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Résumé
Le Roman d’une jeune Esquimau est une conversation charmante sur les différences des perceptions et des cultures entre une jeune fille et Mark Twain.
« So ended the poor maid’s humble little tale – whereby we learn that since a hundred million dollars in New York and twenty-two fish-hooks on the border of the Arctic Circle represent the same financial supremacy, a man in straitened circumstances is a fool to stay in New York when he can buy ten cents’ worth of fish-hooks and emigrate. »
« Ce récit de « la pauvre mignonne » nous enseigne que, puisque cent millions de dollars à New-York, et vingt-deux hameçons aux rivages du pôle arctique, représentent la même égale suprématie financière, on est bien sot de vivre besogneux à New-York, au lieu de se faire, pour dix sous, une pacotille de hameçons, et émigrer. »
est la conclusion bilingue de cette nouvelle peu connue (1893) du grand humoriste américain.
Traduction : Henri-Augustin Boisse-Adrian (1842-?).
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