Le Roman de Renard
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Classement en biblio - 197 lecteurs
extrait
"Renart, un matin, entra chez son oncle, les yeux troubles, la pelisse hérissée.
-Qu'est-ce, beau neveu ? tu parais en mauvais point, dit le maître du logis; serait-tu malade ?"
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Je n'ais pas fini ce livre car il m'ennuie je trouve que l'histoire est plate
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J'ai lu ce livre au collège et j'ai un petit souvenir, j'ai aimé ce livre en tout cas!
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Une belle histoire... mais je pense qu'elle est bien trop compliquée pour des collégiens.
C'est une allégorie de la vie humaine où tout à un double sens et/ou une morale.
Pour lecteur avisé
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Un livre de lecture obligatoire qui n'a rien d'exceptionnel, il montre juste la bêtise des Hommes.
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J'ai du lire ce livre en 5 eme, ce n'est peut-etre pas adoré mais il était plutot sympa
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J'ai du lire ce livre en 5 eme et je ne l'ai pas du tout aimé d'autant plus que le vocabulaire n'est plus très moderne
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Je l'ai lu en 6 eme et je m'en rappel plus trop car il ne ma pas marqué plus que sa ..
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Je me rappelle en avoir lu des extraits en CE1, et avoir bien aimé. Je crois que j'avais eu une version plus que simplifiée. Quand je l'ai lu, l'année dernière, je me suis dis que les gens devaient vraiment être stupide pour ne pas se rendre compte que l'on parlait d'eux à travers des animaux.
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Date de sortie
Le Roman de Renard
- France : 1991-01-01 - Poche (Français)
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- 35ème Animaux dans les livres (140 participants)
Editeurs
Résumé
Célébrant la liberté des bêtes appelées à mourir de leur belle mort en dehors du monde des hommes, Le Roman de renard est un prélude à La Forêt perdue (1967) qui a également pour scène le Moyen Âge. C’est manifestement la même Florie qui, dans l’un et l’autre roman, en acceptant sa condition de femme, rend à l’animal sauvage une liberté que couronne la possibilité de mourir de sa belle mort. Mais on croit parfois entendre s’exprimer Fernand d’Aubel, le « héros » de Un Jour, clamant un ultime consentement en la vie et en la mort : « Une fois pour toutes, en sa dernière métamorphose, Renard enfin se connaît lui-même, libre dans le monde qu’il choisit, libre enfin et libre vraiment, sans contrainte qui vienne de quiconque, homme ou bête, ami ou ennemi, sans autres lois que les lois éternelles où rejoignent la vie et la mort.»
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