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Le Français épousseta le bout de ses bottes luisantes et jeta un dernier coup d'œil au miroir. Il se devait d'arborer une tenue impeccable pour cet ultime repas en compagnie de ses camarades.

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Il apprit que les trois cents rescapés français de la Charlemagne avaient été affectés à la défense du bunker. Le major lui expliqua qu'il était à l'origine de sa nomination pour sa mission d'après-guerre. Au cours d'un déjeuner vite avalé, l'Allemand lui remit une carte noire ornée d'un T majuscule blanc. Il lui expliqua que cette carte marquait l'appartenance à une très vieille société secrète aryenne, la Thulé Gesellschaft, qui existait bien avant la naissance du nazisme.

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Pendant les deux mois qui suivirent, on leur avait appris à survivre dans la plus totale clandestinité. François Le Guermand ne pouvait s'empêcher d'admirer leur sens de l'organisation, encore vivace en dépit de l'Apocalypse annoncée. Depuis longtemps, il ne se sentait plus français, cette nation de pleurnichards qui se couchaient devant de Gaulle et les Américains. Les conférences succédèrent aux cours prati

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- Messieurs, dans quelques mois, les Russes seront ici. Il est possible que nous perdions la guerre même si le Führer croit encore en la victoire et aux nouvelles armes encore plus dévastatrices que nos fusées longue portée V2. Martin Bormann laissa errer son regard sur l'assistance et reprit son monologue:

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En se présentant au bunker de la chancellerie, il fut reçu, à son grand étonnement, non pas par un officier mais par un civil insignifiant qui arborait sur son veston élimé l'insigne du parti nazi. L'homme lui expliqua qu'ils seraient affectés, lui et d'autres officiers de son rang, à un détachement spécial dépendant directement du Reichsleiter Martin Bormann. Sa mission lui serait expliquée en temps utile.

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Bloqué à un carrefour sur la Wilhelmstrasse - qui menait à la chancellerie -, à cause d'un convoi de chars Panzer Tigre et d'un détachement de fantassins SS, François remarqua un vieil homme qui crachait au passage de la troupe. Un tel comportement antipatriotique lui aurait valu en d'autres temps une arrestation immédiate et un passage à tabac; pourtant, l'homme avait repris sa marche sans être inquiété, en maugréant.

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Ce jour de février, le Führer lui avait sauvé la vie. Pendant son voyage vers Berlin en voiture, il avait croisé des colonnes interminables de réfugiés allemands fuyant les Russes. La propagande à la radio du Dr Goebbels clamait que les barbares soviétiques pillaient les maisons et violaient toutes les femmes qui tombaient entre leurs mains. En oubliant de préciser que ces exactions trouvaient leur source dans d'autres atrocités commises par les troupes du Reich lors de leurs marches victorieuses sur la Russie. Les files de fuyards apeurés s'étiraient sur des kilomètres.

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Ce soir-là, François Le Guermand venait de sceller définitivement son sort à cette communauté maudite et honnie par le reste de l'humanité. Le major allemand lui avait fait comprendre que d'autres enseignements lui seraient donnés et qu'il parviendrait à l'aube d'une nouvelle vie même si l'Allemagne perdait la guerre. L'avance de l'Armée rouge devenait chaque jour plus menaçante et la division se désagrégeait au fil des combats face aux coups de boutoir de l'ennemi bolchevique. Un matin froid et humide de février 1945, alors qu'il

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Enrôlé sous l'uniforme de la Wehrmacht, comme des milliers d'autres Français à l'époque, il avait gagné ses galons de capitaine en deux ans de campagne sur le front de l'Est. Mais cela n'avait pas suffi. Pour lui, l'idéal absolu demeurait la SS. En permission en Allemagne, il regardait avec envie les seigneurs du Reich et s'était juré d'en faire partie quand il avait appris que les unités Waffen SS incorporaient des volontaires étrangers.

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Le bourreau observa quelques instants la jeune femme étendue sur le sol. Son contrat stipulait une mort à l'aide d'une canne ou d'un objet contondant sur trois parties précises du corps. Les ordres avaient été clairs là-dessus.

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