty Coleman, vit dans ses propres chimères. Ni la lecture, ni le jardinage, ni même une liaison ne suffisent à lui donner goût à la vie. Jusqu'au jour où elle découvre la cause des suffragettes. La vie des deux familles en sera bouleversée à jamais.
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