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— Mais je pourrais faire mieux. Je dois arrêter de fuir les épreuves auxquelles la vie me soumet.

— Quelles épreuves ?

— Celle-ci, par exemple...

Il baissa la tête jusqu’à effleurer sa gorge, lui lécha doucement la peau et l’entendit gémir de plaisir. — Creed ?

— Je peux boire ton sang sans te faire de mal. Te faire l’amour, aussi... La seule question est : ai-je le courage de soumettre ma discipline à l’épreuve de la tentation ?

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Tout en toi me provoque : La manière dont tu respires, ta démarche, tes sourires, ta voix... Tu ne peux rien faire pour l’éviter. Tu ne peux pas imaginer à quel point je te désire...

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Spoiler(cliquez pour révéler)Yvonne se raidit subitement. Elle était certaine d’avoir senti la pointe de ses canines. Il venait de lui mordiller la gorge, si doucement qu’il n’avait pas pu percer la peau, mais elle n’avait jamais rien éprouvé d’aussi excitant.

— S’il te plaît, Creed..., ne put-elle s’empêcher de gémir. — Ne bouge pas, murmura-t-il. Surtout ne bouge pas...

Elle hocha légèrement la tête en signe d’acquiescement et resta parfaitement immobile. Alors elle sentit la caresse fraîche et apaisante de sa langue, puis entendit son cœur s’affoler. A moins que ce ne soit celui de Creed ? Elle ne parvenait plus à les distinguer l’un de l’autre.

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— Je suis désolé, dit-il d’une voix tendue. J’ai besoin de boire du sang pour guérir plus vite.

Il se dirigea à grands pas vers le réfrigérateur en ayant bienconscience qu’il ne s’agissait que d’une excuse commode. Il n’avait pas vraiment besoin de se nourrir... mais la soif qu’elle lui inspirait le rendait nécessaire.

— Alors buvez le mien...

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Alors il approcha très lentement son visage du sien — assez lentement pour qu’elle ait le temps de comprendre ce qu’il s’apprêtait à faire et d’y échapper si elle le souhaitait — et l’embrassa.

La caresse de ses lèvres fraîches la fit frissonner des pieds à la tête. C’était un baiser trop timide et délicat pour la combler. Yvonne enroula les bras autour du cou de Creed pour s’offrir à toutes les caresses qui pouvaient lui venir à l’esprit. Il l’embrassa aussitôt avec plus d’ardeur et effleura ses seins, ce qui amplifia son désir et lui procura un sentiment de triomphe. A cet instant, elle le désirait au-delà de toute raison, plus qu’elle n’avait jamais désiré personne de toute sa vie.

Pendant quelques secondes, il parut prêt à lui donner ce qu’elle voulait. Il prit ses seins dans ses mains et en caressa les pointes à travers son T-shirt jusqu’à ce que ses hanches tendent instinctivement vers lui. Elle écarta les jambes pour lui permettre de la caresser entre les cuisses. Elle en avait tellement envie qu’elle ne pouvait plus penser à rien d’autre. S’il l’avait voulu, elle se serait offerte à lui sans la moindre hésitation.

Mais il disparut subitement.

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— Il me serait facile de vous contraindre à me désirer jusqu’à la fin de vos jours, murmura-t-il. Et vous ne pouvez pas imaginer à quel point j’en ai envie...

Elle en perdit le souffle pour de bon, comme s’il venait de la projeter dans l’espace interstellaire.

— Aucun humain ne m’a autant donné envie de lui faire découvrir ces plaisirs, poursuivit-il. Mais je ne le ferai pas. Je ne veux pas vous dépouiller de votre avenir.

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— Vous voulez que je vous prouve que je suis un vampire ?

— Oui. Une part de mon esprit admet que vous vous déplacez beaucoup trop vite, et qu’il est impossible que les yeux d’un humain changent de couleur comme les vôtres... mais l’autre part continue à s’insurger contre cette idée.

— Je suis très surpris de ne pas vous voir terrifiée. On dit tant de choses sur nous...

Elle secoua la tête.

— Vous avez été très gentil avec moi. Je juge les gens sur leurs actes plus que sur leurs paroles. Je n’ai pas peur de vous.

— Vous avez peut-être tort.

Elle écarquilla les yeux. Pour la première fois, il y perçut une peur sans rapport avec ce qui se passait dans son appartement. Tant mieux. Il était plus prudent qu’elle garde ses distances... mais il sentit son cœur se serrer.

— Etes-vous en train de me menacer ou de m’avertir ? demanda-t-elle.

En une fraction de seconde, Creed se planta devant elle et se pencha si près de son visage qu’il sentit son haleine lui caresser la peau.

— Je suis un prédateur, murmura-t-il. J’ai appris à dompter mon instinct, mais avec vous... Vous n’avez pas la moindre idée de la tentation que vous constituez pour moi.

Il la sentit inspirer, puis expirer longuement.

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— Pourquoi me fuyez-vous ?

— Parce que votre parfum me rend fou. Malgré mes principes, je suis un prédateur. Rien ne pourra changer cela.

— Vous avez envie de me tuer ? lui demanda-t-elle, horrifiée.

— J’ai envie de vous mordre. Ce n’est pas la même chose. Je ne vous tuerais pas... Ce n’est ni nécessaire, ni souhaitable. Mais oui : vous m’inspirez des désirs que vous ne pouvez pas comprendre.

Elle le fixa en retenant son souffle pendant quelques instants. — Est-ce que tous les humains vous font cet effet ?

— Loin de là. Certains sont plus appétissants que d’autres.

Je n’en ai jamais rencontré d’aussi appétissants que vous.

— Oh ! commenta-t-elle en se tordant les doigts. En tant que repas ?

— Dans tous les sens du terme.

Elle écarquilla les yeux, puis rougit — ce qui le rendait fou. Jamais rien n’avait éveillé sa soif et son désir comme le rose de ses joues... Creed ferma les yeux pour tâcher de retrouver son sang-froid. Elle ne pouvait pas comprendre à quel point il lui était difficile de lui faire face.

Une chose était certaine : il fallait qu’elle reprenne le fil de son existence le plus vite possible, avant qu’il ne commence à la voir autrement que comme une tentation.

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Lorsqu’il fut certain qu’elle avait sombré dans un profond sommeil, il effaça les absurdités qu’il était en train d’écrire et referma son ordinateur. Il lui était impossible de travailler alors que le parfum d’Yvonne flottait dans la pièce, et c’était encore plus difficile depuis qu’il avait senti son excitation.

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Mon Dieu... N’avait-elle pas passé l’âge des coups de foudre ? Apparemment pas. Il avait suffi qu’elle entraperçoive Creed Preston pour que son image s’imprime de manière indélébile dans son esprit. Il était beau, bien bâti, se déplaçait comme un athlète et la teinte dorée de ses yeux était vraiment frappante. Ses yeux lui rappelaient ceux d’un tigre...

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