Le rêve aux loups

Résumé

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Le Rêve aux Loups, c’est l’ultime lettre d’un condamné-à-mort de l’intérieur, le dernier des moutons-rebelles auquel justice et société ne laisseront pas une chance, mais qu’il dupera néanmoins pour faire triompher vérité, honneur personnel et progrès. Au-delà des sujets d’actualité et d’intérêt qui sont comme les deux pôles d’une pile prête à exploser, la Famille et le Terrorisme, et leurs possibles interactions à venir dont nous connaissons déjà les prémices, hommes en haut des grues ou qui égorgent leur progéniture, ce vaste récit couvrant thèmes et générations depuis la jeune Europe jusqu’aux confins d’Asie se veut un antidote à la douleur pour tous les pères trahis par le système autant que la plus lourde charge contre la justice familiale française contemporaine.

Nous sommes tous des océans travaillés par de redoutables lames de fond qui, parfois, à la faveur d'un banc de corail ou d'un récif, donnent naissance à de formidables vagues : franco-suisse d'origine, adamois d'adoption, connu sous maints pseudonymes mais jamais épinglé, humanopolygraphe pour ne pas dire artiste, technicien ou chef d'entreprise, l'auteur s'efface derrière un ouvrage d'encre mis-en-abîme qu'il a voulu puissant comme une déferlante.

Premier roman d'un artisan d'art en quête ardente d'émotions et de style, LE RÊVE AUX LOUPS n'aurait toutefois pu se concevoir sans la pesée minutieuse et préalable de deux ouvrages qui s'imposèrent naturellement : le célèbre pamphlet du maître Émile Zola, son "J'accuse" qui visait expressément et publiquement les tribunaux de Paris, et le thriller technologique "Sur ordre" de Tom Clancy, publié cinq ans avant l'attentat du 11 septembre et qui le relatait pourtant déjà précisément, assez à l'évidence pour poser de manière forte et urgente la question épineuse des interactions entre l'art et la vie.

Mais en définitive avide de réel et de réalisme, de vérités durables et de changements effectifs bien plus que de référents ou de précédents littéraires,

LE RÊVE AUX LOUPS s'est essentiellement nourri de la vie tumultueuse et aventureuse de son auteur pour mieux la transcender, et de son long combat en justice par amour paternel d'une enfant, la sienne, pour illustrer à grand renfort de spectacle et d'humour le malaise profond, et peut-être incurable, d'un monde apparemment voué au déclin.

LE RÊVE AUX LOUPS a vocation d'adaptation cinématographique et dans cet esprit a bénéficié de la collaboration d'un cinéaste, PASCAL DUTHUIN, collaborateur artistique de longue date de l'auteur dont le film 50 CONTRE 1 référencé dans le "JAZZ ON THE SCREEN, a Jazz and Blues Filmography" de David Meeker (USA), est mentionné dans le roman et participe largement, comme pour illustrer la pensée d'Orson Welles ["Le Cinéma est un ruban de rêves"], du processus onirique qui y est décrypté : http://pascalduthuin11.free.fr

Or si… après tout… Jordan Diowe n’existait pas… s’il n’était que le nom d’emprunt du protagoniste, Niklos Davone, auteur lui-même...

et s’il y avait un troisième homme... si ce livre n’était qu’une pièce, blanche ou noire, sur l’échiquier d’un maître obscur… si la maison d’édition

Edilivre avait été habilement piratée, simple relais… si la prose incandescente qui vrille ces quatre-cent pages recelait un danger véritable, scrupuleusement programmé, daté, ourdi… si cet étrange roman-manifeste charriait dans son flot d'encre un peu du vil poison que l’on sait propre

à déchaîner mille bruits et d'avantage de fureurs… si cet ouvrage était seulement dédié dans son essence à l’honneur menacé d’une femme, au souvenir précieux de l'amour d'une épouse longtemps chérie… s’il n'était que vérité transmise à une enfant bénie des dieux, maudite des hommes... s’il était l’épitaphe annoncée, longuement mûrie, réfléchie, d’un guerrier aux actions fulgurantes…

si tout cela n’était qu’un songe, ou encore… la claire vision d'un faits-divers à venir, dérisoire et sublime et parfaitement inévitable…

très sincèrement...

qu'en saurions-nous ?

- LE RÊVE AUX LOUPS -

PRÉFACE de l'auteur-plasticien JEAN-PHILIPPE AIZIER - http://viadeo.com/s/9Fbri :

La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Dans « Aurore ou le rêve aux loups », Niklos nous livre la sienne à travers les méandres qui serpentent de l’enfance à l’âge adulte, avec des mots idéalement choisis qui traduisent des maux dont il se serait bien passé. La cellule familiale d’abord, où l’amour d’un père et celui d’une mère figurent aux abonnés absents ; l’enfance, sacrifiée sur l’autel d’une affaire de famille en province et qui devient le centre du monde, suspendant l’expression de toute velléité créatrice au détriment d’un don certain pour la musique, tué dans l’œuf. Un mauvais départ en somme, suivi d’un exil plus au nord où tous les espoirs sont permis. Des voyages initiatiques à l’étranger et des rencontres improbables. Enfin l’amour d’une femme, Aurore, et la naissance d’une fille, Myriam, un commerce aux résultats qui dépassent les attentes et une demeure de charme en Picardie… L’existence prend parfois des allures de naufrage mais la barre semble bien redressée, l’horizon, dégagé. Les tentations de la société, les vieux démons d’antan et le recours à certaines addictions tentent bien de faire vaciller le bateau mais l’équipage résiste… jusqu’au divorce.

Niklos va entamer le combat de sa vie – le vrai – dont l’enjeu est la garde et l’éducation de sa fille chérie. La partie n’est pas jouée d’avance et la procédure de séparation se mue en une machine infernale, avec pour corollaire la descente aux enfers et la précarité en point de mire. De galère en galère, de logement en logement, de procès en procès, Niklos survit la rage au ventre. Il élabore un plan pour vaincre l’adversité. Il se défend sans défaillir face aux juges. Il consulte les thérapeutes qu’on lui désigne pour attester de sa capacité à être un bon père et élever dignement sa fille. Le chemin est long, semé d’embûches et de réminiscences du passé qui compromettent la sortie du tunnel. Les loups sont là, rôdant sans cesse autour des issues possibles. Mais Niklos a l’âme d’un samouraï et la détermination qui va de pair.

« Aurore ou le rêve aux loups », est un Manifeste, un écrit qui consacre la légitimité du combat d’un père qui ne veut pas perdre sa fille et dénonce la cabale d’un système qui donne toujours raison aux mêmes et broie les plus faibles. Comme disait Alphonse Allais :

« Soyez chacal, ou soyez loup,

Les juges sont plus forts que vous.

Écoutez-moi (la chose est sûre),

Méfiez vous de la magistrature. »

Mais « Aurore ou le rêve aux loups », c’est aussi un récit empreint d’action, de rebondissements et un style plein de verve qui vous met tout de suite en phase avec la réalité décrite, une approche scénique des faits qui laisse deviner les talents de réalisateur de l’auteur. Niklos n’est pas un saint, ni un paria ou un fou furieux. C’est un homme avec son histoire, comme tous les hommes, et qui mène une lutte à la recherche de la part de justice qui lui revient de droit. Dans un monde aux repères flous, il nous fait partager des tranches de vie que tout un chacun a connu, connaît ou pourrait connaître. Jordan Diowe n’en oublie pas pour autant le rêve, celui-là même qui le hantait dès son plus jeune âge et lui servirait de guide pour l’existence.

Norman Reizia

LE RÊVE AUX LOUPS, Présentation en IMAGES et en SONS :

LE RÊVE AUX LOUPS, Chronique d'un Livre annoncé ----------- http://lnkd.in/dEGcwYi

LE RÊVE AUX LOUPS, Bande-annonce ------------------------------- http://lnkd.in/dMBfVRn

LE RÊVE AUX LOUPS, Nocturnes littéraires ------------------------ http://lnkd.in/d28Cw9u

LE RÊVE AUX LOUPS et le Kaléidoscope ------------------------------ http://lnkd.in/d4QD_-X

LE RÊVE AUX LOUPS au Salon du Livre -------------------------------- http://lnkd.in/d-_XUDz