Le Remake

Vous aimez les histoires de fantômes, de sorcières, de fantômes de sorcières ? Bienvenue à Pilot's Creek ! Inspiré de la légende de la petite sorcière de Pilot Knob dans le Kentucky, ce roman choral nous offre quatre versions : la légende urbaine racontée au coin du feu, la première adaptation en film dans les années 70, le remake des années 90, et enfin le podcast type "true crime" qui revient sur les évènements.

Ce livre se lit tellement facilement que c'en est presque déstabilisant, j'avais l'impression d'y passer cinq minutes quand une heure était passée, je pense qu'on peut en conclure que la lecture est agréable ! La première partie sous forme de légende urbaine, racontée au coin du feu, met de suite le lecteur dans l'ambiance, c'est vraiment une excellente façon d'introduire la légende qui va servir de toile de fond à tout ça. Outre Ella Louise Ford et sa fille Jessica, les sorcières de la légende de Pilot's Creek, l'histoire est centrée sur Amber Pendleton, enfant actrice des années 70 qui joue d'abord Jessica dans le film d'origine, puis Ella Louise dans le remake, et bien sûr sur les drames qui entourent les tournages, car que serait un film d'horreur sans ses anecdotes flippantes et mystérieuses, parfois même dramatiques, de tournage ?

La partie que j'ai peut-être le moins aimée, et encore, je l'ai quand même appréciée, serait la dernière car le reporter du podcast m'était assez antipathique, mais c'est très personnel et je ne pense pas que ça perturbe particulièrement la lecture de ne pas apprécier le narrateur tant il est secondaire par rapport aux évènements. Tout au long du bouquin, on est amenés à se demander si le surnaturel est vraiment à l'œuvre ou si c'est le pouvoir de persuasion des légendes urbaines qui fait son travail et j'ai beaucoup aimé cette ambiguïté. Globalement ce fut une excellente lecture, j'ai vraiment adoré ce livre, je vous recommande chaudement de lui donner une chance !

Alors oui... l'idée de départ est excellente. Le cadre de l'histoire, le tournage d'un film d'horreur qui va tourner à la légende urbaine, est plutôt originale. L'auteur également va faire beaucoup de référence à différents films cultes, et nous présenter l'envers du décor des tournages des films de genres dans les années 70.

Malheureusement pour moi, la sauce n'a pas prise du tout..... Une fois l'histoire démarrée, que de longueurs... La personnage principale est insupportable mais, finalement, aucun ne va relever le niveau... aucun n'est creusé.... Je m'attendais à une ambiance effrayante, mais non.... aucun suspens.... Le roman est décomposée en 4 parties que j'ai trouvé de moins en moins intéressante....

Bref.... un flop pour moi... C'est dommage car je trouve que le pitch promettais beaucoup....

Je ne sais pas vraiment quoi dire, ou plutôt je n’arrive pas à savoir ce que j’ai pensé de cette histoire.

C’est une histoire de fantômes. Dans tous les sens du terme. Spectres réels, esprits fantasmés et représentés, fantômes du passé et démons de l’esprit des personnages.

Tout au long du récit, il nous est impossible de décréter si nos deux fantômes de sorcières sont bien réels ou simplement le fruit de l’imagination et du traumatisme engendré par les des années de légende urbaine et de crainte.

Oui, c’est aussi une histoire de sorcières, ou de femmes marginalisées pour diverses régions, dans une région reculée, autant craintes que détestées, victime de la folie des hommes et de leurs croyances, au destin tragique et injuste. Les rumeurs et les … peuvent tuer. C’est donc l’histoire de la vengeance de deux sorcières injustement condamnées, ou de l’histoire continue de femmes indépendantes et fortes victimes des hommes.

C’est principalement une histoire de fantômes. On suit Amber, le personnage principal sur trois moments de sa vie. De sa rencontre avec les spectres à la conclusion dramatique d’une vie à être hantée par eux, ou du traumatisme qui en a découlé.

Ce n’est pas effrayant. Quelques passages pourraient donner des sueurs, mais pas de cris de terreur ou de frissons incontrôlés. Pour être tout à fait franche, j’ai terminé ma lecture en diagonale. Je ne l’ai pas abandonné car je voulais connaître le fin mot de l’histoire. C’est dommage. J’attendais plus de frissons de la part de cette lecture, je l’avoue.

A la fois roman fantastique, sur la folie, les malédictions et le cinéma d'horreur, LE REMAKE nous raconte l'histoire de Amber marquée à jamais par des évènements traumatisants.

Nous sommes dans les années 30 dans une petite ville des US et une jeune fille de bonne famille, Ella Louise, s'éloigne de celle-ci pour pouvoir exercer ses dons. Dons que sa fille Jessica possédera aussi. Vivant toutes deux dans la forêt, les habitants de la ville viennent discrétement les voir lorsqu'ils ont un problème. Jusqu'au jour où un drame survient. De rage et de colère plusieurs hommes accusent les deux "sorcières" et les brûlent, par accident pour la petite Jessica. Dès lors, la malédiction est en marche. Elle frappera les assassins mais aussi les réalisateurs qui vont tenter de tourner un film sur ce drame. Car Ella et Jessica exercent une véritable fascination sur tous ceux qui s'approchent de leur ville et de la tombe de Jessica. De même, le 1er film tourné va connaître du succès encore des années plus tard, d'où la volonté de tourner un remake.

A l'instar des personnages du roman je n'ai pu m'empêcher de ressentir de la fascination pour Jessica et sa mère. Il n'y a pas de scènes gores ou d'horreur à proprement parler mais plutôt une emprise psychologique. Est-elle réelle ou le fruit de l'imagination exacerbée de Amber, qui interprétera à neuf ans Jessica, brûlée au même âge ? J'ai beaucoup aimé aussi le recul que l'auteur prend sur le ciné et notamment sur le genre horreur qui a malheureusement tendance à enfermer ses acteurs dans un rôle. Amber en fera les frais toute sa vie, elle qui avait déjà subi un gros traumatisme sur le tournage du 1er film. Le 2nd sera pire encore. De fait, cela va entraîner la naissance d'une légende urbaine et attirera de nombreux curieux. Saurons-nous où est la vérité ? Ce qui est sûr, c'est que ce qui sont responsables de ces tueries seront hantés à jamais par ce qu'ils ont fait, tout comme plusieurs protagonistes des deux tournages. A-t-on le droit de se servir d'une histoire vraie et dramatique pour en faire un spectacle voyeur et accrocheur ? La question se pose...

Je ne lis pas souvent des romans d’horreur ou de science-fiction, contrairement à ce que je regarde sur le petit ou grand écran. Toutefois, le résumé m’avait donné l’impression de lire le script d’un film que j’aurais très bien pu choisir dans le catalogue d’un des programmes de streaming auquel je suis abonnée. C’est pourquoi je l’avais choisi.

Mais même si la lecture en soi s’est plus ou moins bien passée, il ne sera pas un des livres que je retiendrai pour cette année. Pourquoi ce sentiment mitigé ? Je vous explique.

Tout est centré sur une histoire très ancienne qui a eu lieu durant les années 30. Une mère et sa fille, isolées dans les bois, étaient perçues comme des sorcières de par leur connaissance en herboristerie notamment, dans l’Amérique profonde, à Pilot’s Creek. Cela aurait très bien pu se passer jusqu’à ce qu’elles soient mêlées à un drame. Pour se venger, des habitants brûlent la mère et sa fille. De là, débute une légende urbaine qui se perpétua de longues décennies et un cinéaste décida d’en produire un film.

L’histoire se découpe en plusieurs parties, chacune durant le vingtième siècle mais pendant des décennies différentes avec ce « conte » comme pièce centrale. L’aspect cinématographique est très appuyé et les fans y trouveront leur compte.

L’aspect entourant la légende urbaine m’a assez bien plu et j’ai trouvé que l’auteur, Clay McLeod Chapman savait assez bien distiller une bonne ambiance de film d’angoisse.

Ce qui a coincé chez moi est, en fait, la fin dont je n’en ai pas retenu grand-chose. Alors qu’un petit élément peut tout changer mon rapport au livre, je n’ai pas eu la petite étincelle qui aurait pu clore le livre en beauté. Je l’ai trouvée bien trop expéditive par rapport au reste du bouquin et suis donc restée sur ma faim. Dommage.

Il ne s’agit que de mon humble avis personnel. Je vous invite à vous procurer le livre et à le lire afin de vous en forger le vôtre.

Depuis quelques années, je suis devenue une aficionado de films d'horreur. J'apprécie en regarder, me faire peur, me challenger, je suis d'ailleurs très bon public même si dernièrement, je me suis rendue compte que je commençais à être un peu plus exigeante. A contrario, je lis très peu de thrillers, et encore moins de thrillers fantastiques. Alors lire un thriller fantastique horrifique m'a clairement changé et ça fait du bien, surtout que Le Remake se révéla être une bonne lecture !

L'atout majeur du roman est sans nul doute le style d'écriture de l'auteur, le découpage de l'histoire et donc l'ambiance qui se dégage du roman. Le roman se découpe en quatre grande partie.

La première, assez courte, se situe dans la petite ville américaine de Pilot's Creek en 1951 et un narrateur (de notre époque, je suppose) nous narre l'histoire d'Ella Louise et de sa fille Jessica Ford, brûlées car considérées comme des sorcières et enterrées en deux endroits différents. Cette première partie est la meilleure à mon sens car le narrateur, le conteur, s'adresse directement au lecteur. C'est un peu comme si on était avec lui, autour d'un feu de camp en pleine nuit et que celui-ci nous racontait une histoire bien flippante de sorcellerie et de malédiction ! Cela donne le ton ! La seconde partie se déroule en 1971 et se consacre à un premier film sur cette légende urbaine qu'est la petite sorcière de Pilot's Creek, intitulé "Ne marchez pas sur la tombe de Jessica". Cette partie se concentre sur la jeune Amber, 9 ans, qui va auditionner pour le rôle de la petite sorcière Jessica dans le rôle phare. Et le tournage sur place ne va pas se passer comme prévu et Amber va vivre l'expérience la plus traumatisante qui soit ! La troisième partie se place en 1995 où un remake du film est décidé, "Je sais ce que tu as fais sur la tombe de Jessica" et Amber, adulte, dont le rôle de Jessica a marqué et lui a collé à la peau toute sa vie malgré elle, se voit revenir sur le devant de la scène mais dans le rôle de la mère Ella Louise, sur les lieux où tout a commencé et où un nouveau drame va avoir lieu. Et la dernière partie se déroule en 2016, où un jeune reporter, travaillant à l'élaboration d'un podcast, prend contact avec Amber, âgée d'une cinquantaine d'années, et retourne sur les lieux de Pilot's Creed où cette fois, Amber comprendra ce qu'on attendait d'elle depuis le début.

En fait, en y regardant bien, il y a somme toute peu de dialogues, tout est dans la narration et les descriptions très précises. Je peux reprocher beaucoup de répétitions même si là, elles sont sans aucun doute justifiées de par le thème de l'histoire, l'ambiance pesante et dramatique du récit. Il y a aussi quelques passages de scripts bien sympathiques. J'ai aimé le fait que le cinéma ait une grande importance, cela fait un clin de plus au cinéma horrifique que j'apprécie. Si je n'ai pas eu spécialement peur alors que je lisais le roman la nuit, l'ambiance ne m'en a pas paru moins lourde et angoissante, bien au contraire. Quelques passages se sont révélés bien difficiles à lire. Le symbole du serpent qui se mord la queue prend tout son sens, symbole de l'Ouroboros, de l'infini, de ce cercle sans fin... c'était judicieux, d'autant plus avec le parallèle des adaptations, des remakes, etc... De plus, en faisant une petite recherche, j'ai pu me rendre compte qu'il s'agissait là d'une vraie légende urbaine et l'auteur s'en est inspiré, ni plus ni moins ! Ce qui est aussi un bon point, c'est que durant toute ma lecture, je n'arrêtais pas de me poser des questions sur ce qui était réel et irréel, l'auteur nous plongeant dans une certaine confusion car roman "fantastique" ou non, au final ?

Ella Louise et Jessica étaient innocentes à bien des égards. La peur de l'étrange, de l'inconnu a eu raison d'elles. J'ai trouvé cela beau que dans la mort, mère et fille aient continuellement cherché à se retrouver. Elles avaient seulement besoin de quelqu'un qui les comprenne, qui fasse le lien entre elles et les aident. Amber a été ce catalyseur. Même si évidemment, il y a bon nombre de vies brisées et détruites pour cela, à commencer par celle d'Amber.

En bref, j'ai beaucoup aimé ma lecture que j'ai trouvé terriblement intéressante, sombre et mystérieuse jusqu'à la fin. Idéale pour la saison automnale et même pour Halloween ! C'est tout à fait le genre d'histoire qui aurait pu devenir elle-même une adaptation cinématographique, pourquoi pas ! Je recommande ce roman à ceux qui aiment les histoires de sorcières, les histoires de fantômes, qui font peur ou qui veulent se challenger quelque peu !

Merci à Babelio et aux éditions Pygmalion pour l'envoi de ce roman horrifique.

Pourquoi j’ai été attirée par ce roman ? Tout d’abord pour son image de couverture, intrigante et très bien conçue (regardez attentivement ce serpent…). Et puis bien sûr par son accroche, tentante pour les amateurs de littérature horrifique.

Et j’ai plongé à pieds joints dans cette histoire. Je me suis laissée avoir, entraînée par l’écriture de l’auteur. Au passage, un clin d’œil au traducteur, Thibaud Eliroff. Je ne maîtrise pas assez l’anglais pour lire en VO et je tiens à souligner l’importance des traducteurs qui nous permettent de lire des romans issus d’autres langues que la nôtre. Merci à eux !

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Mais revenons au livre… J’ai été très intriguée par cette 4ème de couverture. Depuis toujours, j’aime ce genre de lecture qui bouscule, qui fait frissonner. Cela me permet de sortir du monde réel et de m’isoler dans ma bulle.

Je m’y suis reprise à plusieurs fois pour écrire cette chronique. Un seul mot me venait à l’esprit : étrange. Pourquoi ? Parce que même si la base est relativement classique pour quelqu’un d’habitué, je n’ai pas pu me détacher de cette lecture avant la fin. Je suis restée scotchée à cette histoire même si ce n’est pas exactement ce que je m’attendais à lire. Parce qu’il n’y a pas de scènes horrifiques à proprement parler.

C’est plus subtil, plus ingénieux. C’est une ambiance qui s’installe, qui finit par peser de plus en plus lourd, qui étouffe. C’est une curiosité qui nait, qui devient presque oppressante.

En fait, je ne sais pas trop comment parler de ce livre. Addictif oui, mais pas pour autant gorgé de de scènes horrifiques. Je reviens au 1er mot qui m’est venu à l’esprit, étrange. Pas par le fond, mais par la façon dont il est raconté et par les sensations qu’il fait naître. Soft, mais en même temps prenant et difficile à lâcher.

Je dirais que c’est un livre à découvrir, qu’il n’est en aucun cas décevant puisqu’il se dévore, mais ne vous attendez pas à découvrir du gore ou des scènes horribles. Un livre qui sort un peu des codes du genre. Un livre que j’ai adoré.

Dans les années 30, à Pilot’s Creek, Ella Louise Ford est la sorcière du village. Tout le monde va la voir pour des remèdes mais lorsqu’une tragédie survient, elle devient la cible principale. Ella Louise et sa fille, Jessica vont être brulées vives. Une histoire qui va traverser les décennies et qui fera l’objet de deux films, l’original et son remake. Deux oeuvres, deux réalisateurs, deux tournages maudits.

Dès le début, l’auteur nous plonge dans la petite bourgade de Pilot’s Creek où se déroule l’histoire d’Ella Louise et de Jessica. Elle nous est narrée comme une histoire au coin du feu. On est subjugué par les paroles du narrateur. Il semble comme hanté par cette tragédie autant que par ses remords.

Un roman où l’on a accès aux pensées les plus secrètes et les plus profondes des personnages.

J’ai beaucoup aimé la façon dont l’auteur nous fait percevoir le ressenti de chacun, oscillant entre obsession et fascination. D’une manière ou d’une autre, ils semblent tous hypnotisés par cette famille.

J’ai eu du mal à lâcher ce livre. Le remake est un livre oppressant, angoissant et terriblement addictif. Entêtant, et comme tant de personnages, Ella Louise et Jessica m’ont tenu compagnie tout au long de ma lecture. Une histoire d’amour mère-fille qui m’a attendrie. Et cette fin, à deux doigts de m’arracher une petite larme tant je l’ai aimée.

Je ne vous en dirais pas plus car Le remake est un de ces romans qu’il faut lire pour le vivre.

Si vous aimez frissonner, les phénomènes étranges, les légendes urbaines, les malédictions et les histoires de sorcières, ce livre est pour vous ! Un livre parfait pour la saison en plus

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𝓙𝓮𝓼𝓼𝓲𝓬𝓪, 𝓺𝓾𝓮𝓵𝓵𝓮 𝓲𝓷𝓯𝓵𝓾𝓮𝓷𝓬𝓮 𝓽𝓾 𝓹𝓸𝓻𝓽𝓮𝓼 𝓪𝓾𝔁 𝓰𝓮𝓷𝓼 !

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Après une mise à mort de sorcières, un village se meurt petit à petit. Vraiment, vous pensiez que c’était une bonne idée de faire ça ? Une mère et sa fille, sorcière ?

Attendez, la vengeance arrive, mais pas par là où vous pensez !

J’entends ton histoire et je la raconte, je la transmets. Et de cette envie de transmission, un drame va arriver. Mais pourtant, personne ne va retenir. Un remake voit le jour, un drame arrive

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Alors, déjà, j’ai trouvé le résumé vraiment alléchant. Je vous demande aussi de vous pencher sur la couverture vous pourriez voir quelque chose d’assez intéressant ! Donc, beau travail là-dessus !

Le début du roman commence assez fort en plantant le décor sur cette légende qu’est Ella Louise et Jessica Ford. Mais ne vous inquiétez pas, vous allez comprendre ! Une légende, oui, des faits réels, OUI !

J’ai été très surprise par l’accès aux pensées et aux émotions des personnages ! Je pense que je ne pourrais pas accepter que quelqu’un dise que cela manque, parce que pas du touuut, je refuse

Vraiment, on ressent le personnage dans ses entrailles quasi !

Cependant, j’ai eu un petit manque de dialogue, j’avais envie de dynamisme et de lien pour couper ces pensées

L’influence de Jessica, pauvre petite enfant, est vraiment bien développée. Attention, oui, on parle de sorcières et d’une enfant m.rte, mais on ne parle pas de manifestations surnaturelles du style : t’habite à 500 km de là et pourtant l’esprit te mets des messages sur un miroir plein de buée (cliché ?). On est sur quelque chose de bien plus insidieux et plus malsain !

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La plume est très fluide, j’ai quasi mangé les deux tiers du livre en une journée, en m’étant occupé de ma nièce, c’est vous dire !

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Bisous loutroné !