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Elle laissa passer un moment. Elle attendait des excuses en bonne et due forme suivies d'un départ précipité - ou au moins une volte-face pudique. Au lieu de quoi, le jeune homme choisit de s'appuyer tranquillement contre le chambrale pour la détailler à loisir, de la tête aux pieds. Piquée au vif, elle se redressa de tout son haut.

- Tu permets? lança-t-elle d'un air de défi.

- Mais je t'en prie...

- Je me prépare pour aller au lit, je te signale! grimaça-t-elle.

- J'avais vu, merci. Tu sais qu'aucun noeud ne me résiste. (Il pencha la tête de côté d'un air entendu.) Un petit coup de main?

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« Ash ne devrait pas encourager ton étrange affection pour les armes à feu. Un chat ou un hamster feraient de meilleurs camarades de jeu, tu ne crois pas ? »

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- Meg est passée au réfectoire, tout à l'heure, expliqua Ash d'un air las. Grave s'est réveillé.

- Qui ça ?

- Ton protégé.

- Vous l'avez surnommé Grave ?

- Une idée de Birch. il fallait bien lui trouver un nom.

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La jeune fille s’était donc enfermée dans ses quartiers pour attendre que passe la folie de son frère. Le lendemain matin, Jack l’avait prise au dépourvu en se présentant à sa porte avec un gage de réconciliation : des replis de son long manteau de cuir, il avait sorti une boîte en acier carrée au couvercle orné de vignes en fleurs. Lorsque, décontenancée, elle s’était laissé convaincre d’ouvrir le coffret, elle en était restée bouche bée : une petite musique obsédante égrenait ses notes tintinnabulantes tandis qu’un minuscule jardin de feuilles, d’herbes et de fleurs métalliques commençait à croître sous ses yeux. Les plantes se rétractaient ensuite à la fermeture du couvercle, pour mieux repousser la fois suivante.

À en croire Jack, cette mélodie s’intitulait La Sonate au Clair de lune. C’était l’œuvre d’un compositeur allemand nommé Beethoven. Un des forgerons employé quelques mois plus tôt à la Grande Fonderie conservait en secret des chutes de métal pour en tirer d’extraordinaires boîtes à musique qu’il vendait ensuite au marché noir. Lorsque Jack avait fui le bruit et la fureur de l’usine tentaculaire, l’homme lui en avait donné une afin de lui servir de monnaie d’échange au cours de ses voyages.

Ce cadeau extravagant avait laissé Charlotte pantoise. La tête encore emplie des sonorités cristallines, fascinée par le mouvement des fleurs métalliques sous ses doigts, Charlotte avait tenté de refuser l’objet. C’était compter sans l’insistance du garçon.

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Chapitre 1

Landes proches de New York, province d’Amherst, 1816.

À chacun des battements du cœur de Charlotte, le garçon se rapprochait un peu plus. À l’abri des racines de l’arbre géant au creux desquelles elle se cachait, elle épiait son souffle court, le martèlement inégal de ses pas, sans bouger un cil dans l’air immobile, presque étouffant. Une goutte de sueur coula le long de sa tempe, perla au bas de sa mâchoire et vint s’écraser dans son décolleté.

L’inconnu jeta un nouveau coup d’œil par-dessus son épaule. Encore cinq pas, et il déclencherait le piège. Quatre. Trois. Deux. Un !

Lorsque sa cheville se prit dans le filin tendu entre deux arbres, en travers de son chemin, la surprise lui arracha un cri. Le hurlement mourut sur ses lèvres dès qu’il s’abattit de tout son long sur le sol du sous-bois, le souffle coupé.

Charlotte bondit hors de sa cachette. Elle étira avec délices des muscles ankylosés par la longue attente accroupie. En combattante accomplie, elle se déplaçait avec une célérité remarquable – ses pieds touchaient à peine le sol. N’eût été le bruissement de ses jupes, elle se serait déplacée sans faire le moindre bruit.

Le garçon, gémissant, se redressa sur un coude. Le coup de pied de Charlotte le retourna sur le dos et lui arracha un grognement. Sans perdre un instant, elle le plaqua au sol d’un genou rageur.

Les yeux écarquillés, il fixa le revolver pointé sur son torse.

— Pitié… murmura-t-il.

Elle braqua le canon de l’arme entre ses deux yeux.

— Je n’ai pas pour habitude d’accéder aux requêtes d’un intrus.

Elle pesa sur lui de tout son poids. Il se tortilla, affolé.

— Qui es-tu ? reprit-elle d’une voix qui se voulait menaçante, mais sonna bien trop doucement à ses oreilles.

Il ne cilla pas. Dans ses prunelles se reflétait la lueur ambrée de l’aube naissante.

— Je l’ignore.

— Pardon ?

Le visage étrangement pâle de son adversaire se tordit sous l’effet de la peur, mais il répéta :

— Je… Je l’ignore.

— Tu te moques de moi ?

Elle jeta un regard au buisson touffu dont il venait d’émerger et qui oscillait encore légèrement.

— Parle ! Que fuis-tu ainsi ?

Le front plissé, il bafouilla :

— Je ne sais pas…

— Vraiment ? cracha-t-elle. Pourquoi courais-tu, dans ce cas ?

Un frisson le secoua de la tête aux pieds.

— J’ai entendu des bruits.

— Quels bruits ?

Le sang de la jeune fille se glaça. Elle balaya les bosquets du regard, le cœur serré d’appréhension.

Le sifflet hurla à cet instant précis, comme déclenché par sa peur. Un monstre d’acier, aussi haut que les arbres qui l’entouraient, émergea aussitôt de l’épais sous-bois, engagé sur le même sentier que le garçon lui-même quelques minutes plus tôt. Les Robots Cueilleurs de l’Empire étaient bâtis comme des géants : le crâne de la machine, une tête massive, aux lignes anguleuses, surgit entre les branches des frondaisons, qu’elle cassa comme autant d’allumettes. Deux bras de cuivre articulés se dessinaient de chaque côté de son large tronc, leurs longs doigts déployés, prêts à saisir leur proie. Le regard de Charlotte fouilla aussitôt les profondeurs de la cage thoracique creuse du mastodonte, fermée par d’épais barreaux.

Vide. Pas de prisonnier.

— Qui a lancé un Cueilleur à tes trousses ?

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"Nous sommes tous prisonniers des circonstances, un jour ou l'autre."

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« Ma chère, nous ne sommes tous que des acteurs dans le grand théâtre du monde, répliqua Lord Ott. »

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"La tempête avait éclaté, c'est vrai, mais Charlotte n'avait pas l'intention de se laisser intimider. Elle poursuivrait le combat. Pour Asher et Meg, pour Grave, et pour la Résistance. En silence, elle en fit le serment à chacun d'entre eux, et plus encore à elle-même: elle poursuivrait le combat."

Chapitre 28 pages 407

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Je ne savais pas ce qu'était vraiment l'amour. Pas avant de te rencontrer.

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Il s'éclipsa, la laissant seule avec son mensonge.

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